D’un côté « La Dune », de l’Israélien Yossi Aviram, un premier film inspiré autour d’une disparition énigmatique. De l’autre, « Le Grand Homme », de la Française Sarah Leonor, sur d’anciens légionnaires en quête de repères.Dans les deux cas, une réflexion passionnante sur l’identité masculine. Examen des mâles mal en point dans deux films bien portants.1« La Dune » : l’errance pour tous Du jour au lendemain, sans raison apparente, Hanoch, un Israélien d’une quarantaine d’années, abandonne Tel Av…
Source: rue89.nouvelobs.com
La substitution d’identité entre les deux légionnaires, l’un comme l’autre obsédés par le culte de la virilité, ne fait que souligner leur triste sort en ce bas monde : celui de ne jamais parvenir à incarner les rôles qui leur sont assignés, défenseur de la nation, cheville ouvrière de leur communauté, fils, père, mec…
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