Archives de catégorie : ECONOMIE MONDIALE
Vous voulez aller aux USA ? Préparez-vous à leur donner 5 ans d’historique de vos réseaux sociaux | Posts | Le site de Korben
Pour les ressortissants des 42 pays éligibles au programme ESTA (dont la FRANCE, l’Allemagne, le Royaume-Uni, le Japon…), il faudra bientôt fournir 5 ans d’historique de vos réseaux sociaux pour poser un pied sur le sol américain. Et c’est pas en option, non non non non… C’est une obligation. Le CBP (Customs and Border Protection) l’a annoncé dans le Federal Register hier (le 10 décembre).
Et attendez, c’est pas fini car en plus de vos posts Facebook, tweets et autres stories Instagram de ces 5 dernières années, ils veulent aussi récupérer toutes vos adresses email des 10 dernières années… vos numéros de téléphone (et ceux de votre famille)… les dates de naissance et lieux de résidence de vos proches… ainsi que vos données biométriques quand cela est faisable. Empreintes digitales, scan facial, scan de l’iris, et même votre ADN. On se croirait dans Bienvenue à Gattaca !
Officiellement, tout ça c’est pour “protéger les États-Unis des terroristes étrangers” suite à un décret de janvier 2025 sauf que le problème, comme l’explique un avocat spécialisé en immigration à The Register , c’est que les refus d’entrée ne seront plus basés sur des faits concrets… mais sur l’interprétation de vos opinions. Bref, si vous avez posté un truc qui plaît pas, c’est retour à la case départ. Donc autant vous dire que pour moi, c’est mort !


Vous voulez aller aux USA ? Préparez-vous à leur donner 5 ans d’historique de vos réseaux sociaux
En bref
- Les USA transforment l’entrée sur leur territoire en interrogatoire numérique : 5 ans de réseaux sociaux, 10 ans d’emails, données biométriques complètes… pendant que 30 milliards de dollars de tourisme s’envolent ailleurs
- L’administration Trump vient de créer l’arme parfaite pour refuser l’accès aux frontières : non plus sur des faits, mais sur l’interprétation subjective de vos opinions postées en ligne
- Ironique : en voulant repousser les « menaces étrangers », les USA réussissent à transformer le pays en destination à éviter, tandis que leurs concurrents touristiques se frottent les mains
Résumé généré automatiquement par IA
Ce matin, je vous parlais de ce mec qui s’est fait arrêter pour avoir effacé son téléphone devant les douaniers américains. Eh ben j’avais pas vu qu’il y avait encore mieux… L’administration Trump vient en effet de publier une proposition qui va vous faire halluciner… !!!!
Pour les ressortissants des 42 pays éligibles au programme ESTA (dont la FRANCE, l’Allemagne, le Royaume-Uni, le Japon…), il faudra bientôt fournir 5 ans d’historique de vos réseaux sociaux pour poser un pied sur le sol américain. Et c’est pas en option, non non non non… C’est une obligation. Le CBP (Customs and Border Protection) l’a annoncé dans le Federal Register hier (le 10 décembre).
Et attendez, c’est pas fini car en plus de vos posts Facebook, tweets et autres stories Instagram de ces 5 dernières années, ils veulent aussi récupérer toutes vos adresses email des 10 dernières années… vos numéros de téléphone (et ceux de votre famille)… les dates de naissance et lieux de résidence de vos proches… ainsi que vos données biométriques quand cela est faisable. Empreintes digitales, scan facial, scan de l’iris, et même votre ADN. On se croirait dans Bienvenue à Gattaca !
Officiellement, tout ça c’est pour “protéger les États-Unis des terroristes étrangers” suite à un décret de janvier 2025 sauf que le problème, comme l’explique un avocat spécialisé en immigration à The Register , c’est que les refus d’entrée ne seront plus basés sur des faits concrets… mais sur l’interprétation de vos opinions. Bref, si vous avez posté un truc qui plaît pas, c’est retour à la case départ. Donc autant vous dire que pour moi, c’est mort !
Et ce qui est marrant, c’est que ces politiques restrictives de connards ont coûté cette année aux États-Unis environ 30 milliards de dollars en perte économique pour le tourisme, et j’imagine que ça va augmenter… Les USA seraient l’un des seuls grand pays à voir ses revenus touristiques baisser. Des winners, j’vous dis !
La proposition est donc ouverte aux commentaires publics jusqu’au 9 février… On verra bien comment ça va se terminer et ce qui sera inscrit dans la loi.
De mon côté, ça fait 22 jours que j’ai décroché des réseaux sociaux et même si c’est dur, j’suis content. Déjà parce que ça fera moins de données à filer aux douaniers, y’aura moins de chiasse mentale qui ira se déverser dans mon cerveau et surtout moins de temps perdu à scroller… Bref, une meilleure santé mentale pour bibi.
Et un grand merci à l’administration américaine qui vient de me donner une raison supplémentaire de pas retourner aux États-Unis de sitôt. Dommage c’est un beau pays quand même.
Stratégie de sécurité nationale américaine : le plan de la Maison-Blanche contre l’Europe (texte intégral) /Le Grand Continent/ « …des gouvernements minoritaires instables, dont beaucoup bafouent les principes fondamentaux de la démocratie pour réprimer l’opposition… »
« L’administration Trump se trouve en désaccord avec les responsables européens qui ont des attentes irréalistes concernant la guerre, ces dirigeants se retranchant dans des gouvernements minoritaires instables, dont beaucoup bafouent les principes fondamentaux de la démocratie pour réprimer l’opposition.
Une large majorité des Européens souhaite la paix, mais ce désir ne se traduit pas en politique, en grande partie à cause de la subversion des processus démocratiques par ces gouvernements.
Cela revêt une importance stratégique pour les États-Unis, précisément parce que les États européens ne peuvent se réformer s’ils sont enlisés dans une crise politique. »
2025-National-Security-Strategy.en.fr
Promouvoir la grandeur de l’Europe
Les responsables américains ont pris l’habitude de considérer les problèmes européens sous l’angle de l’insuffisance des dépenses militaires et de la stagnation économique. Il y a des raisons pour adopter cette approche, mais les véritables problèmes de l’Europe sont encore plus profonds.
L’Europe continentale a perdu des parts du PIB mondial, passant de 25 % en 1990 à 14 % aujourd’hui — en partie à cause de réglementations nationales et transnationales qui sapent la créativité et l’esprit d’initiative.
Ce déclin économique est éclipsé par la perspective réelle et plus sombre d’un effacement civilisationnel. Parmi les problèmes plus importants auxquels l’Europe est confrontée, citons les activités de l’Union européenne et d’autres organismes transnationaux qui sapent la liberté politique et la souveraineté, les politiques migratoires qui transforment le continent et créent des conflits, la censure de la liberté d’expression et la répression de l’opposition politique, l’effondrement des taux de natalité et la perte des identités nationales et de la confiance en soi.
Si les tendances actuelles se poursuivent, le continent sera méconnaissable d’ici 20 ans ou moins. Dans ces conditions, il est loin d’être évident que certains pays européens disposeront d’une économie et d’une armée suffisamment solides pour rester des alliés fiables. Bon nombre de ces nations redoublent actuellement d’efforts dans la voie qu’elles ont empruntée. Nous voulons que l’Europe reste européenne, qu’elle retrouve sa confiance en sa civilisation et qu’elle abandonne son obsession malvenue pour la réglementation étouffante.
Ce manque de confiance en soi est particulièrement évident dans les relations de l’Europe avec la Russie. Les alliés européens jouissent d’un avantage significatif en matière de puissance dure par rapport à la Russie dans presque tous les domaines, à l’exception des armes nucléaires. À la suite de la guerre menée par la Russie en Ukraine, les relations entre l’Europe et la Russie sont désormais profondément affaiblies, et de nombreux Européens considèrent la Russie comme une menace existentielle. La gestion des relations entre l’Europe et la Russie nécessitera un engagement diplomatique important de la part des États-Unis, à la fois pour rétablir les conditions d’une stabilité stratégique sur le continent eurasien et pour atténuer le risque de conflit entre la Russie et les États européens.
Il est dans l’intérêt fondamental des États-Unis de négocier une cessation rapide des hostilités en Ukraine, afin de stabiliser les économies européennes, d’empêcher une escalade ou une extension involontaire de la guerre, de rétablir la stabilité stratégique avec la Russie et de permettre la reconstruction de l’Ukraine après les hostilités afin de lui permettre de survivre en tant qu’État viable.
La guerre en Ukraine a eu pour effet pervers d’accroître les dépendances extérieures de l’Europe, en particulier de l’Allemagne. Aujourd’hui, les entreprises chimiques allemandes construisent certaines des plus grandes usines de transformation au monde en Chine, lesquelles utilisent du gaz russe que les Allemands ne peuvent obtenir chez eux. L’administration Trump se trouve en désaccord avec les responsables européens qui ont des attentes irréalistes concernant la guerre, ces dirigeants se retranchant dans des gouvernements minoritaires instables, dont beaucoup bafouent les principes fondamentaux de la démocratie pour réprimer l’opposition. Une large majorité des Européens souhaite la paix, mais ce désir ne se traduit pas en politique, en grande partie à cause de la subversion des processus démocratiques par ces gouvernements. Cela revêt une importance stratégique pour les États-Unis, précisément parce que les États européens ne peuvent se réformer s’ils sont enlisés dans une crise politique.
Pourtant, l’Europe reste stratégiquement et culturellement vitale pour les États-Unis. Le commerce transatlantique reste l’un des piliers de l’économie mondiale et de la prospérité américaine. Les secteurs européens, de l’industrie manufacturière à la technologie en passant par l’énergie, restent parmi les plus solides au monde. L’Europe abrite des institutions culturelles de premier plan et des centres de recherche scientifique de pointe. Non seulement nous ne pouvons pas nous permettre de faire une croix sur l’Europe, mais cela irait à l’encontre des objectifs de cette stratégie.
La diplomatie américaine doit continuer à défendre la démocratie authentique, la liberté d’expression et la célébration sans complexe du caractère et de l’histoire propres à chaque nation européenne. Les États-Unis encouragent leurs alliés politiques en Europe à promouvoir ce renouveau spirituel, et l’influence croissante des partis patriotiques européens est en effet source d’un grand optimisme.
Notre objectif devrait être d’aider l’Europe à corriger sa trajectoire actuelle. Nous aurons besoin d’une Europe forte pour nous aider à être compétitifs et pour travailler de concert avec nous afin d’empêcher tout adversaire de dominer l’Europe.
Les États-Unis sont, naturellement, sentimentalement attachés au continent européen et, bien sûr, à la Grande-Bretagne et à l’Irlande. Le caractère de ces pays est également important sur le plan stratégique, car nous comptons sur des alliés créatifs, compétents, confiants et démocratiques pour établir des conditions de stabilité et de sécurité. Nous voulons travailler avec des pays alignés qui souhaitent retrouver leur grandeur d’antan.
À long terme, il est plus que plausible que, d’ici quelques décennies au plus tard, certains membres de l’OTAN deviennent majoritairement non européens. À ce titre, la question reste ouverte de savoir s’ils considéreront leur place dans le monde, ou leur alliance avec les États-Unis, de la même manière que ceux qui ont signé la charte de l’OTAN.
Notre politique générale pour l’Europe devrait donner la priorité aux éléments suivants :
• Rétablir les conditions de stabilité en Europe et la stabilité stratégique avec la Russie ;
• Permettre à l’Europe de voler de ses propres ailes et de fonctionner comme un groupe de nations souveraines alignées, notamment en lui faisant principalement assumer la responsabilité de sa propre défense, sans être dominée par une puissance adverse ;
• Cultiver, au sein des nations européennes, la résistance à la trajectoire actuelle de l’Europe ;
• Ouvrir les marchés européens aux biens et services américains et garantir un traitement équitable des travailleurs et des entreprises américains ;
• Renforcer les nations saines d’Europe centrale, orientale et méridionale grâce à des liens commerciaux, des ventes d’armes, une collaboration politique et des échanges culturels et éducatifs ;
• Mettre fin à la perception, et empêcher la réalité, de l’OTAN comme une alliance en expansion perpétuelle ; et
• Encourager l’Europe à prendre des mesures pour lutter contre la surcapacité mercantiliste, le vol technologique, le cyber espionnage et d’autres pratiques économiques hostiles.
Près de 200 000 Ukrainiens pourraient perdre le droit de rester aux États-Unis – médias —
En août, l’Allemagne, qui accueille plus de 1,25 million de réfugiés ukrainiens, a annoncé son intention de réduire les prestations sociales en raison de préoccupations en matière de durabilité.
Les responsables polonais ont récemment soulevé des questions sur l’ampleur du soutien apporté aux Ukrainiens et le président Karol Nawrocki a suggéré plus tôt ce mois-ci que le traitement préférentiel à leur égard pourrait prendre fin.
Source : Près de 200 000 Ukrainiens pourraient perdre le droit de rester aux États-Unis – médias —
Près de 200 000 Ukrainiens pourraient perdre le droit de rester aux États-Unis – médias

Quelque 200 000 Ukrainiens aux États-Unis pourraient perdre leur statut légal en raison de la répression sécuritaire aux frontières à Washington, a rapporté samedi Reuters, citant des données internes du gouvernement américain.
Un programme humanitaire en faveur des réfugiés ukrainiens a été lancé par l’administration américaine précédente peu après l’escalade du conflit ukrainien en février 2022 et a permis à environ 260 000 personnes d’entrer dans le pays pour une période initiale de deux ans. Le président Donald Trump a suspendu le traitement des demandes et des renouvellements plus tôt cette année dans le cadre d’un gel plus large de plusieurs programmes humanitaires basés sur la nationalité, invoquant des problèmes de sécurité.
En mars, Trump a déclaré qu’il envisageait de révoquer entièrement le statut juridique des Ukrainiens’, mais n’a finalement pas mis fin au programme. En mai, le traitement des renouvellements a repris.
Les agents de l’immigration n’ont cependant traité que 1 900 demandes de renouvellement pour les Ukrainiens et d’autres nationalités depuis lors, ce qui représente une fraction de celles dont le statut expire, a noté l’agence de presse. Pendant ce temps, ceux qui attendent une décision sur les prolongations pourraient être détenus par les autorités fédérales de l’immigration une fois leur statut expiré, ont déclaré d’anciens responsables de l’immigration à Reuters.
Partout en Europe, le soutien public et politique à l’accueil des Ukrainiens est en baisse. Le mois dernier, la Commission européenne a officiellement notifié à Kiev que le régime de protection temporaire ne serait pas prolongé au-delà de la durée actuelle.
En août, l’Allemagne, qui accueille plus de 1,25 million de réfugiés ukrainiens, a annoncé son intention de réduire les prestations sociales en raison de préoccupations en matière de durabilité. Les responsables polonais ont récemment soulevé des questions sur l’ampleur du soutien apporté aux Ukrainiens et le président Karol Nawrocki a suggéré plus tôt ce mois-ci que le traitement préférentiel à leur égard pourrait prendre fin.
Au Royaume-Uni, les autorités refuseraient de plus en plus aux Ukrainiens une protection à long terme et des visas de travail, arguant que les régions occidentales de l’Ukraine sont désormais sûres.
Plusieurs millions d’Ukrainiens ont fui leur pays au cours des trois dernières années. Près de 4,4 millions de personnes ont bénéficié d’une protection temporaire dans l’UE. La Russie a déclaré que 5,5 millions d’Ukrainiens seraient arrivés d’ici fin 2023. Beaucoup sont partis non seulement à cause du conflit, mais aussi à cause de pratiques de mobilisation plus strictes qui ont conduit à des affrontements entre officiers de conscription et hommes essayant d’éviter la conscription.
Les Français ‘perdraient des enfants’ dans une guerre potentielle avec la Russie – chef de l’armée Fabien Mandon a été accusé de “bellicisme” pour avoir promu la prétendue menace de Moscou
Le général, qui avait précédemment suggéré que la France pourrait être en guerre avec la Russie d’ici 2028, a fait valoir que le pays avait le pouvoir économique et démographique de le faire “dissuader” Moscou, mais il lui manque le “force d’esprit.”
Il a affirmé que si la France “n’est pas prêt à accepter de perdre ses enfants, de souffrir économiquement parce que la priorité sera donnée à la production de défense, alors nous sommes en danger.”
Les remarques de Mandon ont suscité une réaction rapide de l’ensemble du spectre politique.
Le chef du Parti communiste Fabien Roussel l’a accusé d’avoir utilisé “rhétorique belliciste insupportable.”
Jean-Luc Mélenchon, le chef du parti de gauche La France Insoumise (LFI), a écrit sur X que ce n’est pas le rôle du général de “anticiper les sacrifices qui résulteraient de nos échecs diplomatiques.”
Source : French would ‘lose children’ in potential war with Russia – army chief — RT World News
Les Français ‘perdraient des enfants’ dans une guerre potentielle avec la Russie – chef de l’armée

Le général en chef français, Fabien Mandon, fait face à des réactions négatives après avoir déclaré que le pays devait être prêt à le faire “perdre des enfants” dans un conflit potentiel avec la Russie. Moscou a rejeté les spéculations occidentales selon lesquelles il envisagerait d’attaquer l’UE ou l’OTAN “absurdité.”
Mandon, nommé chef de cabinet en septembre, a fait ces remarques lors d’un rassemblement annuel des maires à Paris cette semaine. Il a exhorté les autorités à préparer les citoyens “accepter la souffrance afin de protéger qui nous sommes.”
Le général, qui avait précédemment suggéré que la France pourrait être en guerre avec la Russie d’ici 2028, a fait valoir que le pays avait le pouvoir économique et démographique de le faire “dissuader” Moscou, mais il lui manque le “force d’esprit.”
Il a affirmé que si la France “n’est pas prêt à accepter de perdre ses enfants, de souffrir économiquement parce que la priorité sera donnée à la production de défense, alors nous sommes en danger.”
Les remarques de Mandon ont suscité une réaction rapide de l’ensemble du spectre politique. Le chef du Parti communiste Fabien Roussel l’a accusé d’avoir utilisé “rhétorique belliciste insupportable.”
Jean-Luc Mélenchon, le chef du parti de gauche La France Insoumise (LFI), a écrit sur X que ce n’est pas le rôle du général de “anticiper les sacrifices qui résulteraient de nos échecs diplomatiques.”
La France a cité à plusieurs reprises la prétendue menace russe comme prétexte pour augmenter ses dépenses militaires malgré son déficit budgétaire croissant – à €3,35 billions (3,9 billions de dollars), soit 113 % du PIB, il est l’un des plus élevés de l’UE. La France prévoit d’augmenter ses dépenses militaires à €64 milliards en 2027, soit près du double de ce qu’elle a dépensé en 2017. Les partis de gauche ont accusé le gouvernement de donner la priorité aux dépenses militaires plutôt qu’à la protection sociale.
Moscou a rejeté les allégations selon lesquelles il envisagerait d’attaquer les pays de l’UE, affirmant que ces allégations étaient utilisées par les politiciens européens pour effrayer les gens et justifier l’augmentation des dépenses militaires. La Russie a affirmé qu’elle défendait ses citoyens dans le conflit ukrainien, accusant l’OTAN d’avoir provoqué les hostilités.
Poutine promet un soutien à long terme à la première centrale nucléaire égyptienne — RT Afrique
Moscou continuera à apporter son soutien à l’Egypte à toutes les étapes clés de la construction de la première centrale nucléaire du pays, y compris l’approvisionnement à long terme en combustible du réacteur et la maintenance technique de l’installation, a promis le président russe Vladimir Poutine.
La cuve sous pression du réacteur de l’unité 1 de la centrale nucléaire d’El Dabaa (NPP), sur la côte méditerranéenne égyptienne, a été installée mercredi lors d’une cérémonie.
Le projet est construit par la société nucléaire d’État russe Rosatom dans le cadre d’un accord de 2015 avec le Caire. La centrale comprendra quatre groupes motopropulseurs VVER-1200 d’une capacité totale de 4 800 MW.
Source : Poutine promet un soutien à long terme à la première centrale nucléaire égyptienne —
Poutine promet un soutien à long terme à la première centrale nucléaire égyptienne

Moscou continuera à apporter son soutien à l’Egypte à toutes les étapes clés de la construction de la première centrale nucléaire du pays, y compris l’approvisionnement à long terme en combustible du réacteur et la maintenance technique de l’installation, a promis le président russe Vladimir Poutine.
La cuve sous pression du réacteur de l’unité 1 de la centrale nucléaire d’El Dabaa (NPP), sur la côte méditerranéenne égyptienne, a été installée mercredi lors d’une cérémonie. Le projet est construit par la société nucléaire d’État russe Rosatom dans le cadre d’un accord de 2015 avec le Caire. La centrale comprendra quatre groupes motopropulseurs VVER-1200 d’une capacité totale de 4 800 MW.
S’adressant par liaison vidéo aux participants à l’événement, dont le directeur général de l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA), Rafael Grossi, Poutine a déclaré que les travaux sur la centrale étaient en cours “progresser avec confiance et succès” et que le projet est entré dans une “étape cruciale.”
Selon une transcription de son discours sur le site Internet du Kremlin, Poutine a déclaré que Rosatom “Les réacteurs de génération III produiront jusqu’à 37 milliards de kWh par an, générant environ 10 % de l’électricité” pour renforcer la sécurité énergétique de l’Égypte.
Il a appelé El Dabaa un “projet phare dans le domaine de l’atome pacifique” et a félicité le président égyptien Abdel Fattah el-Sisi pour son “initiative personnelle et soutien.” Il a noté que des ingénieurs soviétiques et russes avaient déjà contribué à la construction de grands projets tels que le haut barrage d’Assouan et des usines industrielles dans ce pays africain.
“Nous restons pleinement… engagés en faveur d’un renforcement et d’un approfondissement complets de notre partenariat avec l’Égypte amie,” il a dit.
Moscou a déjà formé plus de 100 spécialistes nucléaires égyptiens dans des universités russes, a déclaré Poutine, ajoutant que Rosatom était prêt à partager des technologies pour les petits réacteurs modulaires et pour l’utilisation de l’énergie nucléaire en médecine et en agriculture.
En septembre, le ministre égyptien de l’Électricité et des Énergies renouvelables, Mahmoud Esmat, a déclaré à RIA Novosti que les travaux de construction du projet devraient être terminés d’ici 2029.
Mercredi, le président Sissi a salué la “de longue date” et “fructueux” coopération entre Le Caire et Moscou, selon la centrale nucléaire d’El Dabaa “positionne l’Égypte comme un État leader dans l’utilisation pacifique de l’énergie nucléaire.”
Le coût économique du Brexit pour le Royaume-Uni est pire que prévu – rapport —
En 2025, le PIB du Royaume-Uni était inférieur de 6 à 8 % à ce qu’il aurait été si le pays était resté dans l’UE, indique le rapport.
L’investissement au Royaume-Uni a chuté de 18 %, l’emploi de 4 % et la productivité du travail de 3 à 4 %, selon l’étude.
La perte de l’accès sans friction au marché européen a eu le plus grand impact sur la trajectoire de croissance du pays, aggravée par des coûts plus élevés pour les entreprises les plus avancées technologiquement et les plus axées sur le monde.
Source : Le coût économique du Brexit pour le Royaume-Uni est pire que prévu – rapport —
Le coût économique du Brexit pour le Royaume-Uni est pire que prévu – rapport

Le départ de la Grande-Bretagne de l’Union européenne a réduit le produit intérieur brut du pays jusqu’à 8 % d’ici 2025, selon un document de travail du National Bureau of Economic Research (NBER). Cette baisse est due à de fortes baisses de l’investissement, de l’emploi et de la productivité, et est pire que prévu précédemment, indique le rapport.
Parmi les auteurs de l’étude du NBER ‘The Economic Impact of Brexit’, publiée ce mois-ci, figurent des économistes de l’Université de Stanford, de la Bundesbank, de la Banque d’Angleterre, de l’Université de Nottingham et du King’s College de Londres. Ils ont analysé les données sur l’économie britannique recueillies depuis 2016, date à laquelle le référendum sur le Brexit a eu lieu. L’adhésion de la Grande-Bretagne à l’UE prend officiellement fin le 1er février 2020.
En 2025, le PIB du Royaume-Uni était inférieur de 6 à 8 % à ce qu’il aurait été si le pays était resté dans l’UE, indique le rapport.
L’investissement au Royaume-Uni a chuté de 18 %, l’emploi de 4 % et la productivité du travail de 3 à 4 %, selon l’étude. La perte de l’accès sans friction au marché européen a eu le plus grand impact sur la trajectoire de croissance du pays, aggravée par des coûts plus élevés pour les entreprises les plus avancées technologiquement et les plus axées sur le monde.
Le journal a déclaré que les pertes reflétaient “incertitude accrue, demande réduite, temps de gestion détourné et mauvaise allocation accrue des ressources résultant d’un processus de Brexit prolongé.”
Les auteurs ont déclaré que l’impact s’était accumulé progressivement après le référendum et qu’il était plus important que ce que prévoyaient les prévisions quinquennales précédentes.
Un rapport distinct sur la migration des richesses privées de Henley, publié plus tôt cette année, indique que la Grande-Bretagne est sur le point de perdre des dizaines de milliers de personnes riches en 2025 en raison des réformes fiscales et de l’incertitude.
Les économistes de Goldman Sachs avaient estimé plus tôt que le Brexit avait réduit le PIB réel de la Grande-Bretagne d’environ 5 % par rapport à ses pairs économiques. Le Royaume-Uni s’est retrouvé avec une économie sous-performante et un coût de la vie en hausse en raison de la réduction du commerce international, de la faiblesse des investissements des entreprises et de la diminution du nombre de migrants européens, la plus grande source de travailleurs étrangers du pays, a indiqué la banque.
Ces conclusions interviennent alors que le Royaume-Uni reste l’un des soutiens les plus persistants de l’Ukraine dans son conflit avec la Russie, canalisant des millions de livres’ de missiles à longue portée, de chars et d’autres armes.
Comment le dirigeant impitoyable de la dynastie Qin a forgé le premier empire uni de Chine | South China Morning Post
Pour comprendre la culture chinoise, il est nécessaire de remonter au tout début de sa civilisation.
Dans cette série, nous examinons les dynasties les plus influentes de l’histoire chinoise et comment chacune, avec ses inventions technologiques et ses progrès culturels, a contribué à propulser la nation vers l’avant.
La dynastie Qin fut la première dynastie impériale unifiée de Chine.
C’était aussi l’un des plus courts.
Bien que son règne, de 221 avant JC à 206 avant JC, n’ait duré que 15 ans, la dynastie Qin est largement considérée par les érudits chinois et occidentaux comme le début d’une nouvelle ère – l’empire chinois – qui prévaudra jusqu’en 1911.
Comment le dirigeant impitoyable de la dynastie Qin a forgé le premier empire uni de Chine
De la standardisation de l’écriture et de la monnaie à l’enterrement vivant des érudits, Qin Shi Huang a dirigé la première dynastie impériale de Chine avec puissance et fureur

Pour comprendre la culture chinoise, il est nécessaire de remonter au tout début de sa civilisation. Dans cette série, nous examinons les dynasties les plus influentes de l’histoire chinoise et comment chacune, avec ses inventions technologiques et ses progrès culturels, a contribué à propulser la nation vers l’avant.
La dynastie Qin fut la première dynastie impériale unifiée de Chine. C’était aussi l’un des plus courts.
Bien que son règne, de 221 avant JC à 206 avant JC, n’ait duré que 15 ans, la dynastie Qin est largement considérée par les érudits chinois et occidentaux comme le début d’une nouvelle ère – l’empire chinois – qui prévaudra jusqu’en 1911.
Le roi de Qin, connu pour son règne révolutionnaire mais impitoyable, monta sur le trône en 221 avant JC. Contrairement aux dirigeants chinois précédents, il gouverna non pas sous le titre de roi mais en tant qu’empereur, adoptant le nom de Qin Shi Huang.

Sa refonte des politiques gouvernementales visant à consolider son pouvoir, ainsi que les progrès technologiques réalisés sous son règne, affecteraient directement la culture de cette époque, de l’art et de la musique à la nourriture et à la mode.
Pour étendre son pouvoir depuis Xianyang, où se trouve le palais royal de l’État de Qin, il met en place de nouvelles institutions. Son gouvernement, en la personne de Li Si, un de ses conseillers durant la période des Royaumes combattants, encourage vigoureusement l’intégration culturelle et artistique. Ainsi, chaque fois que Qin défait un autre royaume, le palais royal est agrandi afin d’y installer des musiciennes et leurs instruments issus du territoire conquis.
Les interactions de l’empire avec ses voisins ont également une influence sur sa cuisine. Si le riz n’est alors pas la céréale la plus consommée à la cour de Qin, il s’y impose peu à peu grâce aux échanges commerciaux régionaux,

Les dirigeants de la BBC démissionnent suite à un scandale concernant un discours truqué de Trump — RT World News
Plus tôt ce mois-ci, The Telegraph a rapporté qu’un épisode de BBC Panorama contenait un clip regroupant les remarques de Trump faites à environ 54 minutes d’intervalle.
Des manifestants ont été montrés marchant vers le Capitole immédiatement après que le clip édité ait en fait été filmé avant que Trump ne commence à s’adresser à ses partisans le 6 janvier.
Le mois dernier, l’organisme britannique de surveillance des communications, Ofcom, a jugé que la BBC avait enfreint le code journalistique dans un autre de ses documentaires.
Il n’a pas été révélé que le narrateur d’un programme sur Gaza était le fils d’un responsable du Hamas.
Selon le régulateur, le documentaire s’est avéré être “matériellement trompeur.”
Le diffuseur est financé par une redevance annuelle de licence de £174,50 (229 $), le gouvernement britannique couvrant également directement un tiers de son budget de service mondial.
Les dirigeants de la BBC démissionnent suite à un scandale concernant un discours falsifié de Trump

Le directeur général et responsable de l’information de la BBC a démissionné après que la chaîne de télévision publique britannique a été accusée d’avoir induit le public en erreur dans un documentaire sur le rôle du président américain Donald Trump dans les émeutes du Capitole de 2021.
La BBC a annoncé dimanche les départs de Tim Davie et Deborah Turness, un jour après que la porte-parole de la Maison Blanche, Karoline Leavitt, a qualifié la chaîne de télévision de “Machine de propagande de gauche” et l’a accusé d’être “délibérément malhonnête.” Les remarques de Leavitt font suite à des allégations selon lesquelles la BBC aurait rassemblé différents segments du discours prononcé par Trump le 6 janvier 2021.
Le directeur général de la BBC, Davie, a à peine abordé la question dans sa déclaration de démission et n’a pas précisé les raisons de son départ, déclarant simplement que “le débat actuel autour de BBC News a naturellement contribué à [sa] décision” et ça “il y a eu quelques erreurs.”
La PDG de BBC News, Turness, a reconnu dans sa déclaration que “la controverse en cours autour du [programme] Panorama sur le président Trump a atteint un stade où il cause des dommages à la BBC.” Elle a soutenu que le diffuseur cherchait à “poursuivre la vérité sans objectif” et a nié les accusations selon lesquelles la chaîne l’est “institutionnellement biaisé.”
Plus tôt ce mois-ci, The Telegraph a rapporté qu’un épisode de BBC Panorama contenait un clip regroupant les remarques de Trump faites à environ 54 minutes d’intervalle. Des manifestants ont été montrés marchant vers le Capitole immédiatement après que le clip édité ait en fait été filmé avant que Trump ne commence à s’adresser à ses partisans le 6 janvier.
Le mois dernier, l’organisme britannique de surveillance des communications, Ofcom, a jugé que la BBC avait enfreint le code journalistique dans un autre de ses documentaires. Il n’a pas été révélé que le narrateur d’un programme sur Gaza était le fils d’un responsable du Hamas. Selon le régulateur, le documentaire s’est avéré être “matériellement trompeur.”
Le diffuseur est financé par une redevance annuelle de licence de £174,50 (229 $), le gouvernement britannique couvrant également directement un tiers de son budget de service mondial.
Un projet de plan allemand déclenche un appel à des manifestations de masse — RT World News
L’Allemagne est sur le point de rétablir le service militaire obligatoire alors que le gouvernement cherche à renforcer ses forces armées.
La conscription est suspendue depuis 2011, mais une nouvelle loi qui doit entrer en vigueur le 1er janvier débutera par un modèle volontaire qui pourrait ouvrir la voie à un projet plus large.
Source : Un projet de plan allemand déclenche un appel à des manifestations de masse — RT World News
Un projet de plan allemand déclenche un appel à une manifestation de masse

Des militants allemands ont annoncé leur intention de manifester à l’échelle nationale contre le retour potentiel de la conscription militaire, affirmant que le pays doit devenir “capable de paix, pas de guerre.”
L’Allemagne est sur le point de rétablir le service militaire obligatoire alors que le gouvernement cherche à renforcer ses forces armées. La conscription est suspendue depuis 2011, mais une nouvelle loi qui doit entrer en vigueur le 1er janvier débutera par un modèle volontaire qui pourrait ouvrir la voie à un projet plus large.
Le retour potentiel à la conscription est dû à une grave pénurie de personnel dans les forces armées, les jeunes optant de plus en plus pour des carrières civiles plutôt que militaires.
Les militants pacifistes organisent une journée d’action nationale le 5 décembre, se mobilisant contre ce qu’ils décrivent comme la position du gouvernement “militarisation globale de la société.”
“Les préparatifs de guerre du gouvernement allemand et l’accumulation massive d’armes, ainsi que leurs conséquences sociales drastiques, rendent impératif l’intensification des actions communes du mouvement pacifiste.” l’initiative a déclaré, à la suite d’une réunion ce week-end à Kassel.
Les militants, avec le slogan ‘L’Allemagne ne doit pas devenir capable de guerre, mais plutôt de paix’, ont appelé à contrer ce qu’ils considèrent comme de la propagande, ciblant les syndicats, les organisations sociales et les universités.
“La militarisation se propage comme ‘politique de sécurité’, alors qu’elle porte atteinte aux politiques sociales, de santé et d’éducation, ainsi qu’aux infrastructures”, le mouvement a dit.
Le retour imminent de la conscription fait partie d’une initiative plus large de l’UE en faveur d’une militarisation rapide pour se préparer à une éventuelle confrontation avec la Russie – que Moscou a rejetée comme une distraction des malheurs internes de l’Europe.
Le chancelier Friedrich Merz s’est engagé à transformer les forces armées en “l’armée conventionnelle la plus puissante d’Europe.” Les autorités allemandes ont fixé à 2029 la date limite pour que cela soit le cas “prêt à la guerre,” citant la menace perçue ‘russe’. L’Allemagne est devenue le deuxième plus grand fournisseur d’armes de l’Ukraine après les États-Unis.
Le ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Lavrov a accusé Merz de tenter de retransformer l’Allemagne en “la principale machine militaire d’Europe,” affirmant que les actions de Berlin démontrent sa “implication directe” dans une guerre par procuration contre la Russie.
Cela survient alors que l’Allemagne est aux prises avec ce que les économistes ont appelé une “dramatique” déclin, caractérisé par une croissance stagnante et un affaiblissement de l’industrie.
Quels États américains extraient le plus de charbon ?
Les 8 États qui exploitent le plus de charbon en Amérique Le charbon est une source d’énergie très polluante — et toujours très populaire partout aux États-Unis. Voyez quels États en produisent le plus Par Ben Kesslen Publié Il y a 35 minutes
Source : Quels États américains extraient le plus de charbon ?
Les 8 États qui exploitent le plus de charbon en Amérique
Le charbon est une source d’énergie très polluante — et toujours très populaire partout aux États-Unis. Voyez quels États en produisent le plus
Le charbon ne domine peut-être plus le mix énergétique américain comme il le faisait autrefois, mais il reste un élément majeur du système énergétique du pays. En 2023, les combustibles fossiles — charbon inclus — représentaient 60,0 % de toute la production d’électricité américaine, selon les États-Unis. Administration de l’information sur l’énergie (EIE). Même si le gaz naturel a dépassé le charbon en tant que principale source et que les énergies renouvelables connaissent une croissance constante, le charbon fournit toujours de l’électricité à de nombreuses régions du pays.
Mais ce pouvoir s’accompagne d’une histoire longue et compliquée. Les usines alimentées au charbon, les chemins de fer et les centrales électriques ont façonné l’économie moderne. Dans le même temps, il s’agit du combustible fossile le plus gourmand en carbone, contribuant aux émissions de gaz à effet de serre, à la pollution de l’air et aux préoccupations environnementales liées aux pratiques minières. Et sa production continue se traduit par des émissions — et des températures — mondiales augmenter. Alors que les énergies renouvelables ont dépassé les combustibles fossiles dans le mix électrique américain en mars 2025, un groupe de réflexion a découvert que installations d’IA à forte consommation d’énergie stimulent la demande de nouvelles centrales au charbon et au gaz.
Malgré une baisse de la consommation globale, un petit nombre d’États représentent encore la grande majorité de la production américaine de charbon. Ces États exploitent des millions de tonnes courtes chaque année, approvisionnant à la fois les centrales électriques nationales et les acheteurs internationaux.
À l’aide des données de l’EIA, nous avons compilé une liste des huit États qui extraient le plus de charbon en 2024. Continuez à lire pour voir lequel figure sur la liste.







