le rapport décline plusieurs propositions visant à remobiliser l’ensemble des acteurs du dispositif de l’archéologie préventive dans le cadre d’une politique publique garante du respect des exigences scientifiques de la discipline, autour des grandes orientations suivantes :
1°) construire une politique publique de l’archéologie préventive claire et coordonnée
2°) garantir un système de financement fiable et efficace
3°) redéfinir les missions et l’implication de chaque acteur en matière de recherche et de conservation des données archéologiques
4°) donner les moyens au développement de l’archéologie préventive en mer
5°) accroître la mobilité inter-institutionnelle des archéologues.
Martine Faure propose ainsi la réaffirmation d’une politique publique de l’archéologie préventive placée sous l’autorité de l’État, en particulier du ministère de la Culture et de la Communication en lien étroit avec le ministère de la Recherche. Elle rappelle que l’État doit disposer des outils lui permettant de jouer pleinement son rôle de régulateur et souligne que la place et les obligations de chacun des acteurs doivent être clairement identifiées pour rétablir la confiance au sein de la communauté scientifique. Elle prône une fédération des acteurs autour de projets communs de recherche et de valorisation des connaissances.
Source: www.culturecommunication.gouv.fr
See on Scoop.it – flux rss twitter g+ facebook


