Le mal de notre époque est la surcharge d’information, les notifications et les bons vieux reflexes pavloviens que nous avons acquis au fil des années et qui nous font vérifier et re-re-re-vérifier toutes les 60 secondes notre boite mail et nos comptes de réseaux sociaux.
A mis chemin entre la procrastination (clic clic clic) et le workaholisme, notre dépendance vis à vis de notre smartphone ou de notre ordinateur peut au mieux nous distraire de notre but, et au pire nous rendre totalement maboul en mode burnout-pétage-de-cable.

