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Prince Jean : l’héritier présomptif du trône de France se rebiffe ! – Gala

INTOX SUR « Le prince Jean d’Orléans. »  sur le site de GALA

pour un article écrit par Delphine Bernard-Bruls en collaboration avec 6Medias

un article intéressant sur les difficultés que rencontre le Comte de Paris pour que la Fondation Saint Louis respecte ses objectifs :

  • la conservation des sites patrimoniaux ;
  • la valorisation historique du château d’Amboise (organisation des visites libres ou commentées, des conférences et des manifestations artistiques) ;
  • la restauration de la chapelle royale de Dreux et l’organisation de visites commentées de l’édifice ;
  • la participation au rayonnement de l’histoire et de la culture française notamment au niveau international

en lien avec diverses institutions concernées (prêts d’œuvres lors d’expositions, éditions d’ouvrages à caractère historique).

POUR RAPPEL :

Henri d’Orléans, est mort à l’âge de 85 ans, il était le père du Prince « Jean de France » Henri d’Orléans, né Henri Philippe Pierre Marie né le  au manoir d’Anjou à Woluwe-Saint-Pierre (Belgique) et mort le  à Paris (8e arrondissement),

Son grand-père était Henri d’Orléans, né Henri Robert Ferdinand Marie le 5 juillet 1908 au Nouvion-en-Thiérache (Aisne) et mort le 19 juin 1999 à Cherisy (Eure-et-Loir),

L’article de Gala :

Comme le relatent nos confrères du Journal du Dimanche, le 16 mai, celui que l’on nomme également « Jean de France » est en litige pour avoir vécu gratuitement au domaine royal de Dreux (Eure-et-Loir) depuis près de longues années.

Et le créancier agacé n’est autre que… son grand-père(décédé en 1999), Henri d’Orléans.

Remise en contexte. Henri d’Orléans (le grand-père) est (était) président d’honneur de la fondation d’utilité publique Saint-Louis, qu’il a lui-même fondée en 1974 pour assurer « la conservation, la mise en valeur et l’entretien » des biens historiques des Orléans.

Le domaine royal de Dreux est donc concerné, au même titre que le château d’Amboise sur les bords de la Loire, celui de Bourbon-l’Archambault et la chapelle Notre-Dame-de-Compassion, à Paris.

« Des conditions d’habitation non conformes »Mais lorsque Jean d’Orléans décide de s’installer à Dreux, les administrateurs de la fondation voient cette arrivée d’un très mauvais œil. Le droit d’usage du lieu à titre gracieux avait en effet été accordé à la mère de l’héritier présomptif, Marie-Thérèse de Wurtemberg,(par le grand-père)  mais ne devait pas s’appliquer de fait à lui(! quelle base légale pour dire cela!).

Dès 2011, Henri d’Orléans envoie un courrier très clair à son petit-fils (non son père) :

« Je te demande fermement de retirer les objets ou meubles que tu as déjà déposés illégalement », lui enjoint-il.

La réponse ne se fait pas attendre, mais elle n’est pas celle que le grand-père orléaniste (non son père) : attendait :

« Nous allons seulement faire vivre la maison pour Maman, François et Blanche [son frère et sa sœur, ndlr] puissent venir plus souvent ». Il précise que « le bon air va faire le plus grand bien à Gaston », son fils. Il décide donc de rester dans le domaine royal.

Source : Prince Jean : l’héritier présomptif du trône de France se rebiffe ! – Gala

Scandaleusement riche. PHILIPPE DE BOECK

Scandaleusement riche

PHILIPPE DE BOECK

Scandaleusement riche

De son vivant, Adolf Hitler a tout mis en oeuvre pour faire croire qu’il était de condition modeste et entièrement dévoué au service du peuple allemand. «Il vivait mieux que beaucoup d’autres, même quand il était étudiant», peut-on lire dans le livre La fortune d’Hitler de Cris Whetton.

En réalité, Adolf Hitler aurait accumulé une fortune colossale durant les dix dernières années de sa vie. Les spécialistes parlent de l’équivalent de 3,6 milliards d’euros. C’est du moins ce qu’il ressort du documentaire britannique The Hunt for Hitler’s Missing Millions (Channel 5) basé sur plusieurs ouvrages dont celui de Cris Whetton. «Contrairement à l’image qu’on donnait de lui dans la propagande officielle orchestrée par Goebbels, Hitler adorait l’argent», explique l’auteur dans le documentaire.

Preuve qu’Hitler n’est pas mort sans le sou, sa soeur Paula s’est battue jusqu’en 1960 pour toucher une partie de l’héritage caché sur des comptes en Suisse et aux Pays-Bas. Mais elle est décédée quatre mois après avoir reçu l’autorisation d’hériter. De combien et sous quelle forme? Mystère.

La fortune de l’homme fort du Troisième Reich repose tout d’abord sur des droits d’auteur. Et plus particulièrement ceux issus de la vente de Mein Kampf. Hitler et son éditeur ont réussi à en écouler des millions d’exemplaires, notamment en s’arrangeant pour que l’Etat allemand en offre à chaque couple qui se mariait.

Le dictateur a également touché des droits d’auteur sur son image grâce à son photographe personnel Heinrich Hoffmann. Sur chaque timbre imprimé à son effigie, par exemple, Adolf Hitler touchait des droits d’auteur.

Si le Land de Bavière possède les droits sur Mein Kampf depuis la mort du Führer (lire ci-contre), on ne sait pas où ont disparu les millions de reichmarks récoltés jusqu’au 30 avril 1945. Probablement sur des comptes suisses comme le précise son testament personnel retrouvé par hasard dans les épaulettes d’un officier nazi.

Hitler a par ailleurs acquis plusieurs biens immobiliers dont un immeuble à Linz (Autriche) et son sinistre nid d’aigle de Berchtesgaden transformé à grands frais avec l’argent des contribuables (lire ci-contre).

Grand amateur d’art, Hitler a également accumulé une impressionnante collection d’oeuvres d’art (10.000 tableaux) dont une grande partie a été retournée à ses anciens propriétaires.

Et comme s’il ne gagnait pas encore assez, Hitler ne payait pas d’impôts. Dans les archives du Land de Bavière, on peut librement consulter son dossier fiscal. Quand il est devenu Führer en 1933, Hitler devait déjà l’équivalent de 2,5 millions d’euros au fisc allemand.

D’après divers historiens ayant consulté les documents, Hitler ne payait jamais ses amendes et ne versait aucun impôt sur son salaire de chancelier. Un contrôleur qui lui avait intimé l’ordre de payer ses impôts a mystérieusement disparu.

PHILIPPE DE BOECK

© 2015 Rossel & Cie S.A. – LE SOIR Bruxelles, 2015