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Une sanction « rare »: deux médecins révoqués pour des violences sexuelles aux urgences de Vendôme – 04/12/2025 à 14:52 – Boursorama

Citation dépêche AFP :

« Une sanction « rare »: deux médecins révoqués pour des violences sexuelles aux urgences de Vendôme

Source : Une sanction « rare »: deux médecins révoqués pour des violences sexuelles aux urgences de Vendôme – 04/12/2025 à 14:52 – Boursorama

 

Une sanction « rare »: deux médecins révoqués pour des violences sexuelles aux urgences de Vendôme

information fournie parAFP 04/12/2025 à 14:52
Une affiche accrochée dans une salle des urgences de l'hôpital de la Timone, à Marseille, le 31 décembre 2024 ( AFP / MIGUEL MEDINA )

Une affiche accrochée dans une salle des urgences de l’hôpital de la Timone, à Marseille, le 31 décembre 2024 ( AFP / MIGUEL MEDINA )

Une sanction « particulièrement rare »: deux médecins, dont le chef des urgences du centre hospitalier de Vendôme (Loir-et-Cher), ont été révoqués à l’issue de la procédure disciplinaire initiée en octobre 2024 après des révélations de violences sexuelles qui avaient secoué l’établissement.

Mis en examen en juillet 2024 pour agressions sexuelles et harcèlement sexuel, les deux praticiens hospitaliers avaient été mis en cause par huit femmes pour des faits parfois étalés sur plusieurs années.

Quatre des huit plaignantes disaient avoir été victimes des deux médecins, avait alors indiqué le parquet de Blois, saisi en mars de la même année par la directrice de l’hôpital après la dénonciation de ces faits par plusieurs internes de la faculté de médecine de Tours passées par l’hôpital.

Une procédure disciplinaire avait été lancée, quelques semaines plus tard, à l’encontre des deux hommes, qui contestent tous les faits qui leur sont reprochés.

A l’issue de celle-ci, et du conseil de discipline qui s’en est suivi, le Centre national de gestion (CNG) de la fonction publique hospitalière a prononcé la révocation des médecins le 27 novembre. Une décision qui peut faire l’objet d’un recours.

« Cette sanction, particulièrement rare, reflète la gravité des faits en cause », a salué la directrice générale de l’Agence régionale de santé du Centre-Val de Loire, Clara de Bort, dans un message posté sur LinkedIn.

La mesure « envoie un message clair: les comportements sexistes, les violences sexuelles et toute forme de harcèlement n’ont pas leur place à l’hôpital », a-t-elle ajouté.

L’ARS a précisé à l’AFP jeudi que la procédure disciplinaire était terminée.

« La parole des victimes et anciennes victimes a été entendue », a-t-elle ajouté, « malgré l’épreuve que constitue bien souvent une telle démarche ».

Cette décision se fait en parallèle de l’enquête judiciaire, toujours en cours, alors qu’ils sont encore placés sous contrôle judiciaire avec notamment l’interdiction d’entrer en contact avec leurs anciens collègues.

Dans cette affaire, outre ces deux médecins, trois autres personnes ont aussi été impliquées.

– Sidération –

Un troisième médecin, mis en examen en octobre 2024 pour « harcèlement sexuel par personne abusant de l’autorité conférée par ses fonctions », avait aussi fait l’objet de plaintes. Il pourrait à son tour être convoqué à un conseil de discipline.

Deux femmes cadres de santé avaient été mises en examen à la même date pour « menace et actes d’intimidation ».

Tous trois avaient alors réfuté les faits, selon le parquet de Blois.

Cette affaire avait créé un profond malaise autour de l’hôpital, privé de plusieurs de ses personnels en plein coeur de l’été 2024, au moment où l’hôpital faisait déjà face à une forte tension de ses effectifs.

L’ARS avait malgré tout décidé de suspendre l’agrément permettant à l’établissement d’accueillir des internes en médecine générale.

La directrice de l’hôpital Vendôme-Montoire Valérie Boismartel avait partagé à l’AFP sa « sidération » devant des faits d’une grande gravité, avec des praticiens à l’encontre desquels aucune alerte préalable n’avait été effectuée.

Elle avait décrit « une situation extrêmement lourde, et des faits graves, y compris des agressions sexuelles ». Un plan de mesures pour lutter contre les violences sexistes et sexuelles avait ensuite été mis en place.

Cette affaire est intervenue dans un contexte de libération de la parole sur les violences sexistes à l’hôpital et dans le domaine de la santé, grâce à la vague de témoignages du « #MeToo Hôpital », déclenchée par les accusations de l’infectiologue Karine Lacombe à l’encontre du médiatique urgentiste Patrick Pelloux.

Outre les récits directs d’agressions, beaucoup de soignantes ont dénoncé une « culture carabine » (d’étudiants en médecine) et « patriarcale » installée à l’hôpital, favorable aux violences sexistes et sexuelles.

Toutes les informations reproduites … sont protégées par des droits de propriété intellectuelle détenus par l’AFP. »

 

«Aucun n’est apte à gouverner»: à Châteaudun, thermomètre de «la vraie France» face à la crise politique – Le Temps

L’Hôtel de Ville de Fabien Verdier, maire sans étiquette de Châteaudun. — © Gile M/Andia.fr via www.imago-images.de / imago images/Andia

L’Hôtel de Ville de Fabien Verdier, maire sans étiquette de Châteaudun. — © Gile M/Andia.fr via www.imago-images.de / imago images/Andia

 

 

 

Fabien Verdier est très actif dans la défense des sous-préfectures, ces chefs-lieux d’arrondissement installés par Napoléon pour “mettre des blocs de granit sur le sol de France”.

Le futur empereur l’avait fait afin de solidifier la république et qu’aucun citoyen ne se trouve à plus d’une journée à cheval de l’administration centrale.

“Quand on irrigue Châteaudun, on irrigue tous les villages environnants”, explique le maire, qui milite pour refaire de ces villes des pôles.

“On a beaucoup perdu en quelques années : le tribunal, certains services de chirurgie, la maternité. Des femmes se retrouvent à accoucher sur la route qui mène à Chartres. Ce n’est pas un sentiment d’abandon, c’est un vrai abandon des classes moyennes inférieures qui restent ici.

Tous les cadres supérieurs, eux, se concentrent désormais à Paris [4 % de cadres à Châteaudun contre 20 % à Paris].

On est devenu les nouvelles banlieues.”

Il décrit sa ville, privée de l’attrait du TGV, comme l’illustration de la France des TER (les vieillissants trains régionaux), laissée sur le bord – des heures – de route qui pourraient les mener à des centres attractifs.

“Les gens font leurs courses sur internet, l’État se gave, les magasins ferment car ils ont trop de charges, et là les gens se plaignent, ajoute Laetitia.

Moi, je ne paie qu’en espèces. Maintenant, pour habiller ma fille, je dois faire une heure de route jusqu’à Orléans.”

 

Source : «Aucun n’est apte à gouverner»: à Châteaudun, thermomètre de «la vraie France» face à la crise politique – Le Temps

Prince Jean : l’héritier présomptif du trône de France se rebiffe ! – Gala

INTOX SUR « Le prince Jean d’Orléans. »  sur le site de GALA

pour un article écrit par Delphine Bernard-Bruls en collaboration avec 6Medias

un article intéressant sur les difficultés que rencontre le Comte de Paris pour que la Fondation Saint Louis respecte ses objectifs :

  • la conservation des sites patrimoniaux ;
  • la valorisation historique du château d’Amboise (organisation des visites libres ou commentées, des conférences et des manifestations artistiques) ;
  • la restauration de la chapelle royale de Dreux et l’organisation de visites commentées de l’édifice ;
  • la participation au rayonnement de l’histoire et de la culture française notamment au niveau international

en lien avec diverses institutions concernées (prêts d’œuvres lors d’expositions, éditions d’ouvrages à caractère historique).

POUR RAPPEL :

Henri d’Orléans, est mort à l’âge de 85 ans, il était le père du Prince « Jean de France » Henri d’Orléans, né Henri Philippe Pierre Marie né le  au manoir d’Anjou à Woluwe-Saint-Pierre (Belgique) et mort le  à Paris (8e arrondissement),

Son grand-père était Henri d’Orléans, né Henri Robert Ferdinand Marie le 5 juillet 1908 au Nouvion-en-Thiérache (Aisne) et mort le 19 juin 1999 à Cherisy (Eure-et-Loir),

L’article de Gala :

Comme le relatent nos confrères du Journal du Dimanche, le 16 mai, celui que l’on nomme également « Jean de France » est en litige pour avoir vécu gratuitement au domaine royal de Dreux (Eure-et-Loir) depuis près de longues années.

Et le créancier agacé n’est autre que… son grand-père(décédé en 1999), Henri d’Orléans.

Remise en contexte. Henri d’Orléans (le grand-père) est (était) président d’honneur de la fondation d’utilité publique Saint-Louis, qu’il a lui-même fondée en 1974 pour assurer « la conservation, la mise en valeur et l’entretien » des biens historiques des Orléans.

Le domaine royal de Dreux est donc concerné, au même titre que le château d’Amboise sur les bords de la Loire, celui de Bourbon-l’Archambault et la chapelle Notre-Dame-de-Compassion, à Paris.

« Des conditions d’habitation non conformes »Mais lorsque Jean d’Orléans décide de s’installer à Dreux, les administrateurs de la fondation voient cette arrivée d’un très mauvais œil. Le droit d’usage du lieu à titre gracieux avait en effet été accordé à la mère de l’héritier présomptif, Marie-Thérèse de Wurtemberg,(par le grand-père)  mais ne devait pas s’appliquer de fait à lui(! quelle base légale pour dire cela!).

Dès 2011, Henri d’Orléans envoie un courrier très clair à son petit-fils (non son père) :

« Je te demande fermement de retirer les objets ou meubles que tu as déjà déposés illégalement », lui enjoint-il.

La réponse ne se fait pas attendre, mais elle n’est pas celle que le grand-père orléaniste (non son père) : attendait :

« Nous allons seulement faire vivre la maison pour Maman, François et Blanche [son frère et sa sœur, ndlr] puissent venir plus souvent ». Il précise que « le bon air va faire le plus grand bien à Gaston », son fils. Il décide donc de rester dans le domaine royal.

Source : Prince Jean : l’héritier présomptif du trône de France se rebiffe ! – Gala

Actualités de la Société archéologique, scientifique et littéraire du Vendômois

Actualités de la Société archéologique, scientifique et littéraire du Vendômois.

 

 

Rappel : Communiqué de presse adressé à la Nouvelle République du Centre Ouest le 16 mai 2013

 

 

 

 

Colloque des 150 ans

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Colloque des 150 ans.

Le colloque sera consacré plus spécialement aux actions et aux acteurs qui ont marqué l’histoire de la SASLV depuis 150 ans : à nous de tirer les leçons de cette riche histoire pour envisager l’avenir de la manière la plus conforme aux aspirations de la société du XXI° siècle, sans passéisme aucun, mais en conservant présents à l’esprit les buts que se sont données les Pères Fondateurs en 1862 : la défense et l’illustration de Vendôme et du Vendômois.