Pour aller dans le détail, les autorités canadiennes avaient déclaré 9225 décès en 2020.
Ensuite, en 2021, alors que les injections d’ARN messager ont commencé dès décembre 2020 et qu’on pouvait s’attendre à une diminution des décès étant donné les chiffres extraordinaires d’efficacité transmis par Big Pharma via les médias, le nombre de décès par le Covid-19 a même légèrement augmenté jusqu’à 9934 cas.
Puis, en 2022, alors que plus de 80 % de la population est doublement, voire triplement injecté, Santé Canada nous informe que 15 844 citoyens sont décédés du Covid-19 !
De plus, le pays constate une surmortalité importante qui est en corrélation directe avec l’augmentation des injections anti Covid-19 ! Il va bien falloir à un moment ou un autre demander des comptes à Justin Trudeau et son équipe, les seuls responsables de ce carnage, de ce massacre.
Cadeau de LVMH, l’Etat reçoit un tableau à 43 M€ (voici la raison)
Pour toutes les entreprises participant à l’achat d’un bien culturel qualifié, une défiscalisation intervient.
La réduction d’impôt est égale à 90 % des versements effectués par l’entreprise, mais auquel le calcul fiscal doit prendre en compte une réduction limitée à 50 % du montant de l’impôt dû par l’entreprise pendant l’exercice au cours duquel le don a été effectué.
la société du luxe LVMH l’a racheté pour 43 millions d’euros lors d’une vente spéciale pour ensuite en faire un don à l’Etat.
Lundi 30 janvier, le tableau a fait ses débuts dans le musée parisien.
Source : Cadeau de LVMH, l’Etat reçoit un tableau à 43 M€ (voici la
Cadeau de LVMH, l’Etat reçoit un tableau à 43 M€ (voici la raison)
L’homme le plus riche de la planète est français, patron de LVMH, et vient d’offrir un véritable trésor au musée d’Orsay. Dans quel but ?

Huile sur toile – 90 × 117 cm – Collection Musée d’Orsay, Paris © Gustave Caillebotte, Partie de bateau ou Canotier au chapeau haut de forme, vers 1877-1878
- Le tableau La Partie de bateau (1877-1878) du peintre français Gustave Caillebotte vient d’être vendu
- Avec LVMH, Bernard Arnault l’a racheté pour 43 millions d’euros à la famille
- L’entreprise du luxe l’offre à l’Etat pour l’installer au musée d’Orsay
- Depuis 2002, le mécénat d’entreprise pour financer les “trésors nationaux” s’accompagne d’avantages fiscaux
Le musée d’Orsay est, après le Louvre, le musée le plus populaire à Paris et en France. Dans sa collection, des oeuvres de Claude Monet, Pierre-Auguste Renoir, Edouard Manet, Paul Cézanne ou encore Camille Pissarro, qui ont le point commun d’avoir été soutenus par le collectionneur Gustave Caillebotte au XIXe siècle. À sa mort, une grande partie de sa collection fut installée au musée d’Orsay, formant ainsi le noyau de la collection d’oeuvres du mouvement impressionniste.
En parallèle à son quotidien de collectionneur, Gustave Caillebotte peignait également et parmi ses oeuvres devenues iconiques, La Partie de bateau, entre 1877 et 1878. Elle faisait partie des rares oeuvres de l’artiste à rester dans une collection privée. Ce n’est plus le cas aujourd’hui alors que la société du luxe LVMH l’a racheté pour 43 millions d’euros lors d’une vente spéciale pour ensuite en faire un don à l’Etat. Lundi 30 janvier, le tableau a fait ses débuts dans le musée parisien.
Pourquoi LVMH fait-il ce don ?
LVMH est aujourd’hui le chef de file mondial de l’industrie du luxe sur la base de son chiffre d’affaires. Il a fait de Bernard Arnault, son patron, l’homme le plus riche du monde avec une fortune estimée à plus de 162 milliards de dollars au 2 janvier 2023, loin devant Elon Musk (137 milliards de dollars). En offrant l’oeuvre de Gustave Caillebotte à l’Etat français, le groupe d’entreprise va pouvoir bénéficier d’avantages fiscaux.
En 2003, l’Etat publié la version initiale de l’avis d’appel au mécénat d’entreprise pour l’acquisition par l’Etat d’un trésor national dans le cadre de l’article 238 bis 0 A du code général des impôts :
Le ministre de la Culture et de la Communication informe les entreprises imposées à l’impôt sur les sociétés d’après leur bénéfice réel qu’elles peuvent bénéficier de la réduction d’impôt sur les sociétés prévue à l’article 238 bis 0 A du code général des impôts égale à 90 % des versements qu’elles pourraient effectuer en participant à l’acquisition par l’Etat pour un musée de France d’un trésor national.
Trésor national
En effet, depuis 2002, le mécénat d’entreprises pour le financement et le don de “trésors nationaux” s’accompagne d’avantages fiscaux. Une loi qui a permis à l’Etat de protéger les biens culturels présentant un intérêt majeur pour le patrimoine français. Pour toutes les entreprises participant à l’achat d’un bien culturel qualifié, une défiscalisation intervient. La réduction d’impôt est égale à 90 % des versements effectués par l’entreprise, mais auquel le calcul fiscal doit prendre en compte une réduction limitée à 50 % du montant de l’impôt dû par l’entreprise pendant l’exercice au cours duquel le don a été effectué.
Pour un musée français, il serait impossible d’acquérir une oeuvre à un montant aussi élevé. Seuls les musées américains ou du Moyen-Orient sont en mesure de débourser de telles sommes. Le musée d’Orsay possède un budget limité à 3 millions d’euros. Bien sûr, toutes les oeuvres classées trésor national ne coûtent pas aussi cher, mais le programme de défiscalisation en favorisant le mécénat permet à l’Etat de financer des oeuvres et protéger son patrimoine sans devoir débourser un seul euro lors de la vente.
Pour les visiteurs intéressés, il faudra se rendre dès ce mardi 31 janvier au musée au niveau du cinquième étage. La Partie de bateau de Gustave Caillebotte a pris place à la place d’un autre tableau de Renoir Bal du moulin de la Galette, qui a été légèrement déplacé sur un autre pan de la pièce d’exposition. L’oeuvre de Caillebotte, qui est la douzième du musée, sera exposée ici pendant le reste de l’année avant de préparer une tournée spéciale 150e anniversaire, dans laquelle La Partie de Bateau sera prêté dans plusieurs musées français.
Qui veut tuer le palmarès des hôpitaux ?
La question est simple :
pourquoi ce qui était possible depuis plus de vingt ans – publier un palmarès des hôpitaux à partir de leurs données d’activité – ne l’est-il plus ?
Comment se fait-il, alors qu’Emmanuel Macron lui-même prône l’accès plus fluide aux données numériques, clés de sa « start-up nation », que la censure puisse s’abattre ainsi ?
Plus largement, pourquoi l’accès aux données de santé est-il de plus en plus difficile, y compris pour les chercheurs ?
Source : Qui veut tuer le palmarès des hôpitaux ?
Qui veut tuer le palmarès des hôpitaux ?
ENQUÊTE. Chaque année depuis 2001, « Le Point » publie le palmarès des hôpitaux. L’accès aux données qui permettent sa réalisation vient d’être interdit.
Par Marc Payet
Temps de lecture : 15 min
La question est simple : pourquoi ce qui était possible depuis plus de vingt ans – publier un palmarès des hôpitaux à partir de leurs données d’activité – ne l’est-il plus ? Comment se fait-il, alors qu’Emmanuel Macron lui-même prône l’accès plus fluide aux données numériques, clés de sa « start-up nation », que la censure puisse s’abattre ainsi ? Plus largement, pourquoi l’accès aux données de santé est-il de plus en plus difficile, y compris pour les chercheurs ?
Il fallait donc enquêter pour savoir. Depuis mi-novembre, nous avons remonté l’ensemble de la chaîne d’autorisation administrative, en interrogeant de nombreux acteurs, afin de comprendre comment cette décision couperet a pu être prise. Vraie saga où se croisent des médecins bureaucrates du ministère de l’avenue de Ségur, très « règlement-règlement », un président des usagers de santé, Gérard Raymond, aux multiples casquettes, une jeune manager de la « health tech », Stéphanie Combes, tout feu tout flamme mais empêtrée dans ses protocoles, et un obséquieux magistrat de la Cnil (Commission nationale informatique et liberté), Louis Dutheillet de Lamothe.
À LIRE AUSSIDidier Sicard : « Le ministère de la Santé a peur de ce palmarès des hôpitaux »
Une affaire politique. Rappelons que, pour réaliser ce classement depuis 2001, Le Point s’appuie sur le PMSI (Programme de médicalisation des systèmes d’information), gigantesque base de données contenant les dossiers médicaux anonymisés des 28 millions de patients hospitalisés chaque année dans les hôpitaux et les cliniques français. L’accès en est encadré par la Cnil, celle-ci ayant toujours donné un avis favorable à la transmission de ces données au Point. En 2020, elle précisait que la publication du palmarès annuel était un travail d’intérêt public. Mais depuis, la loi a été durcie, et un comité scientifique, le Cesrees (Comité éthique et scientifique pour les recherches, les études et les évaluations dans le domaine de la santé), a été chargé de donner un avis sur les méthodologies utilisées. Précision importante, les membres de ce comité sont nommés par arrêté ministériel.
Le Cesrees a beau se déclarer indépendant, il est entièrement à la main du ministère. Or, le 2 juin, il donnait un avis défavorable à la demande du Point, avis aussitôt entériné par la Cnil, qui n’était en rien obligée de le suivre. Une censure préalable que le ministre de la Santé, François Braun, taiseux depuis le début de cette affaire, a finalement commentée, à la suite de nos multiples demandes, par l’intermédiaire de la DGOS (direction générale de l’offre de soins), sans apporter d’éléments nouveaux. «Dans son avis du 2 juin, le Cesrees a jugé que la méthodologie utilisée pour établir le palmarès peut conduire à diffuser une information erronée sur les performances réelles des établissements de santé, pouvant ainsi induire en erreur les patients, et par conséquent être contraire à l’intérêt public. » Dit autrement, Le Point publie des fake news depuis vingt ans.

En réalité, l’affaire est politique. Le ministère est-il intervenu dans cette décision ? Le secrétaire général de la Cnil, Louis Dutheillet de Lamothe, nous apporte une partie de la réponse lorsqu’il nous reçoit au siège de la Cnil, le 19 décembre dernier, au 3, place de Fontenoy, à deux pas de l’Unesco : «Le ministère n’intervient pas. Mais il est vrai que notre instruction se fait avec l’avis du Cesrees. C’est la manière dont le ministère de la Santé participe à l’instruction. »« Ce type de décision, émanant d’un comité ministériel, remonte forcément au cabinet du ministre, et au ministre lui-même », estime Alain-Michel Ceretti, qui a longtemps fréquenté les arcanes du ministère de la Santé, au sein des associations de patients, dont il fut l’un des fondateurs lorsqu’il commença à lutter contre le drame des infections nosocomiales. « On parle quand même de l’interdiction de l’élaboration du palmarès du Point, une référence depuis vingt ans, c’est énorme, je suis stupéfait.» Et d’ajouter : « Le Point, à travers ce palmarès, a contribué au savoir. Je n’ai pas entendu le moindre responsable de centre hospitalier universitaire dire que ce n’était pas pertinent. Les tableaux sont issus du PMSI, c’est la réalité de l’activité hospitalière. Cette interdiction, de fait, est une faute politique lourde. Quand je me suis engagé dans le monde de la sécurité du soin, j’avais une phrase en tête : la transparence est le préalable à la qualité du soin. Ce qui avait créé l’insécurité, c’était le manque de transparence. Attention à ce retour en arrière, vers l’hôpital silence. » « Ce comité agit sur injonction du ministère de la Santé, c’est une décision politique. La Cnil n’aurait pas dû les suivre », estime le professeur Didier Sicard, qui a dirigé le Comité consultatif national d’éthique de 1999 à 2008, mais a aussi présidé à partir de 2006 le comité d’experts de l’Institut des données de santé. Frédéric Valletoux, député Horizons et apparentés et précédent président de la Fédération hospitalière de France (FHF), a été si étonné par cette censure qu’il a posé une question écrite au ministre de la Santé à l’Assemblée nationale, le 13 décembre 2022. « Ce classement des soins publics et privés existe depuis vingt-trois ans. Il est reconnu par les soignants, par la direction des établissements, et est perçu par la population comme une référence », écrit-il. Pour l’instant, aucune réponse du ministre. Cela n’étonne qu’à moitié un conseiller ministériel influent, en poste dans un autre cabinet : « Chez Braun, ils sont vraiment à la ramasse, pas réactifs, ça commence à faire beaucoup. Leur réponse sur la crise à l’hôpital n’est déjà pas brillante. Ne pas daigner répondre à une question écrite posée par un parlementaire depuis le 13 décembre, c’est dingue. » Interrogé, Frédéric Valletoux se demande si ce « niet » n’est pas lié à l’image d’excellence que renvoient les établissements cités dans le palmarès : «Ce classement donnait une vision positive du système de santé. Cela change de l’aspect misérabiliste qui est trop souvent renvoyé. A-t-on peur d’afficher une image trop favorable parce qu’elle insiste trop sur les bons élèves,l’élite, en décalage avec la souffrance des personnels, qui est par ailleurs réelle ? Si c’est le cas, c’est absurde, on confond tout. » Une hypothèse qui tient pourtant la route. Elle nous est confirmée par un actuel responsable d’un syndicat professionnel, ancien membre d’un cabinet ministériel à la Santé, qui confie sous le sceau de l’anonymat : « Si j’étais encore en poste au ministère, je me dirais que le classement peut orienter les patients vers les services d’excellence et contribuer à emboliser le système. Il peut provoquer un effet d’entonnoir. »
Stupéfaction. De fait, au sein du ministère de la Santé, nombreux sont ceux qui n’ont jamais accepté la publication de ce palmarès. « Il a été contesté à ses débuts car cela n’existait pas auparavant et il bousculait les habitudes, se souvient Gilles Johanet, ancien procureur général près la Cour des comptes et qui a dirigé à deux reprises la Caisse nationale de l’assurance-maladie. Cela irritait parfois, mais tout le monde le regardait. Puis il a fait son chemin, et la plupart des acteurs ont compris que c’était utile. Mais la pente naturelle de l’administration, c’est la mentalité de coffre-fort, qui consiste à garder ses données pour soi. Le ministre s’honorerait de réagir fortement sur ce sujet. À titre personnel, je demande le retour du palmarès du Point. »
Parmi les dizaines d’interlocuteurs que nous avons rencontrés, c’est la stupéfaction qui prédomine. À la Haute Autorité de santé (HAS), qui publie son propre baromètre des établissements de santé, le QualiScope, une source nous affirme que « le palmarès du Point jouait un rôle intéressant, et a contribué à la connaissance du public sur ce qui se passe à l’hôpital. Il est aberrant d’en interdire la réalisation ». Un ancien directeur de service de la HAS, passé dans une autre administration, est lui aussi outré : «On a eu des débats intellectuels avec l’équipe du Point. Mais c’était constructif. Interdire leur démarche est un grand recul pour la santé en France. Je suis interloqué. »
Les censeurs
Silence coupable
Le premier des censeurs se nomme Bernard Nordlinger. Ce professeur, qui a dirigé le service de chirurgie digestive de l’hôpital Ambroise-Paré à Boulogne-Billancourt, est le président du Cesrees. Il n’a pas souhaité répondre à nos questions. Cette assemblée d’experts en tout, dont le ministère a le secret, a été créée le 15 mai 2020, à la suite du durcissement des règles d’accès aux données de santé, entamé par la ministre socialiste Marisol Touraine en 2015 et poursuivi durant la période où Olivier Véran était en poste. La vingtaine de membres du Cesrees étant nommés par arrêté ministériel, aucun risque de tomber sur un lanceur d’alerte ou un rebelle ! Des médecins, des épidémiologistes dont beaucoup travaillent dans la sphère publique de la santé, et deux représentants des usagers, sur lesquels on croit pouvoir compter quand il s’agit d’informer les patients : Serge Hatchwell, délégué à la protection des données, représentant l’association Aides, et Lucie Vialard, chargée de mission pour l’Observatoire sociétal des cancers à la Ligue nationale contre le cancer. Si le représentant d’Aides ne donne pas suite à nos demandes, Lucie Vialard nous renvoie vers Gérard Raymond, le président de France Assos Santé, qui regroupe toutes les associations de patients, 72 au total. Celui-ci occupe un autre poste stratégique, puisqu’il est également vice-président du Health Data Hub, structure créée en 2019 et chargée d’héberger toutes les bases des données de santé et d’instruire les dossiers de demande à travers le Cesrees, dont le Health Data Hub assure le secrétariat. Pour savoir ce qui s’est passé, il faut donc parler avec Gérard Raymond, un homme clé dans cette affaire.
Les multiples casquettes de Gérard Raymond
Avec sa voix rocailleuse, de l’Ariège, « Gérard » est un personnage dans le domaine des associations de santé. Atteint de diabète, il a d’abord milité au sein de la Fédération française des diabétiques, qu’il a présidée de 2015 à 2019. « Gérard », âgé aujourd’hui de 72 ans, a gravi les échelons, siégeant dans d’innombrables commissions au nom des usagers, au sein du ministère de la Santé. Jusqu’à perdre une partie de son indépendance vis-à-vis de la tutelle ? Un membre des usagers, anonymement, le tacle sévèrement : « Gérard est un homme gentil, sympa, pétri de reconnaissance. Le fait de côtoyer des gens de la haute lui a fait croire qu’il en est. Et il n’a plus de regard critique. Tout le monde l’appelle “monsieur le président”… » Une scène dit tout. « Gérard », le 29 août 2022, a reçu sa médaille de chevalier de la Légion d’honneur, chez lui, à Saint-Girons, dans l’Ariège, des mains de Nicolas Revel, actuel directeur général de l’AP-HP (Assistance publique-Hôpitaux de Paris), ex-patron de l’Assurance maladie et ancien directeur de cabinet du Premier ministre Jean Castex, qui avait fait le déplacement. Le directeur général de l’Agence nationale de sécurité du médicament et des représentants des syndicats de professionnels de santé étaient eux aussi présents pour saluer « Gérard. » L’intéressé jubilait ce jour-là : « C’est un grand moment de retrouvailles avec des personnes qui ont essayé de faire progresser le système de santé », rapporte La Dépêche. Mais, en tant que vice-président du Health Data Hub, « Gérard » n’est plus seulement un associatif. Le paisible bénévole se retrouve à copiloter une structure énorme de 80 millions d’euros de budget annuel. Est-il un alibi du pouvoir, pas fâché de mettre en avant « leur » usager de santé ? En tout cas, « Gérard » – qui siège aussi au Conseil économique, social et environnemental – n’est pas un allié du palmarès. Quand nous le joignons au téléphone ce 23 novembre 2022, il commence par se faire patelin, bonhomme, puis change de ton et s’emporte sur « l’affaire » et l’accusation de « censure ». « La liberté d’accès aux données de santé, ce n’est pas la chienlit ! Il faut des règles. La Cnil et le Cesrees ont dit qu’il pouvait y avoir des biais dans l’élaboration de leur palmarès. Ils se sont fait recaler, où est le problème ? » On lui objecte qu’un des meilleurs experts du système de santé, Jean de Kervasdoué, père du PMSI, qu’il a mis en place en tant que directeur des hôpitaux, a défendu en détail dans un article la méthodologie du Point, qualifiant de « très discutables » les arguments du Cesrees. Un ange passe. Seul commentaire : « Oui. Eh bien, ça, c’est juste l’avis de Jean de Kervasdoué. »
Ne s’agissait-il pas ni plus ni moins de régler son compte à ce palmarès ? On peut le croire à la lecture du communiqué de France Assos Santé du 23 novembre, qui affirme clairement y être opposé. « Au-delà d’un palmarès, les usagers de la santé aujourd’hui, ainsi que tous les acteurs, veulent une évaluation claire et pertinente de notre système de santé, fondée sur des données de qualité et sécurisées. » Et le communiqué de citer en référence la Haute Autorité de santé et sa « cartographie QualiScope », basée sur des « données réelles d’activité ». Comme si le palmarès du Point lui faisait de l’ombre. Au sein de la HAS, une source est interloquée : « D’habitude, les représentants des usagers ont toujours dénigré notre QualiScope ; là, c’est une première ! Mais on ne comprend pas ce qu’ils reprochent au palmarès des hôpitaux du Point. Il avait peut-être des petits défauts, mais permettait de nous challenger. C’était un vrai plus. » Le communiqué a créé des remous au sein même des usagers de santé. Claude Rambaud, présidente de l’association Le Lien et vice-présidente de France Assos Santé, ne cache pas son malaise : « C’est vrai que ce texte est un peu confus. Mais c’est à replacer dans un contexte plus large. L’accès aux données de santé est vraiment compliqué en ce moment. »
Louis Dutheillet de Lamothe, secrétaire général de la Cnil, tente de se justifier
L’autre instance qui a choisi de couler le palmarès, c’est la Commission nationale de l’informatique et des libertés. 225 fonctionnaires y traitent de dossiers qui concernent l’accès à toutes sortes de données. Son secrétaire général, Louis Dutheillet de Lamothe, regrette que ce dossier lui « prenne beaucoup de son temps » avec des « dizaines de réunions sur le sujet depuis des mois ». Et même des articles de presse à gérer… En préambule, il tient à rappeler que « beaucoup de cette affaire se joue autour de la récente modification du cadre légal. Le législateur a décidé alors que l’accès aux données de santé le serait en fonction des autorisations données par le Cesrees. Il est plus restrictif. » Il s’irrite toutefois quand on lui fait remarquer que cette autorisation était pourtant donnée au Point… par la Cnil depuis vingt ans. « Il y a eu deux avis du Cesrees. Très motivés. Ils ont convaincu le collège. » Un peu ébranlé par la démonstration et les critiques de Jean de Kervasdoué sur les motivations du comité, Louis Dutheillet de Lamothe assure que la Cnil n’a pas obéi aux ordres du ministère. « Nous ne sommes pas une chambre d’enregistrement de ce comité. » Sans doute, mais la Cnil n’était pas obligée de suivre l’avis du Cesrees.
Au sein du collège des commissaires de la Cnil, un autre personnage a joué un rôle important dans ce dossier. Il s’agit de la rapportrice, Valérie Peugeot, 59 ans, qui suit la problématique des données de santé. Son parcours est original. Diplômée de Sciences Po, elle a été l’assistante parlementaire du député européen PS Michel Hervé entre 1989 et 1994, mais elle est aussi une des cofondatrices d’Attac (organisation altermondialiste de gauche radicale, qui milite pour la taxation des transactions financières et pour l’action citoyenne). Bref, ce n’est pas une fanatique de l’évaluation hospitalière et de la mise en valeur des meilleurs établissements. Consacrée « militante citoyenne » par Le Monde le 12 novembre 2001, elle rejoint en 2005 Orange Labs au sein du département de sciences sociales et humaines du principal opérateur numérique français, pour lequel elle continue de travailler en plus de son poste à la Cnil de commissaire chargée du secteur santé. Nous avons demandé à la Cnil de pouvoir parler à Valérie Peugeot, mais cette autorisation n’a pas été accordée. « Mme Peugeot a présenté le dossier et a ensuite donné son avis aux commissaires, mais je ne peux pas vous dire ce qu’elle a dit, c’est confidentiel », indique Louis Dutheillet de Lamothe. Mais son avis est important, non ? lui suggère-t-on. Il opine : « L’avis de la rapportrice est important, évidemment. Mais ce n’est pas la décision de Mme Peugeot, c’est la décision du collège », insiste-t-il, comme s’il fallait dissiper un malentendu.
« Jean-François, “do you have” des news de votre Cnil ? »
Plusieurs professionnels rencontrés au cours de notre enquête témoignent eux aussi des « blocages » de la Cnil. Parmi eux, le professeur de médecine Jean-François Bergmann, de l’hôpital Lariboisière à Paris, raconte cette anecdote : « Un de mes collègues, cancérologue américain, aime me charrier quand je le croise dans des congrès, en me disant dans un éclat de rire : “Jean-François, do you have des news de votre Cnil ?” » Une référence au retard pris par l’organisme de contrôle français pour donner une réponse au chercheur français. « J’étais pourtant le coordonnateur d’une vaste étude internationale sur la thrombose [Endorse, dont les résultats sont parus dans The Lancet en 2008]. Mais figurez-vous que tous les autres pays, dont les États-Unis, ont eu leur autorisation, avant la France, bonne dernière ! » Le Pr Bergmann n’en revient pas. « La Cnil fait de la méthodologie en médecine à la place de ceux qui devraient en faire, c’est-à-dire les médecins-chercheurs. Un bureau m’a rétorqué que je n’y connaissais rien en thrombose ! » Il a aussi un autre exemple en tête : « Quand j’étais dans les instances de l’AP-HP, on avait voulu créer un entrepôt de santé. C’était atrocement compliqué en raison de tous ces bâtons administrativo-juridiques que l’on nous mettait dans les roues. Si j’étais ministre de la Santé, je supprimerais le rôle de la Cnil dans le domaine de la recherche en santé. C’est l’exemple même de la frilosité française. En réalité, c’est un moyen bien pratique pour ne pas partager ses données. » Il se déclare lui aussi « solidaire du Point » : « Le classement est critiquable, comme tout classement, mais c’est une évaluation saine. Laissons-les faire leur boulot, comme ils le font depuis vingt ans. »
Le Health Data Hub est hébergé par… Microsoft
Cette censure s’inscrit donc aussi dans une perspective plus large, celle du difficile accès aux données de santé pour l’ensemble des acteurs. « La chaîne administrative d’autorisation fonctionne mal, c’est de pire en pire », constate Claude Rambaud. Il faut dire que le Health Data Hub, la plateforme qui accueille la plupart des grandes bases informatiques, dirigée par Stéphanie Combes, polytechnicienne énergique, a connu bien des déboires dont le fait d’avoir choisi Microsoft comme hébergeur. Au risque que nos données s’envolent outre-Atlantique, comme l’a signalé le Conseil d’État. Le Health Data Hub a bien tenté de trouver un opérateur européen, mais pour l’instant cela n’a pas abouti. Après avoir déposé un dossier de demande de « copie » des bases à la Cnil, le Health Data Hub l’a donc finalement retiré de peur de se faire retoquer. Tout cela n’empêche pas ses responsables d’avoir de l’ambition. Le 21 décembre, comme si de rien n’était, Stéphanie Combes et Gérard Raymond déclaraient dans un communiqué que « les prochains projets de la nouvelle feuille de route répondront à une demande renouvelée et croissante d’un accès plus rapide et facilité des données de santé et de fairede l’ouverture des données une norme ». La norme, pour l’instant est plutôt le verrouillage à double tour. Et il y avait peut-être plus urgent à régler que de s’en prendre au palmarès du Point !§
Réactions

« Le ministre s’honorerait de réagir fortement sur ce sujet. À titre personnel, je demande le retour du palmarès du “Point”. »
Gilles Johanet

« Cette interdiction est une faute politique lourde. »
Alain-Michel Ceretti

« Ce classement donne une vision positive du système de santé. Cela change de l’aspect misérabiliste trop souvent renvoyé. »
Frédéric Valletoux

« L’accès aux données de santé est vraiment compliqué en ce moment. »
Claude Rambaud

« Si j’étais ministre, je supprimerais le rôle de la Cnil dans le domaine de la recherche en santé. »
Jean-François Bergmann
BLONDET ELIOT/ABACA – DR (X7) – LUDOVIC MARIN/AFP (X2) – ERIC TSCHAEN/REA – ROMAIN BEURRIER/REA – CHAMPAGNAT CÉCILE/LA MONTAGNE/MAXPPP
Dans les colonnes infernales de « Libé », on incendie un film sur la guerre de Vendée – Causeur
M. Lancereau se contente de considérer que c’est « une thèse historiographique particulièrement réactionnaire ».
Cet historien se plaint également d’avoir perçu dans le film « l’idée que le pouvoir central républicain a eu l’intention d’éradiquer le peuple vendéen », alors que, ajoute-t-il, « il n’y avait pas de volonté de l’État mais plutôt une impuissance à contrôler les exactions commises par les soldats […]
Le film fait constamment comme si la Convention nationale avait voulu éradiquer les Vendéens ».
Bon, voilà donc un « historien spécialiste de la Révolution française » qui ne sait rien de la loi votée par la Convention nationale le 1er octobre 1793, loi dite loi d’extermination et visant spécifiquement les Vendéens, et du rapport du Comité de salut public rédigé par Barère afin d’élaborer et d’entériner ladite loi, et dont voici la conclusion abrégée mais explicite :
« Des contingents prodigieux […] semblaient annoncer que la justice nationale allait enfin effacer le nom de la Vendée du tableau des départements de la république. […] Détruisez la Vendée (suit la liste des armées, des « conspirateurs », des émigrés, des « brigands » qui doivent tomber avec la Vendée) […] La Vendée, et encore la Vendée, voilà le charbon politique qui dévore le cœur de la république française ; c’est là qu’il faut frapper. […] Détruisez la Vendée. Les brigands doivent être vaincus et exterminés sur leurs propres foyers. »
Barère et la Convention nationale seront entendus.
La destruction de la Vendée est inscrite dans le marbre de la révolution. Devant la résistance des Vendéens, le général Turreau conduit les fameuses et terrifiantes colonnes infernales qui reçoivent l’ordre d’exterminer les insurgés, y compris les femmes et les enfants.
Le général Westermann, surnommé le boucher de Vendée, écrit à la Convention après sa victoire à Savenay en novembre 1793:
« Il n’y a plus de Vendée. Elle est morte sous notre sabre aves ses femmes et ses enfants. […] Je n’ai pas un prisonnier à me reprocher. J’ai tout exterminé. Nous ne faisons pas de prisonniers, car il faudrait leur donner le pain de la liberté, et la pitié n’est pas révolutionnaire. »
Les Vendéens, malgré tout, résistent. Le 28 février 1794, aux Lucs-sur-Boulogne, les troupes de Turreau, s’étonnant de ne trouver aucun homme dans ce village (ils sont partis grossir les armées vendéennes conduites par Charrette), imiteront l’impitoyable Westermann :
le curé est éventré, les vieillards tués à coups de baïonnettes, l’église dans laquelle se sont réfugiés les femmes et les enfants est incendiée. Il y aura 564 morts et aucun survivant.
Mais Élisabeth Franck-Dumas préfère nous
« épargner les détails : batailles, empilement de cadavres – censés accréditer la thèse, historiquement fausse, d’un génocide vendéen ».
Là encore il y aurait bien des choses à dire mais la place manque. Nous ne pouvons que conseiller à la journaliste de lire les nombreux livres consacrés à cette controverse historiographique.
Élisabeth Franck-Dumas et Guillaume Lancereau craignent le pire. Les « idées réactionnaires et antirépublicaines », affirment-ils, sont infusées dans l’esprit des Français par ce genre de film « insidieux » et par… CNews (sic). De plus, le Puy du Fou prend « une part disproportionnée dans ce qu’il faut définir comme une bataille culturelle, où il s’agit de faire entrer dans la tête d’un maximum de gens une vision réactionnaire et manichéenne ».
Enfin, en guise de conclusion, Guillaume Lancereau lâche :
« Il y a cette intention manifeste d’ancrer un peu plus dans les esprits que la France était glorieuse quand elle était catholique et monarchique. »
Source : Dans les colonnes infernales de « Libé », on incendie un film sur la guerre de Vendée – Causeur
Dans les colonnes infernales de “Libé”, on incendie un film sur la guerre de Vendée
« Vaincre ou mourir », un film sur la guerre de Vendée qui prend le parti des adversaires de la révolution et est produit par le Puy du Fou, est sorti aujourd’hui

Sur France Inter comme dans les colonnes de Libération, l’heure est à la charge contre un film qui, contrairement aux dernières lamentables productions cinématographiques françaises, ne fait pas dans le wokisme ni dans l’éloge des passeurs de migrants…
Vaincre ou mourir est un film-récit sur la guerre de Vendée inspiré de la vie du général royaliste François Athanase Charette de la Contrie. Et ça, ce n’est pas du tout du goût des journalistes de Libération et de Claude Askolovitch.
Le Puy du Fourbe…
Ce dernier ouvre les hostilités dès potron-minet sur France Inter. Comme tous les jours, il cite son quotidien favori avec une gourmandise non dissimulée. Libération, salive-t-il, « déchire » le film produit par le Puy du Fou parce qu’il fait « partie d’une offensive des ultra-réactionnaires pour instiller une vision de l’histoire anti-républicaine et un imaginaire catholique et royaliste ». Il est à noter que ni Claude Askolovitch ni les critiques de Libé n’ont jamais décelé la moindre offensive ultra-progressiste, wokiste ou archi-immigrationniste dans les récents films français très orientés et très subventionnés qui, Dieu merci, ont tous fait des bides absolus malgré le soutien de la radio publique et des journaux les mieux disposés quand il s’agit de répandre la propagande gauchiste.
Les propos d’Askolovitch ont eu l’intérêt de me forcer à lire l’article stupidement belliqueux de Libé. En plus de la Une et d’un éditorial dans lequel il est expliqué que les ombres d’Éric Zemmour et de Vincent Bolloré planent au-dessus de ce film réactionnaire qui conduira immanquablement à des événements tragiques du même ordre que « l’assaut du capitole par les supporteurs de Donald Trump » (sic), cinq pleines pages sont consacrées à démolir Vaincre ou mourir et le parc du Puy du Fou. Elisabeth Franck-Dumas, « cheffe » du service culture du journal, méprise les paysans vendéens du film désirant « défendre ce qu’ils ont de plus cher, leurs fils, leur roi, leur foi », et ajoute, en bonne féministe : « Pour les filles, on repassera », ignorant visiblement que, lors de la levée en masse de 300 000 hommes décrétée par la Convention en 1793 – levée en masse qui déclencha justement la guerre de Vendée – seuls les jeunes hommes (souvent des fils de paysans) risquaient l’enrôlement de force dans l’armée révolutionnaire – d’où le cri du cœur de leurs pères.
Confusions, moqueries et méconnaissances
Le film rappelle que les Vendéens réclamaient le retour de leurs prêtres. « Ils sont où, d’ailleurs, les bons prêtres ?, se moque Mme Franck-Dumas, emprisonnés pour pédophilie ? » (Ah ! la bêtise hargneuse des ânes bâtés). Et de poursuivre : « L’absence d’explication sur tout ce qui a bien pu se passer en France depuis 1789 laisse les spectateurs dans l’ignorance et fait craindre que les bons prêtres aient été pris en otages par cette méchante République dont il est souvent question. » Mme Franck-Dumas ne sait apparemment pas ce qu’a subi le clergé à partir de 1789, la nationalisation et la confiscation des biens de l’Église, l’interdiction des manifestations religieuses et du port de la soutane en dehors des actes religieux, la déchristianisation sur tout le territoire sous la menace obligeant les prêtres réfractaires à fuir s’ils ne veulent pas être déportés ou massacrés. En Vendée, la « méchante république » ne s’est pas contentée de « prendre en otages » les prêtres réfractaires : plus de 150 d’entre eux, détenus à Nantes, feront ainsi partie des centaines de « contre-révolutionnaires » noyés sur l’ordre de Carrier.
A relire, Hervé Louboutin: Qui veut la peau du Puy du Fou?
La journaliste a interviewé Guillaume Lancereau, un « historien spécialiste de la Révolution française ». Ce dernier regrette que, dans ce film, on fasse « un saut historique monstrueux entre 1789 et 1793 […] comme si la Terreur était déjà contenue dans 1789 ». Primo, « Vaincre ou mourir » est un film sur la guerre de Vendée commencée en 1793, pas sur l’entièreté de la Révolution française (cette réflexion est aussi bête que si l’on avait reproché à l’excellent film d’Andrzej Wajda, « Danton », de ne pas avoir traité les cinq ans qui précèdent la chute du député montagnard en 1794) ; secundo, la thèse selon laquelle la Terreur était déjà contenue dans 1789 a toujours été très discutée : au contraire de Soboul ou Mathiez, Furet relève dans 1789 les prémices de la Terreur. Débat universitaire nécessaire. Mais M. Lancereau se contente de considérer que c’est « une thèse historiographique particulièrement réactionnaire ». Cet historien se plaint également d’avoir perçu dans le film « l’idée que le pouvoir central républicain a eu l’intention d’éradiquer le peuple vendéen », alors que, ajoute-t-il, « il n’y avait pas de volonté de l’État mais plutôt une impuissance à contrôler les exactions commises par les soldats […] Le film fait constamment comme si la Convention nationale avait voulu éradiquer les Vendéens ». Bon, voilà donc un « historien spécialiste de la Révolution française » qui ne sait rien de la loi votée par la Convention nationale le 1er octobre 1793, loi dite loi d’extermination et visant spécifiquement les Vendéens, et du rapport du Comité de salut public rédigé par Barère afin d’élaborer et d’entériner ladite loi, et dont voici la conclusion abrégée mais explicite : « Des contingents prodigieux […] semblaient annoncer que la justice nationale allait enfin effacer le nom de la Vendée du tableau des départements de la république. […] Détruisez la Vendée (suit la liste des armées, des « conspirateurs », des émigrés, des « brigands » qui doivent tomber avec la Vendée) […] La Vendée, et encore la Vendée, voilà le charbon politique qui dévore le cœur de la république française ; c’est là qu’il faut frapper. […] Détruisez la Vendée. Les brigands doivent être vaincus et exterminés sur leurs propres foyers. » Barère et la Convention nationale seront entendus. La destruction de la Vendée est inscrite dans le marbre de la révolution. Devant la résistance des Vendéens, le général Turreau conduit les fameuses et terrifiantes colonnes infernales qui reçoivent l’ordre d’exterminer les insurgés, y compris les femmes et les enfants. Le général Westermann, surnommé le boucher de Vendée, écrit à la Convention après sa victoire à Savenay en novembre 1793: « Il n’y a plus de Vendée. Elle est morte sous notre sabre aves ses femmes et ses enfants. […] Je n’ai pas un prisonnier à me reprocher. J’ai tout exterminé. Nous ne faisons pas de prisonniers, car il faudrait leur donner le pain de la liberté, et la pitié n’est pas révolutionnaire. » Les Vendéens, malgré tout, résistent. Le 28 février 1794, aux Lucs-sur-Boulogne, les troupes de Turreau, s’étonnant de ne trouver aucun homme dans ce village (ils sont partis grossir les armées vendéennes conduites par Charrette), imiteront l’impitoyable Westermann : le curé est éventré, les vieillards tués à coups de baïonnettes, l’église dans laquelle se sont réfugiés les femmes et les enfants est incendiée. Il y aura 564 morts et aucun survivant. Mais Élisabeth Franck-Dumas préfère nous « épargner les détails : batailles, empilement de cadavres – censés accréditer la thèse, historiquement fausse, d’un génocide vendéen ». Là encore il y aurait bien des choses à dire mais la place manque. Nous ne pouvons que conseiller à la journaliste de lire les nombreux livres consacrés à cette controverse historiographique.
Élisabeth Franck-Dumas et Guillaume Lancereau craignent le pire. Les « idées réactionnaires et antirépublicaines », affirment-ils, sont infusées dans l’esprit des Français par ce genre de film « insidieux » et par… CNews (sic). De plus, le Puy du Fou prend « une part disproportionnée dans ce qu’il faut définir comme une bataille culturelle, où il s’agit de faire entrer dans la tête d’un maximum de gens une vision réactionnaire et manichéenne ». Enfin, en guise de conclusion, Guillaume Lancereau lâche : « Il y a cette intention manifeste d’ancrer un peu plus dans les esprits que la France était glorieuse quand elle était catholique et monarchique. »
Cette skill Alexa fait baisser la facture d’électricité
Le téléchargement est entièrement gratuit, et va permettre de visualiser en un clin d’œil la consommation électrique du foyer en kWh et en euros, mais aussi de découvrir ses émissions en CO2.
Les informations peuvent être indiquées par une enceinte Echo, mais aussi affichées directement sur l’écran d’un dispositif Echo Show.
Un widget dédié est d’ailleurs de la partie, pour visualiser sa consommation en permanence, sur les modèles Amazon Echo Show 8, 10 et 15.
Source : Cette skill Alexa fait baisser la facture d’électricité
Mélange à chaud: perspectives mécanistes sur la durabilité du béton romain antique | Science Advances
Résumé
Les anciens bétons romains ont survécu à des millénaires, mais les connaissances mécanistes sur leur durabilité restent une énigme.
Ici, nous utilisons une approche de cartographie élémentaire et chimique corrélative multi-échelle pour étudier les clastes de chaux reliques, une composante minérale omniprésente et visible associée aux anciens mortiers romains.
Ensemble, ces analyses fournissent de nouvelles perspectives sur les méthodologies de préparation du mortier et prouvent que les Romains utilisaient un mélange à chaud, en utilisant de la chaux vive en conjonction avec, ou à la place, de la chaux éteinte, créer un environnement où les clastes de chaux à grande échelle de surface sont conservés dans la matrice de mortier. Inspiré par ces résultats,nous proposons que ces inclusions macroscopiques puissent servir de sources critiques de calcium réactif pour les pores à long terme et la réactivité de remplissage ou post-pozzolanique dans les constructions cimentaires.
Le développement et les tests ultérieurs de la pâte de chaux moderne – contenant des mélanges cimentaires démontrent leur potentiel d’auto-guérison, ouvrant ainsi la voie au développement de formulations en béton plus durables, résilientes et durables.
Les bienfaits de la vitamine D pourraient dépendre de notre poids
Les bienfaits de la vitamine D sur le fonctionnement de l’organisme et sur l’incidence de diverses maladies pourraient dépendre du poids corporel.
Des chercheurs tentent d’expliquer cette association à partir des données d’un vaste essai clinique, car la vitamine D est utilisée comme complément à beaucoup de traitements médicamenteux.
Source : Les bienfaits de la vitamine D pourraient dépendre de notre poids
Les bienfaits de la vitamine D pourraient dépendre de notre poids
[EN VIDÉO] Hiver : les compléments en vitamines sont-ils nécessaires ? Pour prévenir les infections ou lutter contre la fatigue, de nombreuses personnes prennent desnull
Les bienfaits de la vitamine D sur le fonctionnement de l’organisme et sur l’incidence de diverses maladies pourraient dépendre du poids corporel. Des chercheurs tentent d’expliquer cette association à partir des données d’un vaste essai clinique, car la vitamine D est utilisée comme complément à beaucoup de traitements médicamenteux.
Le poids corporel modifie-t-il le métabolisme et la réponse à la supplémentation en vitamine D ? C’est la question posée par des chercheurs du Brigham and Women’s Hospital (États-Unis) après une première analyse des données de l’essai clinique Vitamin D and Omega-3 Trial (Vital), un essai randomisé, en double aveugle et contrôlé par placebo.
« L’analyse des données originales de l’essai Vital a révélé que la supplémentation en vitamine D était corrélée à des effets positifs sur plusieurs résultats de santé, mais uniquement chez les personnes ayant un IMC inférieur à 25 », a déclaré Deirdre K. Tobias, épidémiologiste associé à la division de médecine préventive de Brigham et coauteur de la nouvelle étude. « Il semble que quelque chose de différent se passe avec le métabolisme de la vitamine D lorsque le poids corporel est élevé, et cette étude peut contribuer à expliquer les résultats moindres de la supplémentation chez les personnes ayant un IMC élevé ».
En effet, de précédentes études ont montré que, si la supplémentation en vitamine D était associée à une moindre incidence de cancer, de diabète de type 2 et de maladie auto-immune chez des participants ayant un poids corporel normal (IMC inférieur à 25), il n’en était rien chez les personnes en surpoids ou obèses. Par ailleurs, le lien entre surpoids et carence en vitamine D était déjà établi, sans pouvoir en expliquer la cause.

LA VITAMINE D EST UN MICRONUTRIMENT ESSENTIEL DANS DE NOMBREUX PROCESSUS BIOLOGIQUES. ELLE POURRAIT JOUER UN RÔLE DANS L’INCIDENCE ET LA PROGRESSION DU CANCER ET DES MALADIES CARDIOVASCULAIRES. ELLE EST SYNTHÉTISÉE PAR LA PEAU LORS DE L’EXPOSITION AU SOLEIL, OU OBTENUE À PARTIR DE L’ALIMENTATION OU BIEN D’UNE SUPPLÉMENTATION. © EXQUISINE, ADOBE STOCK
Vers un dosage en vitamine D personnalisé en fonction du poids ?
La nouvelle analyse des données de l’essai Vital a inclus 16 515 participants (66,7 ans en moyenne ; 50,7 % de femmes) qui ont fourni des échantillons de sang avant le début de supplémentation en vitamine D, dont 2 742 participants avec un échantillon sanguin de suivi après deux ans. Les chercheurs ont mesuré les taux de vitamine D totale et libre, ainsi que de nombreux autres biomarqueurs de la vitamine D comme ses métabolites, le calcium et l’hormone parathyroïdienne, qui améliorent l’assimilation de la vitamine.
Résultat : la supplémentation en vitamine D augmente bien la plupart des biomarqueurs associés au métabolisme de cette vitamine liposoluble chez tout le monde. En revanche, ces augmentations étaient significativement plus faibles chez les personnes ayant un IMC élevé.
« Cette étude éclaire la raison pour laquelle nous observons des réductions de 30 à 40 % des décès par cancer, des maladies auto-immunes et d’autres résultats avec la supplémentation en vitamine D chez les personnes ayant un IMC inférieur, mais un bénéfice minime chez les personnes ayant un IMC supérieur. Cela suggère qu’il pourrait être possible d’obtenir des avantages dans toute la population avec un dosage plus personnalisé de la vitamine D », propose JoAnn Manson, chef de la division de médecine préventive au Brigham et chercheur principal de Vital.
Hypothèses explicatives
Les auteurs proposent une explication à la différence observée. Selon eux, la migration de la vitamine D et de ses métabolites de la circulation générale vers le tissu adipeux (la graisse corporelle) peut contribuer à des concentrations dans le sang plus faibles. Des facteurs physiopathologiques liés à l’obésité — tels qu’une altération de la sensibilité des récepteurs de la vitamine D — ne sont pas non plus à exclure des hypothèses, et des recherches supplémentaires sont justifiées.
Retraites : ce qu’il faut retenir du dernier rapport du COR – L’Express
Un nouveau plongeon dès 2023
Le solde global des régimes de retraite français devrait toutefois « se dégrader sensiblement » dès 2023, et son retour à l’équilibre reste toujours projeté « vers le milieu des années 2030 » dans le meilleur des scénarios, explique le Conseil d’orientation des retraites.
Un constat, partagé par le ministre du Travail.
Dans un entretien au Point, Olivier Dussopt a affirmé que le système restait « structurellement en déficit », et annoncé qu’il aura « un échange avec les partenaires sociaux le 19 septembre sur la base (de ce) rapport ».
L’enjeu ?
Tenir à 0,6% la hausse annuelle des dépenses publiques, comme le gouvernement l’a promis à Bruxelles en juillet dernier dans son « programme de stabilité ».
Des hypothèses plus défavorables
Ce rapport annuel est en outre « marqué par de nouvelles hypothèses (…) plus défavorables sur le long terme ».
Le COR a notamment revu à la baisse son principal indicateur économique : les « gains de productivité » du travail sont désormais compris dans une fourchette de 0,7% à 1,6% par an, contre 1% à 1,8% précédemment.
Autre source de pessimisme : alors que le gouvernement table sur « une baisse à 5% en 2027 », le COR envisage toujours une « cible » de 7% à long terme. Même en le ramenant à 4,5%, « le déficit serait moindre » mais ne disparaîtrait pas.
Ce qui explique en partie le maintien d’un « besoin de financement » à « l’horizon 2070 » dans quatre des huit scénarios envisagés.
Source : Retraites : ce qu’il faut retenir du dernier rapport du COR – L’Express
Retraites : ce qu’il faut retenir du dernier rapport du COR
Dans un rapport présenté aux médias ce lundi, le Conseil d’orientation des retraites (COR) dessine une aggravation du déficit dans les années à venir, après un petit passage au vert.
Thermomix, Safran, Ebly… Châteaudun attire les investisseurs étrangers – L’Express
Changement de programme pour le géant allemand de l‘électroménager Vorwerk.
Porté par sa forte croissance, il avait prévu d’ouvrir une nouvelle usine en Allemagne. Finalement, c’est en France qu’il s’implantera!
Parce que « les conditions sont ici favorables à l‘industrie », affirme le groupe.
Une chose est sûre : notre pays n’a jamais été aussi attractif, avec 1 600 projets d’investissements étrangers recensés en 2021, qui ont permis de créer ou préserver 45 000 emplois.
Source : Thermomix, Safran, Ebly… Châteaudun attire les investisseurs étrangers – L’Express
À Vendôme, la clinique du Saint-Coeur reste sereine malgré les démêlés du PDG d’Avec
Lundi soir 9 janvier 2023, Carine Raffin-Peyloz, directrice de la clinique de Vendôme, se montrait attentiste après l’interpellation et le placement en garde à vue le matin même du PDG du groupe Avec auquel appartient le Saint-Coeur.
Après perquisitions des locaux parisiens, Bernard Bensaïd a en effet été interpellé à Paris et transféré dans la journée à Grenoble (Isère) afin d’être entendu pour des soupçons de détournement de fonds publics et prise illégale d’intérêts, notamment dans le cadre de la reprise du Groupe hospitalier mutualiste (GHM) de Grenoble.
Source : À Vendôme, la clinique du Saint-Coeur reste sereine malgré les démêlés du PDG d’Avec
À Vendôme, la clinique du Saint-Coeur reste sereine malgré les démêlés du PDG d’Avec
Publié le | Mis à jour le

© Photo NR; Edith Van Cutsem
Lundi soir 9 janvier 2023, Carine Raffin-Peyloz, directrice de la clinique de Vendôme, se montrait attentiste après l’interpellation et le placement en garde à vue le matin même du PDG du groupe Avec auquel appartient le Saint-Coeur.
Après perquisitions des locaux parisiens, Bernard Bensaïd a en effet été interpellé à Paris et transféré dans la journée à Grenoble (Isère) afin d’être entendu pour des soupçons de détournement de fonds publics et prise illégale d’intérêts, notamment dans le cadre de la reprise du Groupe hospitalier mutualiste (GHM) de Grenoble.
La clinique du Saint-Coeur n’est pas concernée
« La clinique du Saint-Coeur n’est pas concernée et nous sommes bien sûr attentifs à la suite de la procédure qui s’ouvre », assure la directrice.
C’est en juin 2020 que l’établissement, d’abord propriété du groupe Vitalia, puis d’ Elsan, est tombé dans le groupe Avec avec la reprise des activités de Doctegestio et Doctocare.
Une arrivée qui avait alors conduit à une levée de boucliers avec manifestation unie des personnels de la clinique comme des élus.
Sollicité, le député vendômois Christophe Marion (Renaissance) précisait ce lundi « qu’il nourrissait une forme d’inquiétude depuis que le groupe a fait l’objet d’une question au gouvernement en octobre dernier du député des Vosges Christophe Naegelen (UDI). Il s’inquiétait de la gestion des thermes de Plombières par la Compagnie des thermes, propriété du groupe Avec ».
Rappelant la présomption d’innocence, le député se dit « préoccupé » pour la clinique déjà fragilisée par un nouvel épisode de fermeture du 16 au 23 janvier prochains, inquiet aussi pour le projet de site unique hôpital-clinique.
Et de conclure que tout cela « l’encourage à demander la nomination rapide d’un directeur général de l’Agence régionale de santé, poste vacant depuis début décembre. »
E.V.C et A.C.
Pourquoi les enfants apprennent-ils plus rapidement que les adultes? | Slate.fr
les niveaux d’acide gamma-aminobutyrique chez les adultes restaient constants tout au long de l’expérience, contrairement à ceux des enfants. «Nous avons constaté une augmentation rapide du GABA chez les plus jeunes lors de l’apprentissage. Mais pas seulement: le niveau élevé s’est maintenu après l’activité», explique Takeo Watanabe, psychologue et coauteur de l’étude.
Vous n’êtes pas visuel ou auditif, ce sont des fausses croyances sur le cerveau Un apprentissage plus rapide et plus efficace Forte de ces révélations sur les niveaux de GABA chez les enfants, l’équipe a ensuite mené des expériences comportementales. L’objectif était de voir si cette substance chimique était responsable de la stabilisation. «Nous avons constaté que ce phénomène se produisait quelques minutes après la fin de la formation chez les enfants. À l’inverse, les adultes devaient attendre au moins une heure avant de pouvoir intégrer de nouvelles connaissances», expose Takeo Watanabe.
L’étude a ainsi démontré que là où les adultes avaient besoin d’une heure pour se stabiliser, c’est-à-dire apprendre à nouveau sans que ce qu’ils avaient ingéré précédemment ne disparaisse, les bambins n’avaient besoin que de dix minutes. Et tout cela, grâce à leur forte concentration de GABA. Bien que l’observation ait été réalisée sur l’apprentissage visuel, le psychologue estime que ces résultats pourraient être étendus à d’autres formes de mémorisation. Seules de futures études seront en mesure de le prouver. En savoir plus: Parents & enfants Sciences Enfant apprentissage cerveau neurones connaissances
Source : Pourquoi les enfants apprennent-ils plus rapidement que les adultes? | Slate.fr
« Parcoursup n’oriente pas : Parcoursup sélectionne, Parcoursup trie »
En quoi Parcoursup est différent d’APB ? Parcoursup accentue les défauts d’APB en les érigeant en système. Mis en place en 2009, APB proposait de réguler l’accession au Supérieur en suivant les vœux hiérarchisés des élèves mais, très vite, cette plateforme s’est heurtée, dès 2016, à de violentes et justes critiques : opacité des algorithmes et tirage au sort, à la marge, de candidats dans les filières en tension comme STAPS et métiers de la Santé. C’est à ce moment précis qu’il aurait fallu créer des places car c’est tout le système qui entrait alors en tension par manque de places. Cependant, au lieu de résoudre ce problème structurel, Macron a fait le choix avec Parcoursup d’étendre à l’ensemble du Supérieur cette tension en mettant en œuvre une sélection qui ne dit pas son nom et en posant l’attribution de places au mérite, attribution sélective rejouant le mythe droitier et faisandé de la méritocratie, qui est toujours un darwinisme social n’osant dire son nom. Car Parcoursup n’oriente pas : Parcoursup sélectionne, Parcoursup trie, Parcoursup institutionnalise et généralise ce qu’APB pratiquait déjà mais uniquement à la marge : l’apprentissage de la maltraitance comme rituel d’entrée dans l’âge adulte. La leçon est aussi glaçante que terrible.
Source : « Parcoursup n’oriente pas : Parcoursup sélectionne, Parcoursup trie »
Go Sport : ouverture d’une enquête pour abus de bien social
« Ponctions » suspectes
Selon Libération, qui cite des sources proches du dossier, les enquêteurs s’intéressent à deux « ponctions » suspectes sur la trésorerie de Go Sport, totalisant plus de 50 millions d’euros, alors que la chaîne de magasins a bénéficié de deux prêts garantis par l’Etat, d’un montant de 55 millions d’euros, pour l’aider à surmonter ses difficultés au moment de la crise sanitaire.
La première, de près de 18 millions d’euros, aurait servi à payer les salaires de l’entreprise de prêt-à-porter Camaïeu, qui appartenait également à HPB, juste avant sa liquidation au début de décembre.
La deuxième, de 36 millions d’euros, soit le même montant que celui évoqué par les syndicats, aurait été utilisée pour financer l’achat du réseau de vingt et un magasins de vêtements Gap, racheté pour 1 euro par HPB, pour les intégrer à Go Sport. HPB a annoncé, le 12 janvier, « l’acquisition de Gap France par Go Sport » pour un montant de 38 millions.
Source : Go Sport : ouverture d’une enquête pour abus de bien social
ChatGPT, un jour avant la révolution
Une fois relié à Internet, ChatGPT changera Internet.
À commencer par ses acteurs. Il n’est pas anodin que Google ait déclaré un “code rouge” à la vue du développement de ChatGPT par OpenAi.
L’outil, pour la première fois depuis plus de dix ans, a les épaules pour changer la donne sur le monopole de Chrome.
Au point d’écraser en un rien de temps le premier moteur de recherche et navigateur de la planète.
Comprenez comment, avec cet unique point, nous pouvons parler de révolution d’Internet ?
Source : ChatGPT, un jour avant la révolution
Retraites. Pourquoi la CFDT s’apprête à retourner dans la rue | L’Humanité
Région Centre-Val de Loire : le recteur d’académie relevé de ses fonctions
Alain Ayong Le Kama.
© (Photo archives NR)« Sur proposition du ministre de l’Éducation nationale et de la jeunesse et de la ministre de l’Enseignement supérieur et de la recherche, il est mis fin aux fonctions de recteur de la région académique Centre-Val de Loire, recteur de l’académie d’Orléans-Tours, exercées par M. Alain Ayong Le Kama. »
Source : Région Centre-Val de Loire : le recteur d’académie relevé de ses fonctions














