
Toutes ces informations recueillies au cours de notre étude permettent d’avancer un scénario socio-économique dans lequel les berges de la Seine constituaient un lieu d’approvisionnement où les hommes profitaient, en bonne intelligence, des ressources carnées offertes par le fleuve. Tout porte à croire que les hommes passaient régulièrement à Tourville et qu’ils ont répété cette activité, sur une longue durée, au cours d’une phase interglaciaire. Tout cela avec la même gamme d’outils et donc les mêmes savoir-faire transmis génération après génération.
Source : Le plus vieux Normand jamais découvert | CNRS Le journal

