Légiférant à rebours de l’évolution internationale, qui deux ans après les révélations d’Edward Snowden sur l’ampleur de la surveillance menée par la NSA commence à engager un changement de pratiques, le Sénat a discuté et voté pendant trois jours, malgré une opposition courageuse de quelques sénateurs ou groupes politiques, les dispositions les plus liberticides du projet de loi défendu par Bernard Cazeneuve et Jean-Yves Le Drian. Le rapporteur Philippe Bas a montré un aveuglement inquiétant, raisonnant sous l’empire d’un juridisme étriqué, refusant de se saisir des véritables enjeux du texte en terme de libertés publiques.
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Légiférant à rebours de l’évolution internationale, qui deux ans après les révélations d’Edward Snowden sur l’ampleur de la surveillance menée par la NSA commence à engager un changement de pratiques, le Sénat a discuté et voté pendant trois jours, malgré une opposition courageuse de quelques sénateurs ou groupes politiques, les dispositions les plus liberticides du projet de loi défendu par Bernard Cazeneuve et Jean-Yves Le Drian. Le rapporteur Philippe Bas a montré un aveuglement inquiétant, raisonnant sous l’empire d’un juridisme étriqué, refusant de se saisir des véritables enjeux du texte en terme de libertés publiques.
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