Vendôme : l’histoire du bâtiment Régence à l’honneur dans le nouveau bulletin de la Société archéologique

Sujet principal du bulletin 2022 de la Société archéologique : le bâtiment dit « Régence ». Vingt et une pages rédigées par Mickaël Fauvinet lui sont consacrées.Sujet principal du bulletin 2022 de la Société archéologique : le bâtiment dit « Régence ». Vingt et une pages rédigées par Mickaël Fauvinet lui sont consacrées.
© Photo NR

Un travail essentiel au vu de l’actualité du bâtiment Régence ces dernières années « qui a fait couler beaucoup d’encre », comme l’ont rappelé Bernard Diry, président de la Société archéologique du Vendômois, et Laurent Brillard, maire de Vendôme. Ce bulletin 2022 revient également sur l’histoire très récente avec le déplacement, en 2019, de l’ex « Pharmacie Bourgoin », mais aussi sur le renoncement à la frappe de toute monnaie par le comté de Vendôme en 1320. Au total, dix-sept articles composent ce nouveau bulletin dans lequel la Société archéologique prépare déjà la suite en mentionnant les 500 ans de la naissance du poète Pierre de Ronsard, qui seront fêtés en 2024. L’an prochain, la Ville de Vendôme fêtera les 400 ans du collège des Oratoriens, qui accueille aujourd’hui l’hôtel de ville. En vente à la Maison de la presse, à Vendôme, et à la Société archéologique du Vendômois. Tarif : 35 €.

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Loir-et-Cher : Maurice Leroy reste à Moscou… pour l’instant

L’ancien président de la République a remis les insignes de la Légion d’honneur à celui qui fut son ministre, hier à Vendôme. (Photo NR, A. R.)Maurice Leroy était revenu en Loir-et-Cher pour y recevoir la Légion d’honneur des mains de Nicolas Sarkozy dont il a été ministre. Il est, depuis, toujours à Moscou.
© Photo archives NR, Antoine Richard

En Russie depuis 2019, l’ancien président du conseil départemental et député de Loir-et-Cher, est encore à Moscou ce jeudi 3 mars. Pour l’instant, il n’a pas pris la décision de rentrer en France. « La situation est plus compliquée qu’il n’y paraît ».

Source : Loir-et-Cher : Maurice Leroy reste à Moscou… pour l’instant

 

 

Maurice Leroy, ex-ministre de Nicolas Sarkozy, député et président du conseil départemental de Loir-et-Cher, réside à Moscou depuis janvier 2019. Il a rejoint la capitale russe il y a 3 ans, quittant la vie politique, pour travailler au sein de l’entreprise privée Mosinzproekt, qui supervise les chantiers du Grand Moscou. La semaine dernière, il avait déclaré être « profondément triste de cet acte de guerre contre l’Ukraine » en précisant qu’il « condamnait cet usage de la force ».

Depuis, il est resté à Moscou. Et si sa situation interroge, il se justifie : « C’est une entreprise privée, qui a gagné l’appel d’offre du Grand Moscou, pour laquelle je travaille sous contrat de travail de droit privé ». La NR l’a contacté pour connaître sa décision, de rester ou partir, sachant que le ministère des Affaires étrangères « recommande fortement » aux ressortissants français se trouvant en Russie de quitter le pays.

Il affirme que « la situation est beaucoup plus complexe que ce qui est rapporté ». Mais notre question tombe bien puisqu’il était hier soir mercredi 2 mars en session extraordinaire du conseil d’administration de la CCI France Russie, dont le président Emmanuel Quidet avait justement sondé par mail les entreprises pour connaître la position des salariés. Selon Maurice Leroy : « Les entreprises françaises sont les premiers employeurs étrangers en Russie, devant l’Allemagne et l’Italie. 85% des Français qui travaillent ici restent à Moscou, 5 % rentrent mais ils avaient pour beaucoup pris leur décision avant les événements et 10 % s’interrogent. »

J’entends la recommandation du ministère des Affaires étrangères, mais on fait comment pour rentrer ?

Maurice Leroy, ex-élu loir-et-chérien depuis Moscou

L’ex-élu loir-et-chérien semble être dans l’expectative. Mais réaffirme que sa mission actuelle n’a rien à voir avec sa vie politique d’avant en France. En Russie, il est salarié :  « Je n’ai jamais pris part aux décisions stratégiques de l’État ou de l’administration russe et je suis salarié d’une entreprise dont les activités sont totalement déconnectées du conflit actuel. L’offensive militaire russe en Ukraine et ses conséquences, que je condamne et regrette, m’ont conduit à engager avec mon employeur, un dialogue sur la poursuite des missions qui m’ont été confiées. »

Et de détailler : « J’entends la recommandation du ministère des Affaires étrangères, mais on fait comment pour rentrer ? La seule façon de revenir est de passer par Dubaï ou par la Turquie : les compagnies ont fait flamber les prix des billets d’avion, et même au-delà de ça, il faut des heures et des heures de trajet, c’est un enfer pour ceux qui l’ont tenté. Alors je suis pour l’instant comme 85 % de mes compatriotes ici : je tente de garder mon calme et je regarde ce qu’il se passe », en attendant de prendre une décision.

Quelle que soit l’issue du dialogue engagé avec son employeur, Maurice Leroy insiste : « Les activités de cette société privée, sont parfaitement étrangères aux enjeux du conflit ukrainien et n’interfèrent nullement avec l’État et/ou l’administration russe. Je prendrai ensuite, en conscience, la décision de poursuivre mon contrat de travail, lequel m’oblige, comme tout salarié, à loyauté et transparence vis-à-vis de mon employeur. »

La vie continue… dans l’inquiétude

Quant à la vie quotidienne, sur place à Moscou, il explique : « Pour l’instant, la vie continue, il n’y a pas de razzia dans les magasins. Les Russes sont inquiets, très inquiets bien sûr. Il faut faire la distinction, comme l’a d’ailleurs fait hier soir Emmanuel Macron, entre le président Poutine et le peuple russe, qui subit une situation plus complexe qu’on ne le croit. Pour ma part, je condamne fermement l’usage de la force et je réitère que cette situation dangereuse pour la paix en Europe aurait pu être évitée si les accords de Minsk avaient été appliqués des deux côtés », que ce soit par l’Ukraine ou la Russie.

Ce sont des peuples frères qui ont des familles en commun, de part et d’autre…

Maurice Leroy, ex-élu loir-et-chérien à Moscou

Pour lui, cette situation « est un crève-cœur ici pour beaucoup dans la population, car ce sont des peuples frères, qui ont des familles en commun de part et d’autre… » Et de saluer la position d’Emmanuel Macron « de continuer à maintenir la communication avec le président russe, il est impératif de retrouver la voie diplomatique ».

En attendant, Maurice Leroy reste à Moscou : « Je n’ai pas le choix… alors wait and see comme on dit dans le Perche vendômois… et j’appelle de tous mes vœux le retour de la paix ! »

MONHOVEN

Natacha MONHOVEN

Journaliste, directrice adjointe de la Nouvelle République de Loir-et-Cher

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Lire le gaulois sur internet, ce sera bientôt possible !

Le calendrier de Coligny, trace d’écriture gauloise © De Agostini via Getty Images

Ainsi, en France, près de 800 sources écrites en langues gauloises ont été identifiées à ce jour.

Elles sont généralement très courtes, assez usuelles, parfois religieuses, et sont gravées dans la pierre, sur des poteries ou des feuilles de plomb, comme le signale un article du magazine Sciences et Avenir consacré au sujet.

Certaines sources sont cependant assez exceptionnelles, comme le calendrier de Coligny, trouvé au 19e siècle près de Lyon.

Plus long texte en gaulois connu à ce jour, il a servi de base à la compréhension de la langue.

On a ainsi pu identifier des traces de celtique dans la langue française ! Saviez-vous que « dune », « galet », « blé », « chêne », « ambassade », « balai », « chemise », « ruche », « cloche » ou encore « caillou » sont tous des mots qui nous proviennent des langues celtiques, dont fait partie le gaulois ?

Le projet RIIG – Recueil Informatisé des Inscriptions Gauloises est en cours depuis le 1er janvier 2020, et durera encore trois ans. Le but est d’éditer l’ensemble des inscriptions en langue gauloise du territoire français. Analyse linguistique, traduction et contexte archéologique accompagneront chaque texte édité et daté, dans le but de fournir une étude précise et complète.

Le RIIG sera en ligne et en Open Access, afin d’être consultable par tout le monde. Son contenu sera régulièrement mis à jour en fonction des dernières études et découvertes. Vous pourrez ainsi, si le cœur vous en dit, tenter de pratiquer votre gaulois dans les meilleures conditions !

Pour l’instant, l’initiative ne concerne que la France. Mais qui sait, un projet similaire verra peut-être le jour dans le futur pour réunir l’ensemble des sources celtiques et gauloises d’Europe, et donc de Belgique.

Source : Lire le gaulois sur internet, ce sera bientôt possible !

Files – L’explorateur de fichiers de Windows a trouvé son remplaçant

 Files » est un explorateur de fichiers pour Windows nouvelle génération qui propose une nouvelle expérience en matière de design. A priori, ça ressemble pas mal à l’explorateur de fichiers de Windows, mais il y a pas mal de subtilités comme une intégration avec des services clouds (OneDrive, Google Drive, iCloud…etc) pour gérer directement vos documents ou photos depuis « Files ».

Source : Files – L’explorateur de fichiers de Windows a trouvé son remplaçant

Vendôme : l’office de tourisme va déménager dans le quartier Rochambeau d’ici 2024

VENDÔME Vendôme : l’office de tourisme va déménager dans le quartier Rochambeau d’ici 2024
Vendôme : l’office de tourisme va déménager dans le quartier Rochambeau d’ici 2024
Publié le 21/12/2021 à 06:25 | Mis à jour le 21/12/2021 à 10:11
TOURISME LOIR-ET-CHER

Actuellement dans l’hôtel du Saillant, l’office de tourisme de Vendôme va déménager, d’ici 2024, sur l’esplanade Rochambeau pour devenir plus facile d’accès pour les touristes de passage dans la ville.

 

 

Actuellement dans l’hôtel du Saillant, l’office de tourisme de Vendôme va déménager, d’ici 2024, sur l’esplanade Rochambeau pour devenir plus facile d’accès pour les touristes de passage dans la ville.

© Photo NR

D’ici 2024, le lieu quittera le Parc Ronsard pour se diriger vers le quartier Rochambeau, dans un bâtiment commun avec le musée de Vendôme.
Après deux années marquées par la crise sanitaire, les membres de l’association Offices de tourisme de Vendôme-Territoires Vendômois se réunissaient, le jeudi 16 décembre, à l’occasion d’une assemblée générale, qui aurait dû se tenir en mars 2020, pour présenter un bilan de cette période écoulée et évoquer les projets à venir dont un en particulier.

« D’ici 2024, on doit libérer le bâtiment Régence qui appartient à la société Louis Vuitton. Cela implique de déplacer le musée de Vendôme ainsi que le centre d’interprétation de l’architecture et du patrimoine dans un autre bâtiment de l’esplanade Rochambeau. L’objectif est d’y déménager également l’office de tourisme. On y travaille régulièrement car c’est un projet qui ne s’improvise pas », affirme Claire Granger, vice-présidente au tourisme et à l’animation du territoire de la communauté d’agglomération Territoires Vendômois.
Les touristes et les nouveaux arrivants se demandent comment y accéder

Laurent Brillard, président de la communauté d’agglomération Territoires Vendômois
Actuellement situé à l’entrée du Parc Ronsard, au niveau de la rue Poterie, l’office de tourisme est jugé « peu accessible » par la municipalité de Vendôme. « Le véritable problème qu’on a aujourd’hui, c’est que ce bâtiment est très beau, mais pour les touristes ou les nouveaux arrivants, ils se demandent comment y accéder. Il est enclavé. Ce souci n’existerait pas sur l’esplanade Rochambeau. En plus, les touristes pourraient aller visiter directement le musée si les trois structures étaient dans un bâtiment commun », explique Laurent Brillard, président de la communauté d’agglomération. « Nous ne sommes pas sur les flux naturels empruntés par les touristes, ce qui est compliqué notamment quand des groupes débarquent », assure Corinne Gontier, directrice de l’office de tourisme.
Un schéma équestre

Outre le déménagement, l’office de tourisme va développer de nouveaux itinéraires à destination des personnes se baladant à cheval, en créant un schéma équestre. « C’est la suite logique de ce qui existe déjà pour les vélos ou pour des randonnées à pied. Le principe serait de proposer des boucles à faire sur trois jours. La principale problématique réside à trouver des lieux où il y a des places d’hébergement pour les chevaux », affirme Claire Granger.

Deux boucles sont d’ores et déjà finalisées, il ne reste que celle qui concerne Vendôme et ses alentours à terminer. « C’est plus compliqué car on doit trouver des itinéraires qui n’empruntent pas les grands axes. On espère pouvoir officialiser ce projet dans le courant de l’année prochaine », détaille la vice-présidente au tourisme et à l’animation du territoire.

à suivre
Le caractère associatif remis en question ?
Actuellement, l’office de tourisme de Vendôme est géré par une association composée d’élus et d’acteurs du tourisme. Alors que l’ensemble des collèges du conseil d’administration (voir ci-dessous) ne sont pas pourvus, la municipalité souhaite reprendre la main sur la structure. « On sera sous le même toit que le musée de Vendôme. Forcément, la question se pose, dans le cadre de ce projet, d’uniformiser les choses pour avoir une gestion plus simple d’un point de vue administratif », affirme Corinne Gontier, directrice de l’office de tourisme. « C’est un point qu’on abordera forcément en conseil d’administration car le modèle associatif de Vendôme n’existe presque plus ailleurs en France », confie Laurent Brillard.

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RICHARD
ANTOINE RICHARD
Journaliste, rédaction de Vendôme
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Pollution. L’État face aux années de plomb de Metaleurop | L’Humanité

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Pollution. L’État face aux années de plomb de Metaleurop

Mardi 21 Décembre 2021

Fermée en 2003, l’usine du Pas-de-Calais a souillé l’air et le sol. Le tribunal doit dire, cette semaine, si les autorités ont failli à stopper cette contamination de masse.

C’est vrai que, ce jour-là, face aux juges, il a poussé le bouchon. « J’étais estomaqué », plaide maître David Deharbe. Le 23 novembre, devant le tribunal administratif de Lille, faisant fi des usages, l’avocat a repris la parole pendant quarante minutes, après que le rapporteur public a rendu son avis. Un mois plus tard, son verbe reste bien pendu. « La prescription de l’action pouvait être discutée, mais l’absence de faille de l’État dans la gestion de cette pollution, personne n’avait encore osé l’affirmer ! » tempête-t-il.

Cette fois, si. Dans l’affaire engagée par 87 habitants d’Évin-Malmaison, dans le Pas-de-Calais, pour faire reconnaître une faute des pouvoirs publics dans le contrôle de la contamination aux métaux lourds engendrée par l’usine Metaleurop, le rapporteur public a penché pour le non-lieu. Selon ce dernier, l’État n’avait pas les moyens juridiques d’exercer ce contrôle. « Aucun préjudice ne semble indemnisable », a-t-il conclu.

La guerre juridique n’est pas finie

Les juges le suivront-ils ? Leur verdict n’est attendu qu’à partir de ce 21 décembre, mais ni les plaignants, ni leur défenseur ne se font d’illusions. « Je ne crois plus un instant à un retournement spectaculaire, reprend maître Deharbe. J’ai déjà averti mes clients : nous avons deux mois pour faire appel, nous devons nous remettre en ordre de bataille. » La guerre juridique n’est pas encore finie.

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Sur le plan judiciaire, tout démarre en 2014. Environnementalement, l’histoire remonte à bien plus loin. En 1893, à proximité d’Évin-Malmaison, dans ce qui était encore le Nord, la feue Société anonyme des mines de Malfidano établit ce qui allait devenir l’un des plus importants sites Seveso de France. Metaleurop a pour mission d’alimenter le marché croissant du zinc. Les années passent et, en 1936, l’usine se lance dans le plomb. Elle en produira jusqu’à 130 000 tonnes par an, avant d’être liquidée en 2003.

Icon QuoteJardiner est devenu périlleux. Pour les enfants, jouer dans l’herbe n’est pas plus une activité conseillée.

Les sols alentour en gardent un sombre souvenir, pollués sur plusieurs centaines d’hectares – jusqu’à 1 000 parties par million (ppm) de plomb par kilo de terre dans la zone la plus proche du site, quand l’OMS fixe le seuil d’alerte à 100 ppm/kg. « Les métaux lourds stagnent dans les 50 premiers centimètres du sol, explique Bruno Adolphi, président de l’association Pour l’intérêt général des Évinois (Pige), à la tête de la fronde juridique. Sauf à remettre de la terre propre, ils y sont pour toujours. » Jardiner est devenu périlleux. « Les autorités nous recommandent de ne pas consommer les légumes racines tels que les carottes ou les betteraves », poursuit Bruno Adolphi. Pour les enfants, jouer dans l’herbe n’est pas plus une activité conseillée.

Dès les années 1960

« On savait depuis toujours que l’usine polluait, reprend le président de la Pige. Parfois, les yeux piquaient. » Par déni ou par résignation, on les fermait. « Metaleurop faisait vivre le bassin », reprend le responsable associatif. Mais, en 2014, de nouvelles analyses sanitaires changent l’humeur de quelques habitants. La Pige se crée et s’en va en justice : 80 personnes réclament une modification conséquente de la taxe foncière. Deux ans après, l’affaire est dans le sac et cette victoire donne des ailes aux plaignants. Mais c’est une autre enquête qui les conduit à se retourner contre l’État. En 2017, l’agence régionale de santé lance un suivi de l’exposition au cadmium, un métal susceptible de provoquer des insuffisances rénales. « Jusqu’à présent, il n’était pas question de risques à vivre sur place tant que l’on ne remuait pas la terre », reprend maître Deharbe. Les habitants, désormais, exigent une dépollution totale des terres sur un périmètre de 650 hectares. Metaleurop ayant mis la clé sous la porte, c’est vers l’État qu’ils se retournent. Encore faut-il démontrer sa responsabilité.

« C’est chose faite et de façon indiscutable ! martèle David Deharbe. Nous avons retrouvé des rapports qui, dès les années 1960, relatent la mort de chevaux à la suite de l’ingestion de végétaux contaminés par les émanations de Metaleurop. D’autres ­indiquent que les autorités savaient qu’Évin-Malmaison était particulièrement exposée aux rejets de l’entreprise. »

Icon QuoteAu total, sur ses vingt-cinq dernières années d’existence, Metaleurop aurait ­recraché près de 3 000 tonnes de plomb dans l’atmosphère.

Les premières mesures n’interviendront qu’à partir de 1973. Elles se durciront avec les années, mais n’iront jamais jusqu’au bout, assurent les plaignants. « En 2001, l’usine rejetait encore 18 tonnes de plomb dans l’atmosphère », reprend Bruno Adolphi. Au total, sur ses vingt-cinq dernières années d’existence, Metaleurop aurait ­recraché près de 3 000 tonnes. Cerise sur le pompon : en 1999, l’État aurait offert au groupe métallurgique une occasion de ne pas réparer son forfait. « Le préfet s’apprêtait à faire payer à l’exploitant le coût de la neutralisation des terrains (interdiction de construire – NDLR), nous avons retrouvé une lettre de Metaleurop lui enjoignant de ne pas le faire », assure l’avocat. Et de conclure : « Sous couvert de réglementation, on a continué à autoriser une exploitation à polluer. »

L’État avait-il d’autres options, quand le seul recours était alors de faire fermer le site ? « Politiquement, sûrement pas, admet l’avocat. J’imagine mal un fonctionnaire local s’élever face à un groupe qui réalise des milliards de chiffre d’affaires et fournit 2 000 emplois indirects dans le bassin. » Depuis, l’usine a organisé sa propre insolvabilité et laissé 800 personnes sur le carreau, dont certaines bataillent encore pour obtenir entière réparation. « Il est temps que l’État assume », conclut Bruno Adolphi.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Source : Pollution. L’État face aux années de plomb de Metaleurop | L’Humanité

France 3 et France Bleu annoncent s’allier pour créer ensemble le grand média numérique de la vie locale. – Leblogtvnews

France 3 et France Bleu annoncent s’allier pour créer ensemble le grand média numérique de la vie locale Il sera accessible pour les Français à partir de mars 2022 comme annoncé par la Ministre de la Culture au Sénat.Après franceinfo, première offre numérique d’information nationale, cette nouvelle coopération majeure des entreprises de l’audiovisuel public vise à offrir à tous les Français un service public ancré dans les territoires au plus près de la vie locale.

Source : France 3 et France Bleu annoncent s’allier pour créer ensemble le grand média numérique de la vie locale. – Leblogtvnews

Alerte info : C’est terminé : c’est la fin d’une grande marque chez LIDL!

Eau : Lidl plonge la marque Vittel dans la crise
Alors que Nestlé est lourdement mis en cause dans nos enquêtes pour sa gestion de la nappe phréatique dans les Vosges, le géant de la distribution Lidl annonce qu’il va cesser de vendre les bouteil…
mediapart.fr

Les bouteilles d’eau Vittel sont également critiquées pour d’autres raisons que la nappe phréatique. En 2019, on a reproché à la marque de continuer à être emballé dans du plastique à usage unique. Sans compter que Nestlé a aussi éliminé illégalement leurs déchets plastiques sur leurs propres propriétés.

Source : Alerte info : C’est terminé : c’est la fin d’une grande marque chez LIDL!

Brève | Le vaccin français Valvena serait aussi efficace que l’AstraZeneca et avec moins d’effets secondaires

Le vaccin de la biotech française Valvena offrirait une protection similaire à celle de l’AstraZeneca, avec une séroconversion supérieure à 95 %. © Valvena

Le laboratoire franco-autrichien Valvena peut enfin se réjouir d’une bonne nouvelle.

Selon les résultats initiaux de son essai de phase 3, les résultats sont « excellents », d’après Thomas Lingelbach, le directeur général de Valneva.

L’essai, mené au Royaume-Uni auprès de 4.012 participants âgés de plus de 18 ans, a comparé son vaccin à celui d’AstraZeneca (la procédure habituelle maintenant qu’une majorité de gens sont vaccinés).

Résultat : non seulement le vaccin produit un niveau d’anticorps neutralisants supérieur à celui du vaccin d’AstraZeneca et une séroconversion similaire, mais il affiche aussi un meilleur profil de tolérance, c’est-à-dire qu’il génère moins d’effets secondaires.

Source : Brève | Le vaccin français Valvena serait aussi efficace que l’AstraZeneca et avec moins d’effets secondaires

Waze, Coyote, TomTom : la fête est finie pour les applis anti-radars

Waze

Les applis anti-radars bloquées dans les zones blanches

D’après le décret, le signalement des contrôles de police ne sera plus possible dans des zones géographiques bien précises appelées zones blanches.

Elles s’étendront sur un rayon de 2 km en ville et 10 km hors-agglomération.La période de blocage sera également courte. Le décret annonce une limitation à deux heures pour les contrôles d’alcoolémie, de stupéfiants ou de vitesse (uniquement sur des opérations de grande ampleur).

Ce délai peut être étendu à 12 heures, sur décision du préfet de police, en cas d’alerte enlèvement ou d’attaque terroriste.

Source : Waze, Coyote, TomTom : la fête est finie pour les applis anti-radars

Discours du Premier ministre à la cérémonie d’accréditation du laboratoire de haute sécurité biologique P4 – Wuhan (Chine) | Gouvernement.fr

« La France mettra en outre à la disposition de la Chine son expertise technique pour soutenir l’amélioration continue de la qualité et de la sécurité du laboratoire. Cette assurance qualité devrait permettre au laboratoire de Wuhan d’intégrer à terme le dispositif global d’alerte et de réponse aux crises sanitaires de l’OMS, ce qui constituera une contribution essentielle de nos deux pays au renforcement des politiques de santé publique en Asie et dans le monde. »

Source : Discours du Premier ministre à la cérémonie d’accréditation du laboratoire de haute sécurité biologique P4 – Wuhan (Chine) | Gouvernement.fr

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Discours du Premier ministre à la cérémonie d’accréditation du laboratoire de haute sécurité biologique P4 – Wuhan (Chine)

Discours

Publié le : 23/02/2017Contenu publié sous le Gouvernement Cazeneuve du 06 Décembre 2016 au 14 Mai 2017

« La France est fière et heureuse d’avoir contribué à la construction du premier laboratoire de haute sécurité biologique P4 en Chine. Conçu par des experts français, puis mis en chantier à WUHAN en 2011, cet outil de pointe constitue un élément central de la réalisation de l’accord intergouvernemental de 2004 sur la coopération franco-chinoise en matière de prévention et de lutte contre les maladies infectieuses émergentes. »

Contenu publié sous le Gouvernement Cazeneuve du 06 Décembre 2016 au 14 Mai 2017
Seul le prononcé fait foi

Madame la Ministre,
Messieurs les Ministres,
Messieurs les Parlementaires,
Monsieur l’Ambassadeur (ambassadeur de Chine en France, M. ZHAI Jun),
Monsieur le Gouverneur (gouverneur de la province de HUBEI, M. WANG Xiaodong)
Monsieur le Secrétaire du Parti de la ville de Wuhan, (M. CHEN Yixin)
Monsieur le Maire de la ville de Wuhan (M. WAN Yong)
Monsieur le vice-président de l’Académie des Sciences de Chine, (M. ZHANG Yangmin)
Monsieur le Président-Directeur général de l’INSERM, (M. Yves LEVY)

La France est fière et heureuse d’avoir contribué à la construction du premier laboratoire de haute sécurité biologique P4 en Chine. Conçu par des experts français, puis mis en chantier à WUHAN en 2011, cet outil de pointe constitue un élément central de la réalisation de l’accord intergouvernemental de 2004 sur la coopération franco-chinoise en matière de prévention et de lutte contre les maladies infectieuses émergentes.

De même que le nouveau laboratoire P4-Inserm de Lyon, conçu par les mêmes sociétés françaises, celui où nous nous trouvons est un modèle de technologie au plus haut niveau mondial. Parfaitement maitrisées par nos entreprises d’ingénierie et nos équipementiers, ces technologies de laboratoire constituent un atout majeur pour garantir la sécurité des populations tout en développant une capacité nationale de gestion du risque biologique.

Depuis la pandémie de SRAS qui en 2003 a coûté la vie à des centaines de personnes, principalement en Asie, nous avons pu mesurer la gravité des risques et l’importance d’une coopération internationale renforcée dans ces domaines. Car le dérèglement climatique, la mondialisation des échanges, l’accroissement de la mobilité des personnes, des espèces animales et des denrées alimentaires ne connaissent pas de frontières. La France et le monde ont été confrontés, au cours des dernières années, à des crises sanitaires majeures, qui représentent un défi grandissant pour la communauté internationale. Je pense bien sûr aux épidémies de CHIKUNGUNYA, de ZIKA, et de fièvre hémorragique EBOLA.

Parce que les crises sanitaires portent avec elles des risques considérables de déstabilisation économique, sociale et politique, nous devons agir au niveau international en nous dotant d’une gouvernance solide. Soucieuse au plus haut point de la sécurité sanitaire mondiale, la France a compris la nécessité de renforcer les moyens de la recherche au plus près des lieux d’émergence des épidémies. C’est pourquoi elle a joint ses forces à celles de la Chine pour créer à WUHAN un laboratoire P4.

Renforcer la gouvernance internationale en matière de sécurité sanitaire, c’est encore l’objectif que vise notre pays en apportant à l’Organisation mondiale de la santé un appui sans faille. Permettez-moi de rendre ici hommage à Margaret CHAN, directrice générale de l’OMS, pour son action à la tête de cette organisation stratégique : son successeur aura à poursuivre les réformes engagées pour lui permettre d’assumer son rôle de pilier de l’organisation sanitaire mondiale.

Mesdames, Messieurs,
ce laboratoire que nous avons bâti ensemble sera un fer de lance de notre lutte contre les maladies émergentes. Il accroîtra considérablement la capacité de la Chine à conduire des recherches de pointe et à réagir efficacement à l’apparition de maladies infectieuses qui menacent les populations de l’ensemble du globe.

La France sera aux côtés de la Chine pour répondre à ces menaces, conformément aux engagements scellés par l’accord de 2004 et son avenant de 2006. L’Inserm et l’Académie des sciences de Chine ont en outre signé en juin 2016 un mémorandum d’entente prévoyant que des programmes conjoints associent les laboratoires P4 de Lyon et de WUHAN.

Cette coopération repose également sur l’accord signé en 2014 entre l’Inserm, l’Institut Pasteur, la fondation Mérieux et le Centre chinois pour le contrôle et la prévention des maladies (CDC), ainsi que sur les rapprochements entre l’institut Pasteur en France, l’institut Pasteur de Shanghai, la fondation Mérieux et l’Institut de virologie de WUHAN.

Afin de soutenir cette dynamique de coopération, l’Etat français mettra à disposition un budget d’un million d’euros par an sur cinq ans. J’ai demandé au président de l’Inserm, en sa qualité de président de l’Alliance nationale pour les sciences de la vie et de la santé (AVIESAN), de travailler rapidement à l’élaboration avec la Chine d’un programme de coopération autour du P4 de WUHAN, dont les détails pourront être discutés au printemps lors de la prochaine réunion du comité de pilotage de l’accord de 2004.

La France mettra en outre à la disposition de la Chine son expertise technique pour soutenir l’amélioration continue de la qualité et de la sécurité du laboratoire. Cette assurance qualité devrait permettre au laboratoire de Wuhan d’intégrer à terme le dispositif global d’alerte et de réponse aux crises sanitaires de l’OMS, ce qui constituera une contribution essentielle de nos deux pays au renforcement des politiques de santé publique en Asie et dans le monde.

L’action de l’Institut Pasteur, enfin, est essentielle : il participe ainsi, dans le cadre de sa stratégie internationale, à la mise en place de partenariats par le réseau des Instituts Pasteur en Asie et en Afrique.

La France est riche d‘une longue tradition d’excellence scientifique et technologique. Fréquemment récompensée par la médaille Fields, elle est l’un des cinq pays ayant obtenu le plus grand nombre de prix Nobel, dont celui de chimie, attribué à Jean-Pierre Sauvage en 2016.

Paris vient en outre d’accéder à la seconde place du classement des villes les plus innovantes d’Europe et talonne désormais Londres. En avril prochain, le plus grand incubateur du monde, la Station F, pouvant abriter jusqu’à 1000 start-up, ouvrira ses portes à Paris. Les levées de fonds de nos start-ups ont augmenté de 22% en 2016, pour atteindre 2,7 milliards d’euros.

La France et la Chine travaillent ensemble dans de nombreux autres domaines scientifiques, comme la recherche spatiale où elles coopèrent pour la conception et le lancement de deux satellites d’observation, le premier destiné à l’astronomie, le second à l’étude environnementale. L’assemblage de celui-ci aura lieu à XI’AN et à Pékin avec l’aide d’équipes du Centre national d’études spatiales (CNES) et de partenaires français établis en Chine.

Dans le domaine de l’environnement, encore, l’Unité mixte internationale du CNRS à Shanghai représente un partenariat essentiel pour la mise au point de procédés chimiques permettant de limiter la dépendance aux énergies fossiles.

Ces projets montrent toute l’importance du dialogue étroit qu’ont su développer Pékin et Paris, dialogue sans lequel l’accord ambitieux obtenu lors de la COP 21 n’aurait pas été possible.

En saluant aujourd’hui l’accréditation du laboratoire P4 de WUHAN, c’est l’ensemble de la coopération scientifique franco-chinoise que nous souhaitons célébrer. Loin de se limiter à Pékin et à Shanghai, elle embrasse désormais toute la Chine. Elle apporte à la recherche fondamentale un soutien décisif et la met au service de la prévention de risques qui nous menacent tous. Nos accords de coopération sur la sécurité sanitaire, signés à Paris en juillet dernier, y apporteront eux aussi une contribution majeure.

Permettez-moi enfin d’adresser mes félicitations à tous les acteurs engagés dans la coopération franco-chinoise qui ont permis la réalisation de ce projet essentiel

Je vous remercie.

Discours du Premier ministre à la cérémonie d’accréditation du laboratoire de haute sécurité biologique P4 – Wuhan (Chine)

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POURQUOI DES SITES DE  L ETAT FRANCAIS SUR DES SERVEURS AUX ETATS UNIS  ?  Les perturbations chez OVH seraient dues à un mauvais copier-coller lors d’une maintenance

« Ce site est inaccessible ». Une importante panne informatique dans un datacenter d’OVHCloud a empêché les internautes d’accéder à de nombreux sites, mercredi 13 octobre dans la matinée. « Suite à une erreur humaine durant la reconfiguration du network » sur un datacenter localisé à Vint Hill, en Virginie (est des Etats-Unis), l’hébergeur français a rencontré « un souci » sur son réseau informatique, a expliqué sur Twitter le fondateur du géant français de l’informatique en réseau et de l’hébergement, Octave Klaba.

« Nous allons isoler [le datacenter de Vint Hill], puis fixer la configuration », a-t-il ajouté. L’opération de maintenance s’est déroulée entre 9 heures et 10h30, permettant un retour à la normale.

Après cette intervention, les sites hébergés par OVHCloud étaient en effet de nouveaux accessibles en milieu de matinée.

Une « mauvaise configuration du routeur »

Octave Klaba explique que face à une hausse du nombre d’attaques informatiques par déni de service (DDoS), l’hébergeur a décidé d’ajouter de nouvelles infrastructures pour faire face à la surcharge de trafic dans son centre de données de Vint Hill. « Une mauvaise configuration du routeur a provoqué la panne du [réseau]« , détaille-t-il.

Cet incident survient à un moment crucial pour l’entreprise, qui doit entrer en Bourse vendredi.

QUELS SITES SONT HORS LIGNE ?

La panne actuelle est encore plus vaste que l’incendie qui a touché des centres de données d’OVHCloud car cela semble toucher le réseau global. Le site data.gouv.fr, hébergé par OVH, n’est plus accessible, il y a également le site Démarches simplifiées, celui de l’aéroport de Strasbourg, le site de vente Interflora…

Source : Les perturbations chez OVH seraient dues à un mauvais copier-coller lors d’une maintenance

Comment enregistrer le son d’un PC avec Audacity

Comment enregistrer le son d'un PC avec Audacity

Comment enregistrer le son du PC avec Audacity ? NEWSLETTER Voir un exemple Audacity est un logiciel libre et gratuit d’enregistrement et de traitement audio. Malgré son grand âge – plus de vingt ans ! –, et même s’il existe de nombreux outils plus riches, il demeure une référence pour les amateurs de son. Il se montre très puissant et plutôt bien adapté à l’enregistrement, quelle que soit la source. C’est donc lui qui va se charger de récupérer tous les sons émis par Windows ou l’appli de votre choix.

Source : Comment enregistrer le son d’un PC avec Audacity

QR code gratuit : comment créer un code personnalisé

QR code gratuit : comment créer un code personnalisé

Comment créer un QR code pour une URL ? Vous souhaitez donner l’adresse d’un site ou d’une page Web ? Creez un code QR qui permettra d’y accéder directement, sans risque d’erreur, surtout si l’URL est longue…  Avec votre navigateur Web habituel, allez sur le site QR Code Generator. Sur la page d’accueil, cliquez sur la vignette URL en haut à gauche.

Source : QR code gratuit : comment créer un code personnalisé

Téléphone qui ne charge plus : comment nettoyer la prise

Téléphone qui ne charge plus : comment nettoyer la prise

insérez le cure-dent dans la prise femelle et raclez délicatement. En quelques secondes, vous retirerez les fameuses peluches accumulées. Répétez l’opération, pour évacuer le maximum de résidus. Vous risquez d’être étonné par ce que vous ressortirez, surtout si vous n’avez jamais pratiqué l’opération…

Source : Téléphone qui ne charge plus : comment nettoyer la prise

Fondation : une bonne nouvelle pour les fans de la série d’Apple TV+

Fondation © Apple TV+

L’adaptation de l’œuvre culte d’Isaac Asimov aura droit à une saison 2, comme le confirme officiellement Apple dans un communiqué.

Long terme » en effet puisque David S. Goyer a précédemment déclaré qu’il envisageait pas moins de huit saisons au total. Il faut dire que le cycle de Fondation est massif et que 80 épisodes ne seront sans doute pas de trop.

Source : Fondation : une bonne nouvelle pour les fans de la série d’Apple TV+