TRÉSOR DU PARLER PERCHERON auteur Albert DUD’HUIT Alain MORIN Marie-Rose SIMONI-AUREMBOU
TRÉSOR DU PARLER PERCHERON
Auteur : Albert DUD’HUIT – Alain MORIN – Marie-Rose SIMONI-AUREMBOU
Le Trésor du parler percheron, attendu depuis cent ans, voie le jour le 10 décembre 1979. Il est le fruit de la complicité de trois auteurs, Albert Dud’huit, Alain Morin et Marie-Rose Simoni-Aurembou, qui ont partagé leurs connaissances et leurs compétences, pour offrir aux Percherons de naissance et de cœur un ouvrage hautement scientifique illustré par Jean-Pierre Champdavoine.
21,80€ TTC
TRÉSOR DU PARLER PERCHERON auteur Albert DUD’HUIT Alain MORIN Marie-Rose SIMONI-AUREMBOU
Ouvrage de 336 pages, format 140 x 215 mm, impression sur papier couché satiné 135 g, illustrations, broché dos carré collé.
Il a fallu sept ans de recherches pour que le Trésor du parler percheron, attendu depuis cent ans, voie le jour le 10 décembre 1979. Il est le fruit de la complicité de trois auteurs, Albert Dud’huit, Alain Morin et Marie-Rose Simoni-Aurembou, qui ont partagé leurs connaissances et leurs compétences, pour offrir aux Percherons de naissance et de cœur un ouvrage hautement scientifique illustré par Jean-Pierre Champdavoine.
Ce qui a fait dire à Jacques Monfrin, alors directeur de l’École des chartes, dans sa préface : « Par les richesses qu’ils apportent, par l’enrichissement qu’ils susciteront, les auteurs de ce Trésor ont bien servi non seulement le patrimoine de leur Perche natal, mais celui de toute la communauté française. »
Des auteurs qui tablaient sur un accueil modeste du public et plaçaient la barre des ventes à hauteur de 500 livres alors que le tirage était de 1 000 ouvrages. Erreur magistrale puisque ce Trésor a été épuisé en quelques mois seulement. Comme quoi, lorsque l’on aborde les racines profondes de notre ancienne province, le succès est au rendez-vous. À tel point que trois rééditions se sont succédé pour déboucher sur un véritable succès de librairie avec 5 000 exemplaires. Épuisé depuis plus de vingt ans, il nous est apparu nécessaire de pouvoir le porter à la connaissance des nouvelles générations de nos adhérents et plus largement aussi aux « accourus ».
Étudié à l’université de Leningrad (Russie) et dans les universités du Québec, il a contribué à l’enrichissement du Trésor de la langue française du Québec (TLFQ) et de l’Atlas sonore du CNRS. Il ne se contente pas d’être un dictionnaire, il étudie aussi la grammaire avant de mettre en situation les mots au travers de textes savoureux dont les auteurs sont salués comme il se doit. On ne peut donc qu’inviter le lecteur à plonger dans ce Trésor du parler percheron pour apprécier l’âme du Perche.
TRÉSOR DU PARLER PERCHERON
INTRODUCTIONS
5e édition, mode d’emploi
Avant-propos
Préface
Variante dialectale ou langue fossilisée ?
NOTES ET RÉFÉRENCES À L’USAGE DU DICTIONNAIRE
Observations grammaticales
Locuteurs référents
DICTIONNAIRE DU PARLER PERCHERON
EXPRESSIONS PITTORESQUES
ANNEXES
Planches illustrées
Chroniques en parler régional dans la presse du Perche aux XIXe et XXe siècles
UNE FEUILLE DE ROUTE POUR « DOUBLER LA PUISSANCE CHAQUE ANNÉE »
Pour la première fois depuis des années, Huawei a également rendu publique sa feuille de route pour ses puces IA.
L’entreprise prévoit de sortir une nouvelle génération de ses puces Ascend chaque année jusqu’en 2028 (950 en 2026, 960 en 2027, 970 en 2028), avec l’objectif de « doubler la puissance de calcul à chaque version ». Huawei a également annoncé développer sa propre mémoire à haute bande passante.
Le géant chinois Huawei a dévoilé, lors de sa conférence annuelle « Huawei Connect », sa nouvelle gamme de supercalculateurs pour l’IA, basés sur ses propres puces Ascend. L’entreprise affirme que ses nouveaux systèmes seront les plus puissants du monde, dépassant même les futures machines de Nvidia et le superordinateur « Colossus » d’Elon Musk.Visuel : scmp.com
Une stratégie de « cluster » pour compenser les sanctions
C’est une annonce qui sonne comme un défi direct aux États-Unis. Alors que les sanctions américaines l’empêchent d’accéder aux technologies de gravure les plus avancées, Huawei ne peut pas produire des puces individuellement aussi puissantes que celles de Nvidia.
Pour compenser, l’entreprise a donc adopté une stratégie de « clusterisation » massive. Elle a développé des systèmes, les « supernodes » Atlas, capables de connecter des milliers de ses puces Ascend entre elles de manière ultra-efficace. Ces « supernodes » sont ensuite regroupés pour former des « superclusters ». Le nouveau « Atlas 950 SuperCluster », prévu pour l’année prochaine, regroupera ainsi plus de 500 000 puces Ascend.
Lors de sa présentation, le président de Huawei, Eric Xu, a affirmé que cette approche permettrait à son système d’être 6,7 fois plus puissant que le futur système NVL144 de Nvidia.
Visuel : scmp.com
Une feuille de route pour « doubler la puissance chaque année »
Pour la première fois depuis des années, Huawei a également rendu publique sa feuille de route pour ses puces IA. L’entreprise prévoit de sortir une nouvelle génération de ses puces Ascend chaque année jusqu’en 2028 (950 en 2026, 960 en 2027, 970 en 2028), avec l’objectif de « doubler la puissance de calcul à chaque version ». Huawei a également annoncé développer sa propre mémoire à haute bande passante.
Visuel : scmp.com
Un défi direct à la domination américaine
Cette démonstration de force arrive dans un contexte de guerre technologique intense. Elle intervient alors que Pékin fait pression sur ses propres géants de la tech pour qu’ils cessent d’acheter les puces de Nvidia et privilégient les solutions nationales. La Chine a d’ailleurs récemment lancé une enquête anti-monopole contre l’entreprise américaine.
On en dit quoi ?
C’est une démonstration de force de la part de Huawei. Malgré les sanctions américaines qui devaient les mettre à genoux, l’entreprise a non seulement survécu, mais a réussi à développer un écosystème IA complet, de la puce au supercalculateur.
Leur stratégie de « compensation par le nombre » est une réponse pragmatique et intelligente aux restrictions technologiques. Si les performances annoncées sont réelles, cela prouverait que la Chine est en train de réussir son pari de l’autosuffisance. C’est une mauvaise nouvelle pour Nvidia, qui risque de perdre son plus grand marché à terme. Et vous, vous pensez que Huawei peut vraiment rattraper son retard sur Nvidia malgré les sanctions américaines ?
Gratuite, accessible à tous, la plateforme Carto Tchoo suit en temps réel le parcours de chaque train du pays. Développée par un ingénieur de la SNCF, la carte est un petit bijou d’informations, aussi pratique qu’interactif.
Cette carte gratuite développée par un ingénieur de la SNCF va vous réconcilier avec le train
Par Alexandre Boero, Journaliste-reporter, responsable de l’actu.
Publié le 18 septembre 2025 à 20h34
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Gratuite, accessible à tous, la plateforme Carto Tchoo suit en temps réel le parcours de chaque train du pays. Développée par un ingénieur de la SNCF, la carte est un petit bijou d’informations, aussi pratique qu’interactif.
Imaginez pouvoir suivre, en vacances, à la maison ou dans votre wagon, le déplacement de n’importe quel train en temps réel ? C’est ce que Nicolas Wurtz, ancien conducteur de train reconverti à la Tech à la SNCF, a rendu possible avec Carto Tchoo, un outil gratuitement accessible en ligne qui affiche la position exacte des TGV, OUIGO, Intercités, Lyria, RER et TER du pays. Et la plateforme ne cesse d’évoluer !
Une cartographie ferroviaire complète et accessible gratuitement
Remarquée par nos confrères de Numerama, Carto Tchoo mérite son quart d’heure de popularité ! Contrairement aux applications officielles souvent laborieuses, celle de Nicolas Wurtz fait de l’information ferroviaire une expérience fluide, presque addictive. D’un simple clic sur n’importe quel train, la vitesse instantanée, la provenance, la destination et les retards s’affichent, le tout en temps réel.
La richesse fonctionnelle de Carto Tchoo dépasse largement la simple géolocalisation de trains. Entre les tunnels, la signalisation, les passages à niveau et même l’électrification des voies, la carte dévoile les entrailles techniques du réseau français. Plus spectaculaire encore, la fameuse « carte de chaleur des retards » colore instantanément les zones ont un problème a pu survenir, en vous informant automatiquement sur le retard du train.
Cette débauche d’informations reste d’une simplicité biblique, puisqu’aucune inscription, aucun téléchargement, aucun euro ne vous sera réclamé. Trois clics suffisent pour plonger dans cet univers parallèle où chaque pixel raconte une histoire ferroviaire du moment. Les mises à jour s’effectuent automatiquement toutes les minutes, une réactivité qui ferait pâlir d’envie bien des applications et développeurs.
Le développeur de Carto Tchoo apporte sans cesse de nouvelles améliorations
Après avoir passé dix-huit années aux commandes des trains SNCF (2001-2020), Nicolas Wurtz a basculé dans l’ingénierie logicielle chez SNCF Connect & Tech. Son CV nous fait vite comprendre pourquoi son outil colle si parfaitement aux besoins réels des utilisateurs.
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Si son projet était au départ baptisé « Carto Graou » en 2014, il l’a transformé en « Carto Tchoo » à l’été 2024, en allant bien au-delà du lifting cosmétique. Son idée était de distinguer clairement sa création grand public des autres. Ce processus lui a permis de libérer sa créativité, et figurez-vous que notre spécialiste ne s’arrête plus ! Encore ce mercredi, il dévoilait l’intégration des écartements de voies ferrées, le tout grâce à OpenStreetMap et Wikipedia.
Au tout début de l’été, Nicolas a pu métamorphoser les performances de Carto Tchoo, grâce à la base de données ClickHouse. Concrètement, analyser huit années de données de ponctualité ferroviaire prenait six interminables minutes sur MariaDB (un système de base de données relationnelle), contre 1,2 seconde aujourd’hui dans ClickHouse, « sans index, sans optimisation et sur la même machine », expliquait-il récemment.
L’optimisation de la carte ouvre la voie (vous nous excuserez pour ce jeu de mots) à des fonctionnalités inédites que le créateur distille au compte-gouttes, tout en maintenant le suspense auprès de sa communauté grandissante.
Pékin affirme que ses fabricants locaux seraient désormais capables d’égaler, voire dans certains cas de surpasser, les modèles Nvidia H20 et RTX Pro 6000D spécialisés IA.
Les sociétés telles que Huawei, Baidu et Cambricon auraient présenté des rapports détaillant la « parité technologique » atteinte avec les solutions américaines, à la demande du gouvernement.
Cette stratégie s’inscrit dans une logique d’autosuffisance :
sortir du joug technologique américain, favoriser la production et l’innovation nationale mais aussi renforcer le poids de l’écosystème domestique.
Les analystes cités estiment que ce choix envoie un signal limpide :
plus aucun retour en arrière n’est envisagé, même en cas l’assouplissement des tensions avec Washington.
La Chine interdit à ses plus grandes entreprises technologiques d’acquérir les dernières puces IA Nvidia, affirmant que ses propres processeurs égalent désormais les modèles américains. L’écosystème de l’intelligence artificielle en Asie est-il à l’aube d’un bouleversement historique ?
Moins de deux ans après la mise en place par les États-Unis de restrictions à l’exportation de puces avancées, la Chine riposte en interdisant à ses principales entreprises tech l’achat des processeurs Nvidia dédiés à l’intelligence artificielle.
Cette décision, prise sous la houlette du Cyberspace Administration of China (CAC), réoriente la stratégie des géants du secteur et ouvre une nouvelle page sur la capacité des fabricants nationaux à rivaliser face au leader mondial des accélérateurs IA.
Alors que le secteur pouvait passer commande pour les modèles RTX Pro 6000D et H20, l’ordre de Pékin marque un virage aux répercussions très concrètes. Les décisions prises ces dernières semaines signalaient un durcissement des positions mais pas forcément un arrêt brutal.
Les autorités chinoises semblent cependant convaincues de pouvoir se passer des composants IA de Nvidia et de disposer d’alternatives locales suffisamment intéressantes pour se passer des puces américaines. Le cauchemar de Jensen Huang, dirigeant de Nvidia, à savoir le choix de la Chine de se passer des technologies IA américaines, est-il en train de se réaliser ?
Les raisons d’une interdiction fulgurante et les entreprises touchées
L’annonce est tombée comme un couperet : le régulateur chinois a expressément demandé à des géants tels que ByteDance ou Alibaba de supprimer leurs commandes de GPU Nvidia, y compris les stocks en test.
Cette directive s’accompagne d’une demande explicite : « stopper toutes les activités en lien avec la RTX Pro 6000D ». Selon les rapports, l’ancien engouement pour ces puces de dernière génération, pourtant conçues pour répondre aux restrictions américaines, n’a actuellement plus droit de cité sur le marché chinois. L’organe de régulation va plus loin que la précédente décision limitant les H20 : cette fois, l’interdiction est catégorique.
La Cyberspace Administration of China a ciblé spécifiquement les modèles dédiés à la Chine, limitant de facto l’accès à toute nouvelle génération de GPU Nvidia, et de nombreux fournisseurs locaux, déjà pressentis pour gérer des dizaines de milliers d’unités, se retrouvent dans l’incapacité de livrer leurs clients traditionnels.
Selon certaines sources, une partie des groupes concernés attendait encore d’éventuelles autorisations américaines pour se tourner vers des modèles alternatifs comme l’accélérateur IA B30A avec architecture Blackwell, mais l’étau s’est définitivement resserré.
Des puces chinoises annoncées « à niveau » face à Nvidia : mythe ou réalité ?
Pourquoi cette décision maintenant ? Pékin affirme que ses fabricants locaux seraient désormais capables d’égaler, voire dans certains cas de surpasser, les modèles Nvidia H20 et RTX Pro 6000D spécialisés IA.
Les sociétés telles que Huawei, Baidu et Cambricon auraient présenté des rapports détaillant la « parité technologique » atteinte avec les solutions américaines, à la demande du gouvernement.
Cette stratégie s’inscrit dans une logique d’autosuffisance : sortir du joug technologique américain, favoriser la production et l’innovation nationale mais aussi renforcer le poids de l’écosystème domestique.
Les analystes cités estiment que ce choix envoie un signal limpide : plus aucun retour en arrière n’est envisagé, même en cas d’assouplissement des tensions avec Washington.
Les processeurs chinois seraient capables de supporter des applications IA de pointe, jusqu’ici réservées aux accélérateurs étrangers. Mais la pression monte désormais sur les acteurs nationaux qui devront prouver cette parité sur le terrain et convaincre des entreprises habituées au savoir-faire Nvidia…sans disposer des dernières techniques de gravure, avec leurs avantages en termes d’efficacité et de consommation d’énergie, ni des dernières générations de mémoire rapide, comme la HBM4 qui sera bientôt disponible.
La transition ne se fait pas sans heurts : même si la production des puces locales s’intensifie, il restera difficile de rivaliser sur les performances pures. Il reste donc à voir si la différenciation pourra se faire sur les volumes, la Chine voulant tripler sa production de puces IA à court terme.
Impact sur Nvidia et réactions internationales
Pour Nvidia, ce nouveau revers place la firme dans une impasse sur ce qui constituait l’un de ses principaux marchés en pleine croissance. Si la société californienne avait adapté sa stratégie — en lançant des puces spécifiques à la législation chinoise — la réponse de Pékin semble remettre en cause la viabilité d’une telle approche à moyen terme.
Le CEO Jensen Huang, qui s’est exprimé à Londres à ce sujet, déclare : « Nous ne pouvons servir un marché que si ce dernier nous veut », pointant la patience et le pragmatisme face à l’évolution géopolitique.
Nvidia devra donc repenser sa stratégie globale pour l’Asie, alors que le marché chinois s’organise et se resserre autour des acteurs locaux. Le CEO a régulièrement pointé le danger de la perte du marché chinois, les volumes générés par ce dernier ne pouvant être compensés ailleurs dans le monde.
Nouvelle dynamique pour l’écosystème IA chinois
Cette décision politique, si elle tient sur la durée, pourrait accélérer la métamorphose du secteur de l’intelligence artificielle en Chine. Les géants locaux n’auront d’autre choix que de consolider leur transition vers les architectures nationales, développer des solutions logicielles optimisées pour leurs propres processeurs et multiplier les collaborations internes.
Selon un dirigeant d’entreprise cité par la presse : « Le message est fort et sans ambiguïté : il faut désormais construire un écosystème 100% chinois ». Reste à voir si ce virage précipité permettra à la Chine de garder sa compétitivité sur la scène mondiale ou si cette indépendance forcée limitera, pour un temps, le rayonnement de ses innovations IA..
Vers une nouvelle ère de l’IA, façonnée par la Chine ?
La patience de la Chine vis à vis des restrictions commerciales imposées par les Etats-Unis semble avoir atteint ses limites, et ce dans le contexte des négociations d’accords commerciaux entre les deux pays.
L’argument de l’avance technique des puces de Nvidia ne tient plus et les autorités chinoises sont désormais convaincues de pouvoir faire jeu égal avec leurs propres technologies.
C’est toute la crainte d’un remplacement des technologies US par celles de la Chine, dans le pays puis sur d’autres marchés à plus ou long terme, qui se réveille, et c’est aussi un moyen de pression des Etats-Unis qui s’évanouit, en plus du potentiel financier du marché, alors que le gouvernement américain compter prélever une part des revenus générés en Chine par Nvidia et AMD.
Surtout, la Chine s’affirme désormais comme une puissance égale aux Etats-Unis en matière d’intelligence artificielle et capable de suivre son propre chemin sans avoir de comptes à rendre ni dépendre d’approvisionnements extérieurs.
Il reste à voir dans quelle mesure l’annonce n’est pas prématurée, alors que la Chine ne dispose pas des techniques en gravure ultrafine ni le recul pour assurer un écosystème IA fiable, matériel et logiciel.
Mais elle peut toujours compter sur son immense marché interne et sur des capacités de production amenées à s’accroître rapidement. A défaut de la qualité, la Chine mise sur la quantité pour se passer des Etats-Unis
Oui. Je l’ai connu bien avant qu’il n’accède à la notoriété, en 1996
[avec son premier album Partir un jour, vendu à 2 smillions d’exemplaires, ndlr].
Beau et intelligent, il était à sa place partout, chez les duchesses comme chez les artistes.
Nous sommes allés ensemble à New York, en Russie et dans bien d’autres pays.
Il a dîné avec Claude Pompidou, le roi du Maroc, Johnny Hallyday, Carla Bruni, Alain Delon et Roger Hanin, dont il est devenu le partenaire dans Navarro.
Tout le monde a découvert qu’il avait de belles qualités de cœur et d’esprit, ainsi qu’une grande distinction.
Nous avons eu dix-sept années de complicité jusqu’à ce qu’il nous quitte le 16 septembre 2009, à 35 ans.
Cinq ans après la mort de � Filip Nikolic�, l’avocat et pygmalion du leader des “2B3″ n’a toujours pas surmonté sa disparition.
Depuis toujours, François Gibault aime la danse et ses adeptes. Il les évoque dans Libera Me, ses mémoires (éditions Gallimard). Cet avocat, protecteur des arts et des lettres, nous a ouvert sa maison et son cœur.
France Dimanche (F.D.) : Merci de nous recevoir chez vous.
François Gibault (F.G.) : C’est ma maison natale ! Je suis né dans cet hôtel particulier que j’ai hérité de ma mère. Mais les origines de ma famille sont très modestes. Mon grand-père Auguste, qui était cordonnier, a réussi une ascension sociale formidable. Il est devenu président de la Chambre syndicale de la chaussure française, à force d’acheter des magasins. Je le vénère.
F.D. : Parlez-nous de votre passion pour la danse ?
F.G. : Elle m’est venue il y a plus de cinquante ans, en côtoyant l’immense danseuse Lucette Almanzor, âgée aujourd’hui de 102 ans. C’est la veuve de l’écrivain Louis-Ferdinand Céline. Si je publie aujourd’hui mes mémoires, c’est grâce à elle, qui m’a véritablement initié à la littérature. Je connais beaucoup de gymnastes et de danseuses que je lui présentais. Ainsi Filip Nikolic a dîné cent fois chez elle.
F.D. : Pour le grand public qui l’aimait et l’idolâtrait, la mort brutale de votre ami Filip Nikolic a été un choc terrible. Avez-vous été son pygmalion ?
F.G. : Il a fait tout ce qu’il a voulu, car il possédait tous les talents : danser, chanter, être acteur. Je n’ai jamais connu de garçon aussi charismatique et doué. Nous nous sommes rencontrés dans une salle de sport, il avait 18 ans, et moi presque 60. Lui, espoir de la gymnastique française, et moi, avocat déjà plus très jeune. J’ai hébergé ce gamin de la banlieue, fils d’immigrés serbes, d’un milieu très modeste. Il était intelligent et s’est tout de suite bien adapté à son changement de vie. Je lui ai offert un bagage culturel, mais lui m’a rendu ma jeunesse !
F.G. : Oui. Je l’ai connu bien avant qu’il n’accède à la notoriété, en 1996 [avec son premier album Partir un jour, vendu à 2 smillions d’exemplaires, ndlr]. Beau et intelligent, il était à sa place partout, chez les duchesses comme chez les artistes. Nous sommes allés ensemble à New York, en Russie et dans bien d’autres pays. Il a dîné avec Claude Pompidou, le roi du Maroc, Johnny Hallyday, Carla Bruni, Alain Delon et Roger Hanin, dont il est devenu le partenaire dans Navarro. Tout le monde a découvert qu’il avait de belles qualités de cœur et d’esprit, ainsi qu’une grande distinction. Nous avons eu dix-sept années de complicité jusqu’à ce qu’il nous quitte le 16 septembre 2009, à 35 ans.
F.D. : Selon vous, Filip aura-t-il été heureux ?
F.G. : Oui, il vivait depuis de longues années avec Valérie et avait une fille, Sasha, qui a maintenant une dizaine d’années. C’est une merveille d’enfant, intelligente et belle. Filip l’adorait, elle était sa raison de vivre. Et la petite Sasha le lui rendait bien : elle adorait son papa.
F.D. : Parlez-nous d’une autre artiste évoquée dans vos mémoires, Françoise Sagan ?
F.G. : Françoise, je l’ai connue au lit, en 1962, à l’Hôpital américain, où elle venait d’accoucher de son fils. Elle était parmi une forêt de fleurs blanches, qu’elle avait reçues par camions entiers. C’est son mari d’alors, mon ami Bob Westhoff, qui me l’avait présentée. Ils ont divorcé après deux ans de mariage, mais ont continué à vivre longtemps ensemble. À ma question : « Pourquoi avoir divorcé, puisque Bob et vous vivez toujours ensemble ? », elle répondait : « Je trouve les hommes célibataires beaucoup plus séduisants que les hommes mariés. » J’ai connu sa maison d’Équemauville à 3 kilomètres de Honfleur, pleine de gens très amusants, venus dans de grosses voitures, qui venaient boire du champagne. Je lui ai présenté Filip Nikolic. On a partagé beaucoup de secrets, et aussi des chagrins. C’était une grande romancière, très intelligente et cultivée. Elle prêtait ou donnait généreusement de l’argent à ses copains, et elle a fait de mauvais placements. Quand elle n’a pas pu payer ses impôts, tous ses avoirs et ses droits d’auteur ont été saisis. Elle n’a plus eu un sou pendant une dizaine d’années, avec une dette fiscale augmentée par les intérêts et les pénalités. Aujourd’hui, c’est son fils, Denis Westhoff, qui gère très bien et relance l’œuvre littéraire de sa mère. Pour pouvoir accepter sa succession, il a su passer des accords avec le Trésor public, qu’il continue de rembourser avec les droits d’auteur. J’espère que des pièces de théâtre de Françoise seront à nouveau mises en scène. J’ai gardé plusieurs mots d’elle, dont celui-ci : « Cher François Gibault, je vous confirme que je vous recevrai volontiers dans mon caveau de Seuzac près de Bob Westhoff, mon ex-mari, et de moi-même, à l’heure de votre mort. Je vous embrasse. Françoise. »
F.D. : Le grand public connaît désormais Denis Westhoff, et vient de découvrir le fils caché de François Mitterrand. Vous avez aussi défendu un fils célèbre, resté dans l’ombre. Pouvez-vous nous en parler ?
F.G. : Dans l’exercice de mon métier, j’ai eu une clientèle assez exceptionnelle : des gens hors du commun, des dictateurs comme Kadhafi ou Bokassa. Dieu merci, j’ai eu la chance de plaider des affaires peu ordinaires. J’ai ainsi dû défendre Louis-Ferdinand Céline et un monsieur fort sympathique, Jean-Marie Loret, qui prétendait être le fils d’Adolph Hitler, et tout donne à penser qu’il disait vrai. Il était né durant la guerre de 1914-18, dans les Flandres, où stationnait à l’époque le régiment du caporal Hitler. Quand il a eu 20 ans, sa mère, Charlotte Lobjoie, lui a révélé l’identité de son père. En plus, mon client ressemblait physiquement au leader nazi. Je suis convaincu de sa bonne foi. Un faisceau d’autres éléments convergent en ce sens : d’une part, à l’école, on l’appelait « le Boche ». Et dans le grenier de la maison, on a retrouvé un portrait de Charlotte Lobjoie, manifestement l’œuvre d’Hitler. D’autre part, des prélèvements ADN sont en cours d’analyse.
F.D. : Comment ce fils putatif d’Adolph Hitler vivait-il cette filiation ?
F.G. : Plus Jean-Marie Loret progressait dans son enquête sur son père, plus il découvrait qu’il était probablement le fils de ce monstre. C’était très pénible. Il était tout autant en quête de vérité, qu’affolé à l’idée d’être le fils d’un tel criminel. Il pouvait, en plus, revendiquer une partie des droits d’auteur de Mein Kampf et des trésors cachés d’Hitler. Il était à la recherche d’une identité qui lui faisait horreur. Jean-Marie Loret est décédé en 1985, mais je suis encore en relation avec son fils, qui a hérité de cette « charge ».
Le père d’origine serbe de Filip Nikolic avait su apprécier Arnaud car il avait su redonner goût à la vie à son fils qui était devenu presque clochard après le succès des 2Be3.
La relation des deux amis n’était pas que physique mais très intellectuelle avec des discussions passionnées comme on peut le voir sur la photo ci-dessus prise au début de leur rencontre.
Ils avaient de nombreux projets en commun, mais le chantage affectif qu’aurait exercé l’ex compagne, Valérie Bourdin, lui interdisant de voir leur petite fille, Sasha né en 2005, s’il continuait à vivre avec un homme, aurait eu raison de sa santé fragilisé par l’alcool et les antidépresseurs.
Filip est décédé le 16 septembre 2009 à 35 ans, c’est Arnaud qui a appelé les pompiers, lui qui a prévenu la famille, mais aussi l’ex compagne Valérie Bourdin qui s’est positionné en veuve éplorée faisant passer Arnaud pour le co-locataire de Filip avec la complicité des agences de presse et des médias qui n’ont même pas eu l’intelligence d’aller rencontrer Arnaud (même s’il n’était que simple co-locataire) pour avoir des précisions sur les derniers jours de Filip Nikolic
Cela chauffe en boysbanderies. Le compagnon de Filip Nikolic, Arnaud Courté, est en colère et l’a fait savoir à la direction de TF1 en lui envoyant avec son avocat une lettre recommandée pour préciser que si le biopic en préparation sur le leader des 2Be3 est basé sur le livre de son ex compagne Valérie Bourdin, comme l’a annoncé le réalisateur Laurent Tuel, cela sera « encore une fois qu’un tissu de mensonges » dit-il. En effet, « Filip pour la vie » paru aux Editions du Rocher trahit la vraie vie de Filip Nikolic qui avait choisi de vivre différemment que l’image véhiculée sur papier glacé, le livre de son ex compagne a été écrit avec la complicité de Patrick Mahé, directeur des Editions du Rocher, et ancien rédacteur en chef de« Paris Match » se fourvoyant dans une escroquerie intellectuelle.
Pour rétablir la vérité, en tant que journaliste musical rock et pop au Parisien, ayant vécu de près le phénomène boys bands des années 90 et intimement lié à Filip ayant passé des soirées de « ouf » avec lui je ne manque de raconter sa love-story avec Arnaud dans une saga intitulée « BOYS BANDS SECRETS boysbanderies » disponiblesur Amazon. Filip qui était sincère aurait aimé que cela se sache mais certains continuent à mentir sur son dos et le trahissent sans vergogne.
Filip Nikolic était donc bisexuel et vivait avec Arnaud, un jeune homme d’affaires, pour lequel il était séparé de Valérie Bourdin et leur relation a commencé au début des années 2000. Tout son entourage savait la nature de leur relation tel Frank Delay avec qui Filip a fondé les 2Be3 mais aussi l’acteur Anthony Dupray qui jouait avec lui dans la série « Brigade Navarro » et venait souvent diner chez Filip et Arnaud rue du faubourg Saint-Honoré, même son avocat Francois Gibault les a souvent hébergés quand ils n’avaient pas d’appartement.
Le père d’origine serbe de Filip Nikolic avait su apprécier Arnaud car il avait su redonner goût à la vie à son fils qui était devenu presque clochard après le succès des 2Be3. La relation des deux amis n’était pas que physique mais très intellectuelle avec des discussions passionnées comme on peut le voir sur la photo ci-dessus prise au début de leur rencontre. Ils avaient de nombreux projets en commun, mais le chantage affectif qu’aurait exercé l’ex compagne, Valérie Bourdin, lui interdisant de voir leur petite fille, Sasha né en 2005, s’il continuait à vivre avec un homme, aurait eu raison de sa santé fragilisé par l’alcool et les antidépresseurs.
Filip est décédé le 16 septembre 2009 à 35 ans, c’est Arnaud qui a appelé les pompiers, lui qui a prévenu la famille, mais aussi l’ex compagne Valérie Bourdin qui s’est positionné en veuve éplorée faisant passer Arnaud pour le co-locataire de Filip avec la complicité des agences de presse et des médias qui n’ont même pas eu l’intelligence d’aller rencontrer Arnaud (même s’il n’était que simple co-locataire) pour avoir des précisions sur les derniers jours de Filip Nikolic
Le prince Hisahito, futur empereur du Japon, a vécu le moment le plus solennel de sa vie, ce samedi 6 septembre 2025, jour de son anniversaire, en présence de son oncle, l’empereur Naruhito.
Avec un an de retard, il a célébré sa majorité au palais impérial de Tokyo, en pratiquant un rituel ancestral.
La cérémonie de Kakan-no-Gi remonte au 9e siècle. Le moment le plus important est la pose d’une coiffe traditionnelle sur la tête du jeune homme, vêtu d’un costume traditionnel qui comprend une traîne de six mètres.
Le prince Hisahito devient adulte au cours d’une cérémonie pratiquée depuis le 9e siècle, en présence de l’empereur du Japon
Le prince Hisahito, futur empereur du Japon, a vécu le moment le plus solennel de sa vie, ce samedi 6 septembre 2025, jour de son anniversaire, en présence de son oncle, l’empereur Naruhito. Avec un an de retard, il a célébré sa majorité au palais impérial de Tokyo, en pratiquant un rituel ancestral. La cérémonie de Kakan-no-Gi remonte au 9e siècle. Le moment le plus important est la pose d’une coiffe traditionnelle sur la tête du jeune homme, vêtu d’un costume traditionnel qui comprend une traîne de six mètres.
Aux petites heures du matin, un envoyé de l’empereur du Japon est arrivé à la résidence du couple héritier, présentant une boîte remise par le monarque à son neveu. Le prince Hisahito, unique fils du couple héritier, a récupéré cette précieuse boîte contenant le kanmuri, sa coiffe traditionnelle d’homme adulte. Ce 6 septembre 2025, le prince Hisahito d’Akishino fête son 19e anniversaire. Pour des raisons d’organisation et du programme scolaire du jeune homme, c’est cette année qu’est organisée sa grande cérémonie d’entrée à l’âge adulte. La cérémonie a été reportée d’un an.
Après avoir reçu une boîte à son domicile en matinée, le prince Hisahito rejoint le palais impérial en voiture, ce 6 septembre 2025 (Photo : David Mareuil/Pool Photo via AP/SIPA)
Le prince Hisahito a deux grandes sœurs et il est donc le seul fils du prince héritier Fumihito d’Akishino et de la princesse héritière Kiko. Fumihito est le frère cadet de l’empereur Naruhito et il est son héritier, le monarque n’ayant qu’une fille unique qui ne peut pas lui succéder. Le prince Hisahito est considéré depuis sa naissance comme un futur monarque et comme étant le seul à pouvoir offrir une descendance à la dynastie Yamato, dont l’origine légendaire remonte jusqu’à la déesse Amaterasu, dont l’arrière-arrière-arrière-petit-fils, Jinmu, devint le premier empereur du Japon. Le premier empereur attesté historiquement est l’empereur Ojin, monté sur le trône en l’an 270. La monarchie nippone est donc la plus ancienne du monde.
Le prince Hisahito porte sa coiffe d’enfantLe prince Hisahito attend le début de la cérémonie
De nombreux rituels pratiqués à la cour impériale restent inchangés au fil des siècles. L’un de ces rituels quasi immuables s’est déroulé ce samedi, à l’occasion de la majorité du prince Hisahito. Seul changement, l’âge du jeune adulte. En 2022, le Japon a rabaissé l’âge de la majorité de 20 à 18 ans. Hisahito est le premier prince de la famille à vivre ce rituel aussi jeune. La dernière fois que cette cérémonie avait eu lieu, c’est son père, Fumihito d’Akishino qui l’avait vécue pour sa propre majorité en 1985, il y a tout juste 40 ans. L’empereur Naruhito a eu droit à cette cérémonie en 1980.
Le prince rejoint son siège près de la boîte contenant le kanmuriLa boîte contenant le kanmuri du prince Hisahito
Le prince Hisahito porte le kanmuri, la coiffe traditionnelle, et se présente à l’empereur Naurhito en tant qu’adulte
Le jeune prince a quitté le domicile familial et a rejoint le palais impérial en voiture, tenant sa précieuse boîte dans les mains. Il fut ensuite installé sur une chaise, et les membres de la famille impériale ont fait leur entrée par ordre protocolaire inversé. Après les princesses du Japon, sont entrés les parents du jeune homme puis l’empereur Naruhito accompagné de l’impératrice Masako. Le prince Hisahito portait un costume ancestral pour vivre le moment la cérémonie de Kakan-no-Gi.
Le prince Hisahito prêt à être couronné de son kanmuriPrésentation du kanmuri
La cérémonie de Kakan-no-Gi consiste à échanger de coiffe et à se présenter devant l’empereur dans son nouveau costume d’adulte. La cérémonie débute avec le prince dans un costume ancestral clair, attribué aux enfants. Ce costume comprend une longue traîne de six mètres. Il porte sur la tête une petite coiffe noire en tissu de soie très fin et presque translucide, fabriquée selon une technique de tissage très ancienne. La boîte en bois laqué incrustée d’éléments en nacre contenant la coiffe d’adulte a été fabriquée pendant la période Edo. Elle est généralement conservée dans une salle du palais impérial de Kyoto.
Le couvre-chef est posé sur la tête du prince HisahitoPar ce geste, le prince Hisahito est reconnu comme un adulte de la famille impériale, dorénavant investi d’un devoir de représentationL’empereur Naruhito et l’impératrice Masako assistent à la cérémonie de passage à l’âge adulte de leur neveu
Suivant un cérémonial sobre et inchangé au fil des siècles, un chambellan apporte la boîte, l’ouvre et dépose la coiffe d’adulte sur la tête du jeune prince. La coiffe, appelée kanmuri, a fait son apparition à la cour impériale vers le 8e siècle. Elle fut portée par les hommes de la cour, les aristocrates et les princes de la famille impériale. Au fil des siècles, le port de la coiffe a disparu mais elle est restée un élément symbolique important et elle est portée lors de certaines cérémonies impériales. La coiffe est caractérisée par la longue queue en soie fine qui retombe à l’arrière de la tête.
Le kanmuri est attaché avec un cordon blancLe prince Hisahito avec le kanmuri attachéLes fiers parents observent leur fils devenir un adulte
Le passage à l’âge adulte est célébré par la famille impériale depuis plus d’un millénaire. En l’an 714, le futur empereur Shomu aurait eu droit à une première cérémonie de ce type. À l’époque, les rituels pratiqués étaient influencés par ceux provenant de Chine. Les gestes et les symboles ont été adaptés au fil du temps, respectant la culture japonaise en évolution. Selon Mainichi, le rituel qui perdure encore aujourd’hui aurait été établi sous le règne de l’empereur Seiwa, au début de la période Heian. L’empereur Seiwa a régné de 858 à 876.
Le prince Hisahito s’avance vers l’empereur et l’impératriceLe jeune adulte s’incline devant le chef de l’État. Le prince héritier Fumihito d’Akishino et la princesse héritière Kiko sont assis à côté. Les princesses observent depuis le fond de la salle
Après avoir posé la coiffe sur la tête du prince Hisahito, le chambellan de la cour a noué un cordon blanc autour du kanmuri et en a coupé les extrémités avec des ciseaux spécifiquement dédiés à cette tâche. Le nouvel adulte s’est ensuite levé et a traversé la grande salle vide, suivi par un majordome pour lui soulever sa longue traîne. Le prince Hisahito s’est avancé lentement vers son oncle et sa tante, s’est incliné devant eux, puis il a prononcé quelques mots.
Le jeune adulte s’incline devant l’empereur Naruhito avant de prononcer son premier discoursL’empereur du Japon écoute le discours prononcé par son neveuLe prince Hisahito se dirige ensuite vers ses parentsLa princesse Aiko, fille unique de l’empereur et cousine du prince Hisahito, à côté de la princesse Kako, deuxième fille du couple héritier et sœur du prince Hisahito, lors de la cérémonie
Le prince Hisahito s’est ensuite incliné devant ses parents et a également prononcé quelques mots de remerciement. Après avoir prononcé son premier discours d’adulte, il a fait demi-tour et a rejoint sa chaise. Il a ensuite observé l’empereur et l’impératrice quitter la pièce avec les autres membres de la famille impériale.
La princesse héritière Kiko se lève pour écouter le discours de son filsLe prince Hisahito rejoint son siègeLe prince Hisahito d’Akishino observe pendant que la salle se vide après la cérémonie
Départ du prince Hisahito en carrosse dans son sokutai noir
Le prince Hisahito a ensuite revêtu la tenue traditionnelle d’adulte, de couleur noire, et a quitté le palais à bord d’un carrosse, permettant à la population de saluer le jeune adulte. D’autres cérémonies sont prévues plus tard dans la journée, dont une rencontre avec l’empereur Naruhito, qui lui remettra les insignes de l’ordre du Chrysanthème. Lundi, il visitera le sanctuaire shinto d’Ise Jingu, ainsi que le mausolée de l’empereur Jinmu. Mardi, il se rendra au mausolée de son arrière-grand-père l’empereur Hirohito, à Hachioji.
Le prince Hisahito quitte le palais dans son sokutai d’adulte (Photo : Yoshikazu Tsuno/Pool Photo via AP/SIPA)Après la cérémonie, le prince Hisahito quitte le palais dans son sokutai noir d’adulte avec le kanmuri sur la tête (Photo : David Mareuil/Pool Photo via AP/SIPA)Le prince Hisahito, dorénavant considéré comme un adulte, quitte le palais impérial de Tokyo à bord d’un carrosse (Photo : POOL/ZUMA/SIPA)
Une enveloppe de 2,578 millions de yens a été demandée au gouvernement pour la fabrication de la couronne du prince Hisahito, ce qui équivaut à environ 16 100 euros. Le kanmuri est traduit par « couronne » dans les textes internationaux, y compris sur la version anglaise du site officiel de la Maison impériale. Pour restreindre les coûts, le prince s’est contenté de reporter le costume porté par son père, lors de sa propre cérémonie de majorité en 1985. Le costume complet traditionnel est appelé sokutai.
Nicolas Fontaine a été concepteur-rédacteur et auteur pour de nombreuses marques et médias belges et français. Spécialiste de l’actualité des familles royales, Nicolas a fondé le site Histoires royales dont il est le rédacteur en chef. nicolas@histoiresroyales.fr
Les 8 États qui exploitent le plus de charbon en Amérique Le charbon est une source d’énergie très polluante — et toujours très populaire partout aux États-Unis. Voyez quels États en produisent le plus Par Ben Kesslen Publié Il y a 35 minutes
Le charbon ne domine peut-être plus le mix énergétique américain comme il le faisait autrefois, mais il reste un élément majeur du système énergétique du pays. En 2023, les combustibles fossiles — charbon inclus — représentaient 60,0 % de toute la production d’électricité américaine, selon les États-Unis. Administration de l’information sur l’énergie (EIE). Même si le gaz naturel a dépassé le charbon en tant que principale source et que les énergies renouvelables connaissent une croissance constante, le charbon fournit toujours de l’électricité à de nombreuses régions du pays.
Mais ce pouvoir s’accompagne d’une histoire longue et compliquée. Les usines alimentées au charbon, les chemins de fer et les centrales électriques ont façonné l’économie moderne. Dans le même temps, il s’agit du combustible fossile le plus gourmand en carbone, contribuant aux émissions de gaz à effet de serre, à la pollution de l’air et aux préoccupations environnementales liées aux pratiques minières. Et sa production continue se traduit par des émissions — et des températures — mondiales augmenter. Alors que les énergies renouvelables ont dépassé les combustibles fossiles dans le mix électrique américain en mars 2025, un groupe de réflexion a découvert que installations d’IA à forte consommation d’énergie stimulent la demande de nouvelles centrales au charbon et au gaz.
Malgré une baisse de la consommation globale, un petit nombre d’États représentent encore la grande majorité de la production américaine de charbon. Ces États exploitent des millions de tonnes courtes chaque année, approvisionnant à la fois les centrales électriques nationales et les acheteurs internationaux.
À l’aide des données de l’EIA, nous avons compilé une liste des huit États qui extraient le plus de charbon en 2024. Continuez à lire pour voir lequel figure sur la liste.
Mangez beaucoup de fruits et légumes riches en fibres.
Ajoutez des aliments riches en probiotiques comme les patates douces, les champignons des bois, les kiwis et les graines de lin pour favoriser la détoxification.
De plus, il est également important de maintenir des habitudes quotidiennes saines.
Dormir suffisamment, rester physiquement actif et manger des repas équilibrés peuvent aider à réduire votre risque d’exposition aux microplastiques au fil du temps.
Les microplastiques sont liés aux maladies cardiaques–Voici comment réduire votre risque
La MTC soutient la fonction de la rate et du foie pour stimuler la détoxification et le métabolisme, contribuant ainsi à réduire les risques pour la santé des microplastiques.
Petit mais dangereux, les microplastiques se sont infiltrés dans notre corps, faisant silencieusement des ravages sur notre santé. Des recherches émergentes révèlent leur lien alarmant avec un système immunitaire affaibli, un risque accru de maladie cardiaque et même une mort prématurée.
La médecine traditionnelle chinoise (MTC) offre une solution ancestrale, visant à rétablir l’équilibre du corps et à aider à se protéger contre ces polluants répandus.
Les microplastiques peuvent rester dans le corps
Les microplastiques pénètrent dans le corps humain par contact avec la nourriture, l’air et la peau. Une étude publié Dans les Archives de toxicologie, en juin, des nanoparticules de polystyrène, de polyéthylène téréphtalate et de polyacrylonitrile ont été identifiées dans des échantillons d’autopsie. Ces résultats montrent que les microplastiques peuvent traverser des barrières biologiques et s’accumuler dans des tissus spécifiques. Les niveaux les plus élevés ont été observés dans la thyroïde, les reins et les tissus cérébraux.
Lo Yueh-Hsia, professeur associé au Département des sciences de la vie de l’Université centrale nationale de Taiwan, a déclaré que des microplastiques avaient été détectés dans le sang humain. Cela suggère que tous les microplastiques ne sont pas excrétés par les selles ou l’urine. Certains peuvent rester dans le corps et la manière dont ils sont décomposés et éliminés n’est pas encore claire.
Comment les microplastiques affectent les hormones et l’immunité
Plus de 10 000 produits chimiques sont utilisé dans la production de plastique, y compris les plastifiants, les retardateurs de flamme, les colorants et les stabilisateurs ultraviolets —dont beaucoup sont des perturbateurs endocriniens avérés, tels que le bisphénol A. Ces substances peuvent interférer avec la fonction hormonale, nuire au système reproducteur et affaiblir le système immunitaire.
Études montrer que les microplastiques peuvent déclencher une inflammation. Lorsqu’ils s’accumulent dans les espaces autour des cellules, ils peuvent bloquer les voies de communication et empêcher les cellules immunitaires de réagir correctement.
Les microplastiques peuvent augmenter le risque de maladie cardiaque et d’accident vasculaire cérébral
De plus en plus de preuves suggèrent un lien entre les microplastiques et une altération de la fonction cardiovasculaire. Une étude de 2024 publiée dans le Journal of the American College of Cardiology trouvé que les microplastiques et les nanoplastiques peuvent endommager les vaisseaux sanguins et favoriser la coagulation par plusieurs effets toxiques.
Docteur. Chia-Ming Chang, médecin traitant au département de génétique médicale et d’eugénisme de l’hôpital général des anciens combattants de Taipei, a déclaré à The Epoch Times que les microplastiques présents dans les vaisseaux sanguins peuvent attirer les cellules immunitaires, initiant des processus de réparation et déclenchant une inflammation chronique. Cela aggrave le risque d’athérosclérose —accumulation de graisse dans les artères— et de thrombose —formation de caillots sanguins—, augmentant ainsi le risque d’accident vasculaire cérébral et de décès.
Une étude dans le New England Journal of Medicine trouvé que, sur une période de suivi de 34 mois, les patients présentant des microplastiques détectés dans leurs plaques d’artère carotide présentaient un risque plus élevé d’accident vasculaire cérébral, de décès ou d’autres événements graves que ceux sans microplastiques détectables.
Comment la MTC peut contribuer à réduire les risques
La médecine conventionnelle se concentre actuellement sur la limitation de l’exposition, la consommation de suffisamment d’eau et la consommation de plus de fibres pour favoriser l’excrétion. Cependant, la MTC emprunte une voie différente — renforcer les défenses de l’organisme et les systèmes de détoxification pour rendre plus difficile l’installation des toxines en premier lieu.
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Docteur. Jingduan Yang, PDG du Northern Medical Center de New York, a déclaré à The Epoch Times : “En MTC, nous considérons les microplastiques comme une toxine moderne. Lorsque l’énergie vitale du corps est déficiente, des substances étrangères peuvent envahir et se loger dans les tissus. La clé est de renforcer les fonctions métaboliques et de détoxification du corps pour s’attaquer au problème à la racine.”
1. Renforcer la Rate
En MTC, la rate n’est pas seulement un organe physique. Il fait partie d’un système responsable de la digestion et de la distribution des fluides dans tout le corps. Lorsque la rate est affaiblie —souvent en raison d’une mauvaise alimentation, du stress ou du manque de repos—, elle perd sa capacité à traiter efficacement les déchets et les liquides. Cela conduit à l’accumulation de “toxines retenues.”
Plus précisément, une rate faible obstrue le flux de “qi” ou d’énergie vitale, affaiblissant les défenses internes et les capacités de détoxification du corps.
Le renforcement de la rate peut aider le corps à mieux traiter les déchets et à éliminer les polluants modernes comme les microplastiques.
Recette : Tisane renforçant la rate
Cette tisane simple soutient la fonction de la rate et aide le corps à éliminer plus efficacement les toxines retenues.
Ingrédients:
5 grammes de racine de Chine
2 grammes d’écorce de mandarine vieillie
5 grammes de graines de Coix
500 millilitres d’eau chaude
Instructions:
Rincez soigneusement la racine de Chine et l’écorce de mandarine vieillie.
Mélangez-les avec les graines de Coix cuites dans un thermos ou une tasse isotherme.
Ajoutez de l’eau chaude et laissez infuser 5 minutes avant de boire.
Illustration de The Epoch Times, Shutterstock
Massage des points d’acupuncture pour renforcer la rate
Stimuler les points d’acupuncture Leg Three Miles (“Zusanli”) et Three Yin Intersection (“Sanyinjiao”) peut aider à soutenir la rate et l’estomac.
Illustration de The Epoch Times, Shutterstock
Étape trois milles : Situé à environ quatre largeurs de doigts sous la dépression externe du genou. Appuyez trois fois par jour pendant 5 minutes à chaque fois, avec un rythme d’appui pendant 5 secondes et de pause pendant 1 seconde.
Intersection des trois Yin : Situé sur la face interne de la partie inférieure de la jambe, à environ trois pouces (environ quatre largeurs de doigts) au-dessus de la pointe de la cheville interne, le long du bord arrière du tibia. Appliquez une pression continue pendant 10 secondes, puis relâchez. Répétez ce cycle 10 fois ou jusqu’à ce qu’une légère douleur soit ressentie.
Remarque : Les femmes enceintes doivent éviter d’appuyer sur ce point d’acupuncture.
2. Nourrir le foie
En médecine moderne comme en MTC, le foie joue un rôle central dans la détoxification. Il filtre le sang, traite les toxines et maintient la circulation fluide du qi et du sang dans tout le corps. Lorsque le foie est surchargé ou affaibli —que ce soit par un stress émotionnel, une mauvaise alimentation ou des toxines—, sa capacité à éliminer les déchets est réduite. Cela permet aux substances nocives telles que les microplastiques et leurs additifs chimiques de s’accumuler.
La MTC considère que le foie est étroitement interconnecté avec la rate et les reins, formant une triade qui régit la digestion, la détoxification et le métabolisme des fluides. Un foie lent peut perturber la capacité de la rate à éliminer les toxines du corps. Au fil du temps, cela peut entraîner une inflammation chronique et un stress oxydatif.
Les herbes telles que la racine de pissenlit, qui ont des propriétés calorifuges et détoxifiantes, sont traditionnellement utilisées pour soutenir la fonction hépatique et prévenir l’accumulation de toxines.
Illustration de The Epoch Times, Shutterstock
3. Soutenir le métabolisme
Maintenir un métabolisme sain peut soutenir les voies naturelles de détoxification du corps, ce qui peut aider à éliminer les petits microplastiques par les selles, la miction et même la sueur—, bien que la recherche dans ce domaine soit encore en développement.
Pour soutenir le métabolisme :
Restez hydraté.
Mangez beaucoup de fruits et légumes riches en fibres.
Ajoutez des aliments riches en probiotiques comme les patates douces, les champignons des bois, les kiwis et les graines de lin pour favoriser la détoxification.
De plus, il est également important de maintenir des habitudes quotidiennes saines. Dormir suffisamment, rester physiquement actif et manger des repas équilibrés peuvent aider à réduire votre risque d’exposition aux microplastiques au fil du temps.
Il s’agit de la première échelle d’autoconstruction quantique de Bose en Chine
Une « usine spéciale de fabrication d’ordinateurs quantiques optiques » devrait produire des dizaines d’ordinateurs quantiques optiques par an après son achèvement, ce qui peut constituer une capacité de production de masse d’ordinateurs quantiques optiques spéciaux.
Ce n’est pas seulement moi Pays « pratique » « Une étape importante dans le développement des ordinateurs quantiques domestiques » Cela signifie également que les ordinateurs quantiques optiques dédiés de mon pays ont atteint le premier niveau mondial en termes de capacités de production et de fabrication à grande échelle et sont contrôlables de manière indépendante “China Intelligent Manufacturing” comble le vide dans la production à grande échelle d’ordinateurs quantiques optiques dédiés dans le monde entier .
Lourd! La première usine chinoise de fabrication d’ordinateurs quantiques optiques atterrit à Nanshan, Shenzhen !
Heure : 28/08/2025
Par marchéCatégorie : Activité événementielle
« Élaborer un meilleur plan pour le “15e plan quinquennal” »
Le district de Nanshan a pris une décision
Présentez à l’avance les industries futures telles que l’information quantique
Récemment, la principale entreprise nationale en informatique quantique
Beijing Bose Quantum Technology Co. Ltd
(ci-après dénommé “Bose Quantum”)
Auto-construit “usine dédiée de fabrication d’ordinateurs quantiques optiques”
Débarqué officiellement dans le district de Nanshan, Shenzhen
Dans le même temps, Bose Quantum a été intégrée à Nanshan Smart City “Shenzhen Bose Intelligent Manufacturing Technology Co., Ltd.” et “Shenzhen Bose Quantum Technology Co., Ltd.” sont deux filiales respectivement responsables de la production à grande échelle d’ordinateurs quantiques optiques cohérents complets et de composants de base ainsi que des ventes et des services techniques d’ordinateurs quantiques optiques cohérents.
Il s’agit de la première échelle d’autoconstruction quantique de Bose en Chine Une « usine spéciale de fabrication d’ordinateurs quantiques optiques » devrait produire des dizaines d’ordinateurs quantiques optiques par an après son achèvement, ce qui peut constituer une capacité de production de masse d’ordinateurs quantiques optiques spéciaux.
Ce n’est pas seulement moi Pays « pratique » « Une étape importante dans le développement des ordinateurs quantiques domestiques » Cela signifie également que les ordinateurs quantiques optiques dédiés de mon pays ont atteint le premier niveau mondial en termes de capacités de production et de fabrication à grande échelle et sont contrôlables de manière indépendante “China Intelligent Manufacturing” comble le vide dans la production à grande échelle d’ordinateurs quantiques optiques dédiés dans le monde entier .
Le quantique est la plus petite unité indivisible du monde physique, représentant la plus petite unité de base d’existence des quantités physiques. Le quantum peut être compris familièrement comme la plus petite unité monétaire (comme les cents et les angles), qui ne peut prendre que des multiples entiers.
Avec la fin de la loi traditionnelle de Moore, le L’IA et le big data ont mis en avant des exigences plus élevées en matière de puissance de calcul, et le développement du domaine de l’informatique quantique a ouvert la voie à d’énormes opportunités.
L’informatique quantique optique, comme son nom l’indique, est la technique permettant d’effectuer des calculs en utilisant les propriétés quantiques de la lumière, et c’est une technique d’informatique quantique courante.
Par rapport à d’autres itinéraires techniques, Les températures ultra-basses ne sont pas nécessaires pour l’informatique quantique optique , et présente les avantages d’un grand nombre de qubits, d’un fonctionnement stable à température ambiante et d’un temps de cohérence long. Il peut être conçu en peu de temps et constitue une forme émergente d’ordinateurs quantiques commerciaux.
Selon des statistiques incomplètes, actuellement mondiales, les entreprises finlandaises d’informatique quantique IQM, le fournisseur européen de services d’informatique quantique Quandela, la société américaine d’informatique quantique IonQ et la société française d’informatique quantique Pasqal ont successivement construit cinq usines de fabrication d’ordinateurs quantiques. Dans le même temps, le déploiement mondial des applications informatiques quantiques s’accélère. Seul un petit nombre d’entreprises d’informatique quantique dans mon pays se concentrent sur la construction de lignes de production d’appareils de base dans la chaîne industrielle, et il n’existe pas de déploiement complet de lignes de production de fabrication de machines à grande échelle.
Bose Quantum En tant qu’entreprise représentative de l’informatique quantique pratique en Chine, l’ordinateur quantique optique cohérent auto-développé est le seul ordinateur quantique optique dédié en Chine qui puisse être mis en pratique.
Le premier quantique de Bose construit localement “Usine spéciale de fabrication d’ordinateurs quantiques optiques” a officiellement atterri dans le district de Nanshan, à Shenzhen, marquant que l’ordinateur quantique optique cohérent pratique de Bose quanta est officiellement entré dans la phase de production de masse technique depuis la phase de recherche et développement en laboratoire.
La planification et la construction principales de la première usine dédiée à la fabrication d’ordinateurs quantiques optiques de mon pays comprennent trois sections principales : le développement de modules, la production et la fabrication complètes de machines, ainsi que les systèmes de contrôle qualité et de test. La répartition spécifique ressemble à ceci :
Développement de modules : Développement technique de modules pour les préparateurs d’états quantiques, les systèmes de mesure et de contrôle quantiques à grande vitesse et la mémoire quantique à fibre optique.
Production et fabrication complètes de machines : Construire un atelier de production et d’assemblage d’équipements quantiques optiques de haut niveau avec une température et une humidité constantes, de faibles vibrations, un faible bruit, etc., et réaliser l’assemblage complet de machines et l’intégration d’ordinateurs quantiques optiques.
Système de contrôle et de test de qualité : Mettre en place un système complet de contrôle qualité pour garantir que l’équipement informatique quantique optique de sortie répond aux indicateurs techniques et aux normes de qualité prescrits ; et établir des tests professionnels solides Installations et équipes d’essai Loi , effectuer des tests de performances et de fiabilité des dispositifs informatiques quantiques optiques Sexualité Validation.
Nanshan Smart City, où se trouve l’usine de fabrication d’ordinateurs quantiques optiques, est le plus grand projet de logements industriels innovants du district de Nanshan. Le positionnement industriel du parc repose principalement sur les trois principales industries que sont les technologies de l’information de nouvelle génération, l’intelligence artificielle, la biomédecine et la grande santé.
Le projet est situé à South Mountain “L’emplacement principal de l’axe central de l’innovation ”—— Liuxiandong New Industry Headquarters Base Six Neighbors, avec une superficie totale de construction de plus d’un million de mètres carrés, adjacent à Xili Lake International Science and Education City au nord et à Xili High-speed Railway New City au sud.
Cette usine dédiée à la fabrication d’ordinateurs quantiques optiques “S’installer dans” le district de Nanshan, à Shenzhen, est une étape clé pour que l’ordinateur quantique optique cohérent auto-développé de Bose Quantum passe de la “percée technologique” à la “livraison de produits” et à la “réalisation commerciale”.
Ensuite, le district de Nanshan s’associera à Bose Quantum, en s’appuyant sur les avantages industriels et d’innovation uniques de Shenzhen, en utilisant une usine de fabrication d’ordinateurs quantiques optiques dédiée comme pierre angulaire, portée par l’ouverture de la scène et l’innovation des applications, et en co-construisant dans le but d’intégration et d’autonomisation “ Informatique quantique+ ” L’écologie de l’innovation industrielle est créée dans des secteurs clés tels que la biomédecine, l’intelligence artificielle et la finance “ Informatique quantique+ ” Référence d’application.
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— Macron a tenté de communiquer personnellement avec le PDG de Twitter de l’époque, Jack Dorsey
— La France a cherché à obtenir une censure mondiale
— Les ONG affiliées à l’État français ont exigé un accès spécial au processus interne de modération des données et du contenu de Twitter
— Les autorités françaises ont tenté de contourner la loi en demandant la pré-censure du contenu des médias sociaux généré par les utilisateurs
Ce rapport est illustré par Twitter Files – France, une série de trois études de cas issues des communications internes de Twitter.
The Twitter Files – France révèle comment le gouvernement français, par l’intermédiaire d’acteurs supposément non gouvernementaux, gère un complexe de censure impliquant de nombreux éléments mobiles.
Au cœur de tout cela se trouve le recours aux ONG par les gouvernements pour exiger la censure, que ce soit en tant qu’organisations soi-disant indépendantes et de défense de l’intérêt public, ou en tant que vérificateurs de faits.
Aujourd’hui, l’administration Trump prive le complexe industriel de censure américain de financement et d’autorité gouvernementale, alors même que le complexe industriel de censure gagne en puissance en Europe, en particulier en France, ce qui, à bien des égards, a jeté les bases juridiques de la loi européenne sur les services numériques (DSA), le fondement du cadre de censure du bloc.
L’UE et la France pourraient bientôt contraindre les plateformes de médias sociaux américaines, dont X d’Elon Musk, à censurer les utilisateurs américains. À la date de publication de ce rapport, le 3 septembre 2025, la demande de censure de l’UE fait partie des négociations commerciales en cours avec l’administration Trump. Déjà, l’année dernière, le principal censeur numérique de l’UE, l’homme politique français et ancien commissaire européen au marché intérieur, Thierry Breton, avait menacé de prendre des mesures contre Elon Musk lorsqu’il avait animé une conversation sur X avec Donald Trump. Et beaucoup pensent que les sociétés de médias sociaux pourraient, pour des raisons politiques et économiques, être contraintes d’accepter la censure européenne.
Aujourd’hui, ce rapport révèle un effort apparemment coordonné du gouvernement Macron et des ONG affiliées à l’État pour forcer la plateforme de médias sociaux la plus influente au monde à censurer les personnes pour des propos légaux, à transmettre des données internes sensibles et à modifier Twitter “modération du contenu” dans le monde entier.
L’enquête montre:
— Macron a tenté de communiquer personnellement avec le PDG de Twitter de l’époque, Jack Dorsey
— La France a cherché à obtenir une censure mondiale
— Les ONG affiliées à l’État français ont exigé un accès spécial au processus interne de modération des données et du contenu de Twitter
— Les autorités françaises ont tenté de contourner la loi en demandant la pré-censure du contenu des médias sociaux généré par les utilisateurs
Ce rapport est illustré par Twitter Files – France, une série de trois études de cas issues des communications internes de Twitter. The Twitter Files – France révèle comment le gouvernement français, par l’intermédiaire d’acteurs supposément non gouvernementaux, gère un complexe de censure impliquant de nombreux éléments mobiles. Au cœur de tout cela se trouve le recours aux ONG par les gouvernements pour exiger la censure, que ce soit en tant qu’organisations soi-disant indépendantes et de défense de l’intérêt public, ou en tant que vérificateurs de faits.
Aujourd’hui, l’administration Trump prive le complexe industriel de censure américain de financement et d’autorité gouvernementale, alors même que le complexe industriel de censure gagne en puissance en Europe, en particulier en France, ce qui, à bien des égards, a jeté les bases juridiques de la loi européenne sur les services numériques (DSA), le fondement du cadre de censure du bloc.
Le président Emmanuel Macron, lors de son discours avant la fête nationale française, le 14 juillet 2025, a souligné le besoin urgent de “sécurité cognitive.” Cette extension de l’État de sécurité nationale à l’esprit des citoyens est l’apogée d’une longue évolution du contrôle narratif coordonné par l’État.
Le système public de radiodiffusion français est à ce jour le plus grand groupe médiatique du pays. Les médias grand public privés appartiennent à des oligarques milliardaires qui doivent une partie importante de leur richesse à l’État — par le biais de contrats gouvernementaux, de licences d’exploitation, de financements gouvernementaux ou de l’achat d’actifs gouvernementaux privatisés à des prix fortement réduits dans les années 1980 et 1990. La presse est subventionnée par l’État jusqu’à un tiers de ses revenus.
La liberté d’expression en France est étroitement gérée — tout comme la démocratie française. L’élite, qui est en grande majorité issue des cadres supérieurs de la fonction publique, détermine par la loi ou la réglementation l’éventail des opinions acceptables dans le débat national. De plus, certaines infractions à la liberté d’expression sont considérées comme des actes criminels, ce qui signifie qu’elles peuvent entraîner des amendes ou des peines d’emprisonnement. Lorsque les infractions pénales ne sont pas énumérées dans le code pénal mais dans d’autres lois — lorsque l’État ne peut pas engager de poursuites, ce qui est le cas de la liberté d’expression — des inculpations sont demandées par des ONG accréditées par l’État dans ce qui n’est rien de moins que des poursuites privatisées.
Au cours des trente dernières années, les progrès technologiques ont presque anéanti toutes les barrières à l’entrée dans l’édition et la radiodiffusion. Par conséquent, l’État ne peut plus gérer la parole comme avant et s’efforce donc d’exercer le même contrôle sur les médias numériques grâce à une réglementation accrue. L’élection de Donald Trump en 2016 et les allégations d’ingérence russe —une manipulation orchestrée par des factions au sein de la communauté du renseignement américain— ont déclenché une frénésie législative en Europe. L’establishment politique a soudainement compris que les médias sociaux, qui avaient auparavant alimenté la chute des régimes autoritaires pendant le Printemps arabe, pouvaient tout aussi bien menacer leur propre disparition. Dans le même temps, les échecs du néolibéralisme, du mondialisme, du multiculturalisme,et l’Union européenne est devenue si flagrante que l’establishment considère de plus en plus un contrôle plus strict comme le seul moyen de préserver son pouvoir et ses privilèges face à la montée des mouvements populistes et souverainistes.
Jusqu’à présent, l’État français a développé le complexe industriel de censure le plus efficace d’Europe, tout en s’abstenant de perquisitions et d’arrestations directes des forces de l’ordre comme au Royaume-Uni ou en Allemagne, car la loi ne l’autorise pas pour les délits de parole. Cet objectif est atteint grâce à un subtil mélange de pressions sociales, administratives et judiciaires exercées sur les citoyens et les plateformes. Depuis 2018, une série de lois liberticides visant à réglementer la parole en ligne ont été adoptées sous couvert de protéger les enfants, les minorités et la société dans son ensemble contre “la haine” et les contenus illégaux. L’État français et l’Union européenne cherchent à construire un système panoptique de contrôle social en ligne, incluant la censure déléguée aux ONG et la fin de l’anonymat et de la vie privée,appliqué par une répression administrative et judiciaire accrue des citoyens et des plateformes numériques, intimidés pour qu’ils pré-regroupent automatiquement le contenu. L’État français envisage d’aller jusqu’à construire son propre algorithme comme référence pour détecter les biais de plateforme et imposer des corrections d’algorithmes en conséquence.
Ces actions s’accompagnent d’initiatives plus vastes au niveau de l’UE et de l’OTAN. Outre le DSA susmentionné, l’UE a introduit des cartes d’identité biométriques liées à l’introduction éventuelle de l’euro numérique de la Banque centrale européenne (BCE), ainsi qu’un référentiel de données sur la santé et autres. Son adoption au sein de la population est actuellement très faible au-delà de la fonction d’une carte d’identité. Il existe des plans pour le renforcer en rendant les services accessibles uniquement grâce à son utilisation. La volonté de la France d’interdire les réseaux sociaux pour les moins de 15 ans est un moyen de contraindre tous les citoyens à s’identifier grâce à cette méthode pour l’activité sur les réseaux sociaux.
Parallèlement, le partenariat UE-OTAN repose sur une série de déclarations communes. Un aspect clé est la cybersécurité et la lutte contre la désinformation. Parmi les exemples, citons le Centre d’excellence coopératif de cyberdéfense de l’OTAN à Tallinn et le Centre d’excellence européen pour la lutte contre les menaces hybrides à Helsinki, qui travaillent main dans la main.
La gestion de la pandémie de Covid a contourné presque toutes les libertés individuelles, mais s’est avérée être un échec lamentable à long terme. Les efforts continus visant à entraver la liberté d’expression en ligne pourraient finalement connaître le même sort, car la technologie évolue plus rapidement que la réglementation. Entre-temps, la liberté d’expression se réduit à l’ombre d’elle-même et se transforme de plus en plus en un privilège accordé à ceux qui ne s’écartent pas des récits officiels.
Pour lire le rapport complet, téléchargez le PDF ci-dessus.
Dans une longue publication Facebook, l’ancien maire de Vendôme, Pascal Brindeau, s’est lui aussi indigné de la
« pauvreté intellectuelle de l’argumentaire »
pointant
« la dangerosité des sous-entendus évoquant le contexte international et les amalgames qui pourrait être fait par des communautés. ».
Il ajoute :
« En plus de réduire nos compatriotes musulmans à une communauté qui serait antisémite et donc rapporterait la cérémonie d’hommage à des Vendômois qui ont caché des juifs à l’affirmation d’une position dans le conflit entre Israël et le Hamas, c’est insulter la capacité des femmes et hommes qui vivent pleinement intégrés à notre ville à ne pas mélanger l’histoire et le présent. »
Vendôme est au cœur d’une très vive controverse suite à la décision de la municipalité de reporter une cérémonie en hommage à deux Justes qui avaient sauvé trois enfants juifs pendant l’Occupation. Face à l’émoi suscité, la mairie a finalement décidé de maintenir l’évènement.
C’est une information révélée par Le Point samedi 12 avril 2025. Dans un article publié en ligne, le magazine dévoile que la municipalité de Vendôme a pris la décision de reporter après les élections municipales de mars 2026 une cérémonie prévue le 28 mai 2025 en l’honneur de Jean et Jeanne Philippeau, un couple originaire la ville et récemment reconnu « Justes parmi les Nations » à titre posthume.
Sous l’Occupation, ils avaient caché trois enfants juifs, Arlette Testyler-Reimann – aujourd’hui présidente de l’Union des déportés d’Auschwitz – sa sœur, Madeleine, et Simon Windland, les sauvant assurément de la déportation vers les camps de la mort.
Pour justifier sa décision, la mairie, dirigée par Laurent Brillard (UDI), a avancé plusieurs raisons parmi lesquelles, « la proximité des élections locales, qui risque de limiter la pleine mobilisation de la municipalité et de la population locale autour de cet événement majeur, et le contexte géopolitique actuel, marqué par le conflit opposant l’État d’Israël et le Hamas, qui suscite des sensibilités particulières au sein de nos différentes communautés« .
Un torrent de réactions
Cette décision, inédite pour une municipalité en France, a suscité une vive émotion et provoqué un torrent de réactions sur les réseaux sociaux et dans le monde politique. Côté local, le secrétaire fédéral du PS du Loir-et-Cher, Christophe Chapuis, s’est fendu d’une lettre ouverte à destination du maire dans laquelle il a dénoncé « une décision lâche » et « prise en petit comité ».
En cette période incertaine où les tensions nationales et internationales se multiplient, un élu de la République se doit de montrer l’exemple et de rappeler que notre société dans toute sa diversité partage une histoire commune et écrit un destin commun.
Extrait Communiqué du PS du Loir-et-Cher
Dans une longue publication Facebook, l’ancien maire de Vendôme, Pascal Brindeau, s’est lui aussi indigné de la « pauvreté intellectuelle de l’argumentaire »pointant « la dangerosité des sous-entendus évoquant le contexte international et les amalgames qui pourrait être fait par « des communautés.« ».
Il ajoute : « En plus de réduire nos compatriotes musulmans à une communauté qui serait antisémite et donc rapporterait la cérémonie d’hommage à des Vendômois qui ont caché des juifs à l’affirmation d’une position dans le conflit entre Israël et le Hamas, c’est insulter la capacité des femmes et hommes qui vivent pleinement intégrés à notre ville à ne pas mélanger l’histoire et le présent. »
Mais la polémique a dépassé la sphère locale, en témoignent les réactions sur les réseaux sociaux de personnalités politiques nationales tels que l’avocat et ancien député d’extrême droite, Gilbert Collard, ou même la ministre en charge de la Lutte contre les discriminations, Aurore Bergé.
La mairie revient sur sa décision
Face à l’ampleur prise par la controverse, la municipalité de Vendôme a, semble-t-il, décidé de retropédaler. Dans un communiqué adressé à la presse le 13 avril 2025, elle « réaffirme sans ambiguïté son engagement pour cette cérémonie » et déclare qu’une réunion se tiendra le 22 avril, en accord avec le délégué régional du Comité français de Yad Vashem et la Sous-préfecture, « pour définir les modalités de son organisation ».
Une décision saluée par le Comité français Yad Vashem : « Nous remercions Monsieur le maire et l’ensemble des élus d’avoir finalement affirmé leur soutien à cette célébration après des échanges regrettables de la part des services communaux qui laissaient entendre une volonté contraire. Cette distinction qui honore des actes de bravoure exceptionnels et malheureusement trop rares à l’époque de la persécution des juifs, mérite plus que jamais dans le contexte tourmenté que nous vivons d’être célébrée. »
C’est Le Point qui a levé ce lièvre israélo-français, mais notre traitement différera de celui du journal de BHL et Pinault. Pour les faits, honneur à l’intro de l’hebdo : Je suis déçue, malheureuse, hors de moi. Je ne suis pas née à Paris en 1933, je suis née à Vendôme en 1942, quand les Philippeau m’ont cachée chez eux, au 71 rue de la Mare, avec ma sœur… » Le 7 avril, Arlette Testyler-Reimann, présidente de l’Union des déportés d’Auschwitz, apprend que la cérémonie de remise de médailles des Justes parmi les nations en hommage à Jean et Jeanne Philippeau, savetiers à Vendôme, n’aura pas lieu dans cette ville. En mettant les formes – « c’est avec un profond regret » –, le directeur de cabinet de la ville, Jean-Philippe Boutaric, annonçait à Paul Sebaoun, le délégué régional du Comité français pour Yad Vashem (CFYV), organisme coorganisateur des cérémonies pour les Justes, « la décision prise collégialement par les élus de la ville de ne pas accueillir la cérémonie de remise de la médaille des Justes ». Une première en France.
C’est Le Point qui a levé ce lièvre israélo-français, mais notre traitement différera de celui du journal de BHL et Pinault. Pour les faits, honneur à l’intro de l’hebdo :
Je suis déçue, malheureuse, hors de moi. Je ne suis pas née à Paris en 1933, je suis née à Vendôme en 1942, quand les Philippeau m’ont cachée chez eux, au 71 rue de la Mare, avec ma sœur… » Le 7 avril, Arlette Testyler-Reimann, présidente de l’Union des déportés d’Auschwitz, apprend que la cérémonie de remise de médailles des Justes parmi les nations en hommage à Jean et Jeanne Philippeau, savetiers à Vendôme, n’aura pas lieu dans cette ville.
En mettant les formes – « c’est avec un profond regret » –, le directeur de cabinet de la ville, Jean-Philippe Boutaric, annonçait à Paul Sebaoun, le délégué régional du Comité français pour Yad Vashem (CFYV), organisme coorganisateur des cérémonies pour les Justes, « la décision prise collégialement par les élus de la ville de ne pas accueillir la cérémonie de remise de la médaille des Justes ». Une première en France.
Petite surprise, on ignorait que les régions avaient un délégué du Comité français pour Yad Vashem, on pensait que le CRIF et ses extensions locales suffisaient à fédérer les plaignants communautaires de France et de Navarre. Les CRIF locaux ont en effet pour fonction, entre autres, de faire remonter au centre et à l’Intérieur les cas d’antisémitisme, et d’en alerter les gouvernements successifs en criant au loup, le tout grâce au fameux dîner du CRIF. Un lobbying totalement décomplexé en république, ce qui ne semble gêner personne dans la presse, surtout pas Le Point, magazine qui a pris fait et cause pour Israël dans le génocide en cours.
Passons à l’analyse du cas, sans entrer dans les détails, car tout figure dans l’article originel. L’affaire des Justes de Vendôme est exceptionnellement intéressante, car elle porte en elle l’explosion politico-communautaire à venir (ou en cours). On a tous compris que le maire (de droite) rechignait à organiser la cérémonie dans son bled parce que les municipales de 2026 approchent, et qu’il ne veut pas avoir contre lui les anti-génocidaires, qu’ils soient de droite ou de gauche, ou, bien sûr, issus d’autres communautés : la communauté turque de Vendôme, ou plus largement, la communauté musulmane, les quartiers.
Les exigences du lobby juif local pour mettre à l’honneur une seule personne créent un triple malaise – démocratique, démographique et moral – en période de génocide, et surtout, montrent que la pression d’une minorité contre la majorité a ses limites.
Électoralement parlant, c’est perdant. Le coup du drapeau israélien pendant la cérémonie des Justes est archi symbolique : c’est carrément un signal intrusif, presque une occupation à l’image de la cérémonie de hanoukka à l’Élysée fin 2024, la fameuse « entorse » à la loi de 1905, comme un bras tordu à la république.
Ce sont des Français qui ont sauvé des juifs pendant la guerre, pas Israël, surtout pas ce pays en guerre permanente contre les Palestiniens.
En extrapolant un peu, on pourrait ajouter dans la balance l’entente cordiale mais fragile entre Erdoğan et Netanyahou pour se partager la Syrie, avec un « gag » à l’arrivée, si la situation n’était pas si dramatique pour les pauvres Syriens, abreuvés de quinze ans de guerre fratricide : les Israéliens ont voulu détruire leur grand voisin laïc et nationaliste, sur le modèle de l’Irak en 2003, les voilà désormais face à la Turquie, pour le coup vraiment islamiste et dix fois plus puissante ! Le Grand Israël de Netanyahou se heurte à la Grande Turquie d’Erdoğan, qui vient d’accuser Israël de tenter « de dynamiter la révolution du 8 décembre en attisant les différences ethniques et religieuses en Syrie et en incitant les minorités du pays à s’opposer au gouvernement »… Le Monde écrit :
« Nous ne permettrons pas que la Syrie soit entraînée dans un nouveau tourbillon d’instabilité », a ajouté M. Erdoğan, affirmant que « le peuple syrien en a assez des souffrances, de l’oppression et de la guerre ». Globalement, le président turc a accusé Israël de « menacer directement la stabilité de la région […] avec ses attaques contre le Liban et la Syrie ».
Et les Turcs de s’installer tranquillement dans la base aérienne T4 (à Palmyre) récemment détruite par les Israéliens… Comme dirait Jonathan Lambert, « c’est gagné ».
Pour en revenir au niveau local, le cas Vendôme dépasse donc la simple querelle de clocher. Nous sommes en présence d’un point de tension national entre une communauté qui dicte sa loi à la république et à ses élus, ces derniers se retrouvant entre le chien et l’os, ou plutôt le chien et le loup : s’ils penchent trop côté lobby, c’est-à-dire Israël, ils se font écharper par la gauche, une partie de la droite et toute la communauté musulmane, qui pèse électoralement. S’ils penchent trop côté peuple, ils se font mordre par le lobby. C’est ce pouvoir visible qui choque les Français, a fortiori les patriotes.
On comprend, à l’aune de cette affaire, pourquoi beaucoup d’élus locaux ne tiennent plus le coup !
« Je suis déçue, malheureuse, hors de moi. Je ne suis pas née à Paris en 1933, je suis née à Vendôme en 1942, quand les Philippeau m’ont cachée chez eux, au 71 rue de la Mare, avec ma sœur… »
Le 7 avril, Arlette Testyler-Reimann, présidente de l’Union des déportés d’Auschwitz, apprend que la cérémonie de remise de médailles des Justes parmi les nations en hommage à Jean et Jeanne Philippeau, savetiers à Vendôme, n’aura pas lieu dans cette ville.
Quand honorer les Justes devient compliqué en France
Une cérémonie de remise de médailles des Justes aurait dû se dérouler à la mairie de Vendôme. Mais, finalement, elle aura lieu, après de nombreuses discussions, à la sous-préfecture. Explications.
« Je suis déçue, malheureuse, hors de moi. Je ne suis pas née à Paris en 1933, je suis née à Vendôme en 1942, quand les Philippeau m’ont cachée chez eux, au 71 rue de la Mare, avec ma sœur… » Le 7 avril, Arlette Testyler-Reimann, présidente de l’Union des déportés d’Auschwitz, apprend que la cérémonie de remise de médailles des Justes parmi les nations en hommage à Jean et Jeanne Philippeau, savetiers à Vendôme, n’aura pas lieu dans cette ville.
En mettant les formes – « c’est avec un profond regret » –, le directeur de cabinet de la ville, Jean-Philippe Boutaric, annonçait à Paul Sebaoun, le délégué régional du Comité français pour Yad Vashem (CFYV), organisme coorganisateur des cérémonies pour les Justes, « la décision prise collégialement par les élus de la ville de ne pas accueillir la cérémonie de remise de la médaille des Justes ». Une première en France.
Première étape : le report
Le 18 mars, Paul Sebaoun avait été reçu à la mairie de Vendôme par le maire UDI, Laurent Brillard, et son directeur de cabinet, Jean-Philippe Boutaric : « Il y avait eu un bon accueil, se souvient Paul Sebaoun. Nous étions tombés d’accord sur une date à confirmer, le 28 mai ; le maire n’avait pas d’objection à cette date-là. Nous avions évoqué deux salles municipales possibles, l’une d’une capacité d’une centaine de personnes, l’autre de 300. »
Le maire promet alors de revenir vers lui car il doit en référer à sa majorité. Le 23 mars, le délégué du CFYV reçoit un courriel de Jean-Philippe Boutaric qui lui apprend que le maire en a donc conféré avec les élus de son camp, une alliance LR-UDI-DVD, et qu’ils ont exprimé le souhait d’un report de la cérémonie après les élections municipales, soit après mars 2026. Deux raisons sont alors invoquées : « La proximité des élections locales, qui risque de limiter la pleine mobilisation de la municipalité et de la population locale autour de cet événement majeur… Le contexte géopolitique actuel, marqué par le conflit opposant l’État d’Israël et le Hamas, qui suscite des sensibilités particulières au sein de nos différentes communautés. »
Deuxième étape : la discussion
Après avoir pris l’avis de Patrick Klugman, le président du Comité français pour Yad Vashem, et de son vice-président, François Guggenheim, Paul Sebaoun adresse une réponse le 30 mars afin d’inciter la mairie de Vendôme à revenir sur sa décision. Son premier argument : « Pour Arlette Testyler-Reimann, âgée de 92 ans, le temps est compté et son témoignage, très valorisant pour Vendôme, précieux… ». « Cela aurait dû être un honneur pour Vendôme, confirme l’intéressée. Je voulais organiser une grande fête, remercier aussi cette ville. »
Deuxième argument d’évidence avancé par Paul Sebaoun. « Nous sommes loin des élections locales, qui se tiendront dans un an. Par ailleurs, une cérémonie qui met à l’honneur le Vendômois dans sa diversité ne peut être que fédératrice. » Face au raisonnement de la mairie qui souligne l’existence de différentes communautés, allusion sans doute à la communauté turque de la ville ou à des « Fuck Israël » tagués dans un quartier, le CFYV parle au contraire d’une occasion donnée de rassembler des juifs et des non-juifs, comme c’est le cas chaque année en France lors de ces cérémonies de remise de médailles.
Dernier argument : « Dans un contexte national et international marqué par la résurgence inquiétante d’un antisémitisme totalement désinhibé – l’agression récente du rabbin d’Orléans nous le rappelle – le courage dont ont fait preuve les Justes, dans des circonstances bien plus périlleuses, et les valeurs universelles dont ils sont porteurs sont aussi une façon d’affirmer, en étant présents en première ligne, notre attachement aux principes fondateurs de notre République et aux valeurs universelles. »
Troisième étape : la fin de non-recevoir
Le 7 avril, il ne s’agit plus pour la mairie de surseoir, mais de délivrer une fin de non-recevoir. Contacté par Le Point le 8 avril, le directeur de cabinet met en avant les questions de sécurité. Le maire, lui, souligne d’abord les risques d’amalgame entre le conflit actuel entre le Hamas et Israël et la cérémonie de remise de médailles. Allusion à la présence d’un drapeau israélien qui voisine avec le drapeau français dans ces cérémonies, une tradition puisque la médaille des Justes est la plus haute récompense civile de l’État d’Israël. De plus, lors de chaque cérémonie, l’hymne israélien est joué, ainsi que la Marseillaise.
Quand nous avons évoqué auprès de lui la vingtaine de cérémonies qui ont lieu chaque année en France, dans des villes aux communautés bien plus diverses qu’à Vendôme, comme récemment à Lyon ou à Lille, pour célébrer ce que Jacques Chirac, dans son discours du Vél’ d’Hiv’, à propos des Justes, avait qualifié de « tradition de la France, d’une certaine idée de la France, du génie de la France », ce qu’il avait défini aussi comme « les valeurs humanistes, les valeurs de liberté, de justice, de tolérance, qui fondent l’identité française et nous obligent pour l’avenir », Laurent Brillard nous a répondu qu’il n’avait évidemment rien contre ces valeurs.
Puis il en est revenu à un problème de dates : « Nous n’avions rien promis, c’était trop court avant l’été, puis, durant l’été, il n’y a personne. Après l’été, en septembre, commence la période de réserve pour les élections municipales, ce n’est pas nous qui avons défini cette période de réserve. »
Quatrième étape : l’intervention de l’État
Dans un premier temps, Patrick Klugman, le président du CFYV, a réagi : « Les Justes sont honorés partout où ils ont œuvré et ils sont reconnus jusqu’au Panthéon. Pour le respect que nous devons à l’histoire et à la mémoire, j’espère que l’injuste précédent né à Vendôme ne sera plus jamais répété ailleurs. »
Arlette Testyler-Reimann, présidente de l’Union des déportés de France, ne s’est, elle, pas avouée vaincue. « On ne me fera pas reculer. Je ne suis pas du genre à faire des vagues, mais je ne baisserai pas la tête, je ne me coucherai pas. Cela fait quinze ans que je témoigne, je vais dans toute la France, qui est magnifique, mais je vois bien qu’en ce moment la frilosité est en train de monter, qu’on a peur d’honorer des Français qui ont aidé des juifs parce qu’ils étaient juifs. Pour la première fois en quinze ans, deux enseignants de la banlieue parisienne qui devaient m’accueillir m’ont avertie qu’ils étaient lâchés par leur hiérarchie. » Elle s’est donc adressée à qui de droit auprès du cabinet de François Bayrou, qui a incité la sous-préfecture du Loir-et-Cher, toujours à Vendôme, à prendre le relais de la ville.
À cette occasion, l’État a réaffirmé l’une des valeurs universelles que nous enseignent les Justes, le courage, ainsi que la nécessité en ces temps de regain antisémite de réaffirmer l’obligation morale due à ces Justes. La cérémonie devrait donc avoir lieu au mois de juin dans les salons de la sous-préfecture. La ville prendrait désormais en charge un vin d’honneur à l’issue de la cérémonie.
« La France que j’aime »
En ce 11 avril, Arlette Testyler-Reimann est soulagée. Mais elle a bien conscience qu’il faut désormais se battre pour organiser des cérémonies pour des Justes entrés collectivement au Panthéon en 2007. Que l’État doit rappeler aux éventuelles communes qui voudraient esquiver ces engagements de la nation qu’il ne faut pas céder aux peurs et aux pressions communautaristes. Telle est la leçon de Vendôme. « Les Philippeau, résume Arlette Testyler-Reimann, c’est une France qui n’avait rien, toute simple, mais qui nous a sauvées. Aujourd’hui, j’ai six arrière-petits-enfants, ils leur doivent la vie. Je voulais les remercier là où ils ont agi, à Vendôme. Les Justes, c’est la France que j’aime, que mon père aimait quand il a dit, après avoir reçu sa convocation au commissariat le 14 mai 1941, ce sont les dernières paroles que j’ai entendues de lui : “Mais qu’est-ce que je risque ? Je me suis battu pour la France de Voltaire, de Diderot, de Zola.” »
Tout est dans la dernière phrase : se battre pour la France de Voltaire, de Diderot et de Zola…
Nos résultats de ce premier essai clinique contrôlé randomisé indiquent que l’élimination du PASF peut être améliorée par l’administration d’une résine échangeuse d’anions pendant 12 semaines, éventuellement en empêchant la réabsorption dans la circulation entérohépatique.
La question de savoir si la réduction marquée du SPFO sérique s’accompagne d’une diminution des effets néfastes sur la santé associés à une exposition élevée au PAS doit être étudiée plus avant.
Nos résultats présentent un intérêt majeur pour la santé publique et peuvent offrir un traitement possible aux personnes très exposées.
Les femmes en âge de procréer sont particulièrement intéressantes afin de réduire l’exposition au PASF de la prochaine génération. Cependant, des études supplémentaires élucidant à la fois la durée et la dose du traitement sont nécessaires de toute urgence.
Un traitement contre le cholestérol permet de réduire la quantité de « polluants éternels » (PFAS) dans le sang de 60 % en trois mois d’après un essai clinique réalisé au Danemark, a expliqué jeudi un responsable du projet. « L’effet du traitement se traduit par une baisse (du taux) dans le plasma de 63 %, ce qui correspond à environ une baisse de 3 % liée au temps qui passe et de 60 % grâce au traitement », a dit à l’AFP Morten Lindhardt, médecin à l’hôpital d’Holbaek, à l’ouest de Copenhague. Autrement dit, avec ce traitement — de la cholestyramine — le sang se débarrasse des polluants 20 fois plus vite que sans intervention, d’après l’étude publiée dans la revue scientifique Environment International.
Selon les chercheurs, c’est une piste prometteuse pour des personnes ayant été exposées à de fortes doses, car ces substances, qui ont tendance à s’accumuler dans l’organisme, peuvent être néfastes à la santé par exemple en diminuant la réponse immunitaire à la vaccination, en ayant un impact sur le cholestérol ou en étant liées à des cancers ou à l’obésité.
« Si vous continuez à être exposé, je ne pense pas qu’il faut suivre ce traitement en permanence à cause des effets secondaires », qui peuvent se manifester sous la forme d’éruption cutanée ou de douleur abdominale, note le docteur Lindhart. Toutefois, le médicament permet d’éradiquer le « sentiment d’être empoisonné » que peuvent ressentir les personnes à fort taux de polluants, se félicite-t-il.
Les PFAS, ou substances per- et polyfluoroalkylées, sont une large famille de quelque 4 000 composés chimiques.
Au Danemark, des habitants de Korsør (centre) ont été contaminés à l’un d’entre eux, l’acide perfluoroctane sulfonique (PFOS) associé à un risque accru de cancer et interdit en Europe. Au sein de cette communauté, les taux mesurés de PFOS sont largement supérieurs à la normale (21 ng/mL) et c’est sur 45 résidents, avec un taux médian de 191 ng/mL, que l’essai clinique a été réalisé. Malgré la petite taille de la cohorte, l’effet du traitement, car il est très important, est indiscutable, assure M. Lindhardt.
Un effet « indiscutable » pour rompre la chaîne de transmission
Pas question cependant de traiter toutes les personnes confrontées à des taux faramineux. « Le risque d’effets secondaires est beaucoup trop important, si on traitait tout le monde, ça serait un désastre », prévient-il.
Il voit un « potentiel » pour les femmes en âge de procréer, pour leur permettre de ne pas transmettre ce haut niveau de PFAS à leur futur enfant. « Ça pourrait rompre la chaîne de transmission à la génération future », dit le médecin. La prudence reste de mise car si les effets du médicament sont documentés dans les taux sanguins, ils sont inconnus sur les maladies rénales ou les insuffisances immunitaires, note M. Lindhardt.