Le fournil de la boulangerie Poilâne. | Philippe Vaurès-Santamari
Ce pain de légende, une trouvaille de génie grâce au levain, allait devenir le produit phare de la boulangerie.
Frais, nourrissant, bon marché, on le vendait en tranches (encore aujourd’hui), il restait frais longtemps et fournissait l’énergie suffisante pour de longues journées de travail.
C’était la pièce maîtresse du repas à la parisienne vendu à Saint-Germain-des-Prés. Artistes, écrivains et peintres fauchés échangeaient leurs œuvres contre la fabuleuse miche à la mie voluptueuse.
Source : Poilâne, l’art du pain français à l’ancienne | Slate.fr