Changement de programme pour le géant allemand de l‘électroménager Vorwerk.
Porté par sa forte croissance, il avait prévu d’ouvrir une nouvelle usine en Allemagne. Finalement, c’est en France qu’il s’implantera!
Parce que « les conditions sont ici favorables à l‘industrie », affirme le groupe.
Une chose est sûre : notre pays n’a jamais été aussi attractif, avec 1 600 projets d’investissements étrangers recensés en 2021, qui ont permis de créer ou préserver 45 000 emplois.
Lundi soir 9 janvier 2023, Carine Raffin-Peyloz, directrice de la clinique de Vendôme, se montrait attentiste après l’interpellation et le placement en garde à vue le matin même du PDG du groupe Avec auquel appartient le Saint-Coeur.
Après perquisitions des locaux parisiens, Bernard Bensaïd a en effet été interpellé à Paris et transféré dans la journée à Grenoble (Isère) afin d’être entendu pour des soupçons de détournement de fonds publics et prise illégale d’intérêts, notamment dans le cadre de la reprise du Groupe hospitalier mutualiste (GHM) de Grenoble.
Lundi soir 9 janvier 2023, Carine Raffin-Peyloz, directrice de la clinique de Vendôme, se montrait attentiste après l’interpellation et le placement en garde à vue le matin même du PDG du groupe Avec auquel appartient le Saint-Coeur.
Après perquisitions des locaux parisiens, Bernard Bensaïd a en effet été interpellé à Paris et transféré dans la journée à Grenoble (Isère) afin d’être entendu pour des soupçons de détournement de fonds publics et prise illégale d’intérêts, notamment dans le cadre de la reprise du Groupe hospitalier mutualiste (GHM) de Grenoble.
La clinique du Saint-Coeur n’est pas concernée
Carine Raffin-Peyloz, directrice du Saint-Coeur
« La clinique du Saint-Coeur n’est pas concernée et nous sommes bien sûr attentifs à la suite de la procédure qui s’ouvre », assure la directrice.
C’est en juin 2020 que l’établissement, d’abord propriété du groupe Vitalia, puis d’ Elsan, est tombé dans le groupe Avec avec la reprise des activités de Doctegestio et Doctocare.
Une arrivée qui avait alors conduit à une levée de boucliers avec manifestation unie des personnels de la clinique comme des élus.
Sollicité, le député vendômois Christophe Marion (Renaissance) précisait ce lundi « qu’il nourrissait une forme d’inquiétude depuis que le groupe a fait l’objet d’une question au gouvernement en octobre dernier du député des Vosges Christophe Naegelen (UDI). Il s’inquiétait de la gestion des thermes de Plombières par la Compagnie des thermes, propriété du groupe Avec ».
Rappelant la présomption d’innocence, le député se dit « préoccupé » pour la clinique déjà fragilisée par un nouvel épisode de fermeture du 16 au 23 janvier prochains, inquiet aussi pour le projet de site unique hôpital-clinique.
Et de conclure que tout cela « l’encourage à demander la nomination rapide d’un directeur général de l’Agence régionale de santé, poste vacant depuis début décembre. »
les niveaux d’acide gamma-aminobutyrique chez les adultes restaient constants tout au long de l’expérience, contrairement à ceux des enfants. «Nous avons constaté une augmentation rapide du GABA chez les plus jeunes lors de l’apprentissage. Mais pas seulement: le niveau élevé s’est maintenu après l’activité», explique Takeo Watanabe, psychologue et coauteur de l’étude.
Vous n’êtes pas visuel ou auditif, ce sont des fausses croyances sur le cerveau Un apprentissage plus rapide et plus efficace Forte de ces révélations sur les niveaux de GABA chez les enfants, l’équipe a ensuite mené des expériences comportementales. L’objectif était de voir si cette substance chimique était responsable de la stabilisation. «Nous avons constaté que ce phénomène se produisait quelques minutes après la fin de la formation chez les enfants. À l’inverse, les adultes devaient attendre au moins une heure avant de pouvoir intégrer de nouvelles connaissances», expose Takeo Watanabe.
L’étude a ainsi démontré que là où les adultes avaient besoin d’une heure pour se stabiliser, c’est-à-dire apprendre à nouveau sans que ce qu’ils avaient ingéré précédemment ne disparaisse, les bambins n’avaient besoin que de dix minutes. Et tout cela, grâce à leur forte concentration de GABA. Bien que l’observation ait été réalisée sur l’apprentissage visuel, le psychologue estime que ces résultats pourraient être étendus à d’autres formes de mémorisation. Seules de futures études seront en mesure de le prouver. En savoir plus: Parents & enfants Sciences Enfant apprentissage cerveau neurones connaissances
« Parcoursup n’oriente pas : Parcoursup sélectionne, Parcoursup trie »
Dans un essai paru vendredi dernier « Parlez-vous le Parcoursup ? », Johan Faerber, enseignant en lycée et à l’université, tire à boulets rouges sur Parcoursup, plateforme mise en place par Blanquer pour gérer les inscriptions des quelques centaines de milliers de bacheliers. Il répond aux questions du Café pédagogique.
En quoi Parcoursup amplifie-t-il les inégalités ?
Parcoursup se présente comme un coup d’État numérique dans nos vies. En effet, à rebours de ce que Jean-Michel Blanquer annonçait en 2018, Parcoursup n’est pas cet outil correctif des inégalités dont le ministre a alors bien voulu nous parler de matinale en matinale. De fait, Parcoursup n’instaure aucune justice sociale. Au contraire, en les entérinant, Parcoursup numérise les inégalités tant la plateforme informatique atteste d’un changement de paradigme social et pédagogique. Avant 2018, en effet, l’obtention du baccalauréat assurait une place de droit au jeune bachelier : l’État avait le devoir de lui trouver une place dans l’Enseignement supérieur. Mais, désormais, le bac ne garantit plus de droit cette place dans un cycle supérieur. Pourquoi ? Parce que Parcoursup met en place un système de sélection, de tri qui repose sur une équation simple : il n’y a pas eu, depuis bientôt 20 ans, de création de places d’étudiants en nombre suffisant dans le Supérieur. Pas de création d’universités à l’instar de la loi « Université 2000 » de Lionel Jospin qui avait fait alors sortir de terre 8 universités et 24 IUT. Il n’y a eu ainsi aucune création de postes de maîtres de conférences et de professeurs des Universités à la mesure de ce qui depuis le début des années 2000 n’a cessé de faire événement en France : le Baby-Boom qui, chaque année, voyait près de 700 000 nouvelles naissances dont 80% allait, selon le vœu de Chevènement en 1985, former une classe d’âge en mesure d’obtenir le bac.
Aucune politique éducative n’a accompagné ce formidable bond de natalité car, très tôt, le choix a été fait de ne pas investir. Si bien qu’à terme il y a plus de demande que d’offre, plus de bacheliers que de places dans le Supérieur. Voilà ainsi une inégalité dont Macron a pleinement conscience, lui qui, dès 2017, a mené une politique oligarchique et élitaire de l’enseignement supérieur en affirmant notamment qu’il fallait mettre fin à ce qu’il désignait « le mythe de l’université pour tous ». Parcoursup ne corrige donc pas les inégalités mais au contraire les creuse en se proposant d’être un outil gestionnaire et comptable d’une pénurie savamment entretenue. Parcoursup n’est rien d’autre que l’outil servile de l’austérité numérisée.
En quoi Parcoursup est différent d’APB ?
Parcoursup accentue les défauts d’APB en les érigeant en système. Mis en place en 2009, APB proposait de réguler l’accession au Supérieur en suivant les vœux hiérarchisés des élèves mais, très vite, cette plateforme s’est heurtée, dès 2016, à de violentes et justes critiques : opacité des algorithmes et tirage au sort, à la marge, de candidats dans les filières en tension comme STAPS et métiers de la Santé. C’est à ce moment précis qu’il aurait fallu créer des places car c’est tout le système qui entrait alors en tension par manque de places. Cependant, au lieu de résoudre ce problème structurel, Macron a fait le choix avec Parcoursup d’étendre à l’ensemble du Supérieur cette tension en mettant en œuvre une sélection qui ne dit pas son nom et en posant l’attribution de places au mérite, attribution sélective rejouant le mythe droitier et faisandé de la méritocratie, qui est toujours un darwinisme social n’osant dire son nom. Car Parcoursup n’oriente pas : Parcoursup sélectionne, Parcoursup trie, Parcoursup institutionnalise et généralise ce qu’APB pratiquait déjà mais uniquement à la marge : l’apprentissage de la maltraitance comme rituel d’entrée dans l’âge adulte. La leçon est aussi glaçante que terrible.
Quels effets sur les élèves ?
Parcoursup a indubitablement un effet aussi nocif que délétère sur les élèves. C’est peu de dire que le stress est désormais l’acteur social principal de la vie au lycée. Ce n’est pas moi qui le dis mais Emmanuel Macron lui-même qui, lors de la Présidentielle de 2022, a admis que Parcoursup est « une usine à stress ». Car Parcoursup manufacture effectivement l’inquiétude à grande échelle dans un but qui est avant tout managérial, à savoir substituer à la question politique de l’absence anti-démocratique d’investissement dans le Supérieur un problème d’ordre psychologique. Ainsi quand l’élève n’échoue en n’obtenant pas de place à l’issue des différentes phases de Parcoursup, il s’agit pour l’État de se défausser de son irresponsabilité en sur-responsabilisant l’adolescent, en lui faisant vivre le manque structurel de places pour un échec personnel. Le stress généré par la plateforme, au cœur de laquelle l’élève s’est engagé par la production d’une lettre de motivation, aboutit à une implacable chaîne anxiogène : individualisation, responsabilisation, culpabilisation. Le stress, c’est l’algorithme social par excellence du néo-libéralisme éducatif dont Parcoursup apparaît à présent comme le fer-de-lance.
En tant que prof, constatez-vous vraiment le tri social, moins d’élèves vont dans la filière choisie dans le supérieur ?
Que Parcoursup opère un tri social, c’est désormais une évidence absolue. Parcoursup s’offre ainsi comme l’outil ségrégatif de la violence bourgeoise la plus éhontée dans la mesure où elle prend le paravent du numérique qui dédouane de toute responsabilité, de toute poursuite, de tout discours public. Parcoursup en effet exerce une violence managériale qui s’impose de plus en plus comme l’unique grille de lecture capable de rendre compte de ce qui se trame depuis des années dans l’Éducation Nationale. Cette violence d’État, puisque malheureusement elle se désigne ainsi à nous, s’exerce selon deux modalités qui opèrent un tri social. Deux modalités que je ne suis pas le premier à dénoncer puisque, depuis 2020, la si peu progressiste Cour des Comptes elle-même pointe le rôle sélectif de la réputation du lycée d’origine et des algorithmes locaux. Ces deux éléments, sur lesquels le voile n’est jamais vraiment levé, entretiennent une opacité terrible du système, source même d’une sauvagerie discriminatoire. Car pourquoi Pierre Mathiot, manager de la réforme du baccalauréat, affirme qu’à Science Po. Lille qu’il préside les moyennes de certains lycées sont, dit-il, « corrigées » selon les territoires ? Qu’est-ce qui permet de dire qu’un lycée de centre-ville est meilleur qu’un lycée de banlieue ou un lycée à la campagne sinon les préjugés de classe ? Ne s’appuyant jamais sur des données chiffrées, sur des barèmes publics, l’opération ressemble à s’y méprendre à un tri dont l’arbitraire classiste semble être le maître mot…
Et le tri social s’accentue car avec l’angoisse générée par Parcoursup s’ouvre une manière d’incitation passive au privé, notamment aux écoles privées, hors Parcoursup…
Mais alors quelle solution ?
La solution tient en trois mots : investir, investir, investir. Il ne faut pas, d’emblée, avoir peur de le dire et par-dessus tout de le répéter car parler le Parcoursup, c’est parler la langue des cabinets de conseil qui siphonnent les finances publiques, qui abusent comme l’a lui-même reconnu sans peine Bruno Lemaire, ministre de l’Économie. « Investir » est le mot honni de Parcoursup qui ne parle que la langue des cost killers et autres auditeurs financiers. La réforme du bac en a déjà fait l’expérience qui n’est en rien pédagogique ni intellectuelle, nous le savons tous : c’est une réforme managériale visant à baisser les coûts de revient d’un examen qui fonde l’égalité républicaine. En supprimant une large part des examens finaux, Blanquer a voulu faire des économies sur la République : on ne peut ensuite venir se plaindre comme lui que l’idéal républicain soit fragilisé, la cohésion des territoires s’en ressent plus que jamais. Parcoursup participe de ce même esprit anti-démocratique, hostile au fonctionnement républicain, fondamentalement néolibéral. Une seule solution alors : créer autant de places que de néobacheliers souhaitant poursuivre dans le Supérieur car Parcoursup n’est pas une fatalité. Il suffit d’investir, et la sélection, donc l’injustice, pourra disparaître. Mais Macron le sait, la démocratie coûte cher et, manifestement, sa politique éducative a oublié de s’en donner les moyens.
Propos recueillis par Lilia Ben Hamouda
« Parlez-vous le Parcoursup?« . Éditions Seuil, Collection Libelle.
En quoi Parcoursup est différent d’APB ? Parcoursup accentue les défauts d’APB en les érigeant en système. Mis en place en 2009, APB proposait de réguler l’accession au Supérieur en suivant les vœux hiérarchisés des élèves mais, très vite, cette plateforme s’est heurtée, dès 2016, à de violentes et justes critiques : opacité des algorithmes et tirage au sort, à la marge, de candidats dans les filières en tension comme STAPS et métiers de la Santé. C’est à ce moment précis qu’il aurait fallu créer des places car c’est tout le système qui entrait alors en tension par manque de places. Cependant, au lieu de résoudre ce problème structurel, Macron a fait le choix avec Parcoursup d’étendre à l’ensemble du Supérieur cette tension en mettant en œuvre une sélection qui ne dit pas son nom et en posant l’attribution de places au mérite, attribution sélective rejouant le mythe droitier et faisandé de la méritocratie, qui est toujours un darwinisme social n’osant dire son nom. Car Parcoursup n’oriente pas : Parcoursup sélectionne, Parcoursup trie, Parcoursup institutionnalise et généralise ce qu’APB pratiquait déjà mais uniquement à la marge : l’apprentissage de la maltraitance comme rituel d’entrée dans l’âge adulte. La leçon est aussi glaçante que terrible.
Selon Libération, qui cite des sources proches du dossier, les enquêteurs s’intéressent à deux « ponctions » suspectes sur la trésorerie de Go Sport, totalisant plus de 50 millions d’euros, alors que la chaîne de magasins a bénéficié de deux prêts garantis par l’Etat, d’un montant de 55 millions d’euros, pour l’aider à surmonter ses difficultés au moment de la crise sanitaire.
La première, de près de 18 millions d’euros, aurait servi à payer les salaires de l’entreprise de prêt-à-porter Camaïeu, qui appartenait également à HPB, juste avant sa liquidation au début de décembre.
La deuxième, de 36 millions d’euros, soit le même montant que celui évoqué par les syndicats, aurait été utilisée pour financer l’achat du réseau de vingt et un magasins de vêtements Gap, racheté pour 1 euro par HPB, pour les intégrer à Go Sport. HPB a annoncé, le 12 janvier, « l’acquisition de Gap France par Go Sport » pour un montant de 38 millions.
Retraites. Pourquoi la CFDT s’apprête à retourner dans la rue
Laurent Berger bataille aussi bien contre le recul de l’âge de départ que contre l’accélération du passage aux 43 années de cotisation depuis sa mise en minorité sur le sujet lors du dernier congrès.
Privé d’un partenariat avec Emmanuel Macron, qui se montre peu disposé à prendre en compte les revendications des contre-pouvoirs, le secrétaire général de la Confédération hausse le ton. Ait Adjedjou Karim/ABACA
À l’approche de l’annonce de la réforme, Laurent Berger est déterminé. « La CFDT est prête à appeler les salariés à se mobiliser. Sous différentes formes : manifestations, initiatives dans les secteurs professionnels, appels à des débrayages. (…) Ce qui est sûr, c’est que, le 10 janvier au soir, les organisations syndicales se retrouveront et l’on fera tout pour avoir une réponse commune », affirme le secrétaire général du syndicat dans le Parisien, dimanche.
Rarement les discours ont été aussi unitaires et fermes. Surtout de la part des syndicats réformistes, notamment le premier d’entre eux, la CFDT, qui, lors de la précédente réforme de 2014 et pour la première mouture de celle de 2019 (système par points), les avait au contraire accompagnées. Il faut remonter à celle de 2010, lors du passage de l’âge de départ de 60 à 62 ans, pour que les cédétistes battent le pavé avec les autres organisations.
La ligne stratégique s’est imposée en juin, lors du congrès de la CFDT. Si le recul de l’âge de départ à la retraite, jugé trop injuste, a toujours été une ligne rouge à la CFDT, la donne a changé concernant une modification de la durée de cotisation en fonction de l’espérance de vie, scénario accepté lors du congrès de 2010. À 67,5 %, les congressistes de 2022 ont modifié le projet de résolution finale, contre l’avis de la direction, qui reprenait cette possibilité d’une progression de la durée de cotisation pour bénéficier d’une retraite à taux plein en cas de hausse de l’espérance de vie.
LE VOTE LORS DU CONGRÈS DE 2022 CONTRAINT LAURENT BERGER À NE PAS ALLER AU-DELÀ DE CE QUE PRÉVOIT LA LOI TOURAINE DE 2014.
Ce vote contraint donc Laurent Berger à ne pas aller au-delà de ce que prévoit la loi Touraine de 2014. À savoir, un allongement de la durée de cotisation à 43 ans d’ici à 2035. La CFDT refuse donc toute accélération du calendrier Touraine. Soit l’un des termes de l’accord – avec le recul de l’âge de départ à 64 ans – que le gouvernement et LR semblent avoir trouvé pour faire voter la réforme au Parlement.
Loin des années Hollande
La position ferme de Laurent Berger s’explique également par « la forme de syndicalisme théorisée sur le plan national par la CFDT », analyse Stéphane Sirot, selon qui la première organisation syndicale se voit comme un « partenaire social ». Or, d’après l’historien spécialiste des syndicats, « cela ne fonctionne que lorsque vous avez un pouvoir politique ouvert à la prise en compte des revendications des contre-pouvoirs, ce que se refuse à faire Emmanuel Macron ». Privée de partenaire, la CFDT se retrouve dans l’impasse.
L’Humatinale
Du lundi au vendredi, l’actu essentielle décryptée par la rédaction de l’Humanité.
« À l’époque de François Hollande, au moins dans la première partie de son quinquennat, la Confédération avait presque table ouverte à l’Élysée. Par ailleurs, une grande partie des propositions du candidat Hollande étaient issues du corpus CFDT-Unsa (constitutionnalisation du dialogue social, volonté de faire des syndicats des colégislateurs…). Nous n’en sommes plus là. »
Les quatre derniers mois de concertation l’ont à nouveau démontré. « La première ministre nous écoute, c’est quelqu’un de sérieux », mais « elle est sur une ligne qui n’est pas la nôtre aujourd’hui », a expliqué, la semaine dernière, Laurent Berger. « D’où la nécessité de hausser le ton », conclut Stéphane Sirot.
« Sur proposition du ministre de l’Éducation nationale et de la jeunesse et de la ministre de l’Enseignement supérieur et de la recherche, il est mis fin aux fonctions de recteur de la région académique Centre-Val de Loire, recteur de l’académie d’Orléans-Tours, exercées par M. Alain Ayong Le Kama. »
la ministre a confirmé, en audience FSU, que les éléments socles de cette réforme étaient non négociables et qu’ils s’appliqueraient dès septembre 2023 :
l’augmentation des stages, la révision des cartes de formation au prisme des besoins économiques locaux, la répartition locale des volumes horaires disciplinaires et le dispositif collège ».
Biden a déclaré lundi que Nord Stream 2 serait abandonné si la Russie lançait une invasion militaire de l’Ukraine, ce que les mouvements de troupes de Moscou suggèrent fortement comme imminent.
Mais Scholz a refusé de dire la même chose.
“Si la Russie envahit – cela signifie que des chars ou des troupes traversent la frontière ukrainienne, encore une fois, alors il n’y aura plus de Nord Stream 2”, a déclaré Biden lors d’une conférence de presse conjointe avec Scholz.
“Nous y mettrons fin.” “
Mais comment allez-vous faire cela exactement, puisque le projet et le contrôle du projet sont sous le contrôle de l’Allemagne ?”
a demandé Andrea Shalal de Reuters, qui avait posé la question initiale à Biden à propos de Nord Stream.
“Nous le ferons, je vous le promets, nous pourrons le faire”, a répondu Biden.
Lorsque la même question a été posée à Scholz, cependant, le dirigeant allemand a donné une réponse très différente.
“Nous avons intensivement tout préparé pour être prêts avec les sanctions nécessaires en cas d’agression militaire contre l’Ukraine”, a-t-il déclaré, sans mentionner Nord Stream. “Cela fait partie du processus que nous ne disions pas tout en public, car la Russie devrait comprendre qu’il pourrait y avoir encore plus à venir.”
Denain (59). Un policier en civil, frère de l’imam Iquioussen, impliqué dans une bagarre lionel
23/09/2022 à 17h40
Agresseur ou victime ? C’est ce que devra déterminer une enquête portant sur une altercation survenue dimanche en fin de journée, mettant en cause deux femmes et un policier en civil qui n’est autre que le frère de l’imam Iquioussen. […] D’après nos informations, le propriétaire du logement se nomme Ahmed Iquioussen, est policier, et est le frère de l’imam Hassan Iquioussen, actuellement sous le coup d’une procédure d’expulsion. Un homme également mis en cause à propos de son patrimoine immobilier. Néanmoins, il aurait coupé les ponts avec son frère prédicateur depuis plusieurs dizaines d’années. Un logement en mauvais état ?
Pourquoi se serait-il mis en colère ?
D’après Marie, il aurait un contentieux avec elle et sa sœur Sylvie car, lorsque les deux femmes ont aidé l’auxiliaire de vie à s’installer dans sa nouvelle maison, en février, elles auraient constaté des trous dans la cuisine et dans la salle de bain. Marie aurait reproché au propriétaire de louer un logement dans cet état, des reproches que ce dernier n’aurait pas apprécié. Le parquet de Valenciennes indique qu’une enquête est en cours, « le policier apparaissant à ce stade victime ». Invité à témoigner dans nos colonnes, Ahmed Iquioussen a refusé, n’ayant pas obtenu l’autorisation de sa hiérarchie.
Les nouvelles découvertes ajoutent aux préoccupations croissantes des scientifiques concernant l’effet des vaccins Covid sur le système immunitaire.
Un récent étude chez la souris, les vaccins à ARNm comme Pfizer inhibent la réponse du système immunitaire à d’autres agents pathogènes.
Dans cette étude ( qui n’est pas encore évaluée par des pairs – ), le coupable semblait être les nano lipides – particules ( LNPs ) qui transportent l’ARNm dans le vaccin: « Nous avons constaté que l’exposition pré – à l’ARNm – LNP ou LNP seul a conduit à une inhibition à long terme – des réponses immunitaires adaptatives. »
«Je crois au lycée professionnel. Cette grande transformation, notre pays la mérite ».
C’est pourtant un établissement
« pas représentatif » qu’E Macron a choisi pour lancer, avec C. Grandjean et P. Ndiaye, la réforme du lycée professionnel.
Le lycée Tabarly des Sables d’Olonne développe des formations recherchées et bien ancrées dans le tissu industriel d’une région aisée. Devant des ministres muets, le président de la République a développé son projet
« pour donner à voir les prochains mois ».
La réforme de la voie professionnelle commence par celle de l’orientation au collège.
« Il faut mieux informer plus tôt » dit E Macron.
« Que les entreprises entrent dans l’école et viennent apprendre aux collégiens la réalité de la vie professionnelle ».
C’est le but de la « journée avenir professionnel » qui est expérimentée cette année au collège dès la 5ème et qui est appelée à être généralisée sans qu’on sache qui peut réellement l’organiser.
Déjà, en n’auditionnant publiquement que trois « voix critiques » contre onze thuriféraires des vaccins, l’Office indiquait un certain parti pris dans l’organisation même de ses travaux, au cours desquels 9 personnes sur les 49 auditionnées proposaient une analyse différente du discours qui inonde les médias depuis le début de la vaccination de masse (« la vaccination est sans danger, elle protège les personnes vaccinées et protège aussi les autres, c’est sûr à 95%, etc. »). Mais surtout, alors même que son règlement l’autorisait à les rendre publics, l’Office a choisi de conduire ses travaux sous forme d’auditions privées, un format très contestable s’agissant d’une question majeure touchant à la santé de tous les Français. Ainsi, les auditions qui se sont déroulées de mars à mai 2022 ne seront jamais rendues publiques. Pourquoi ? Certaines auditions gêneraient-elles ? Le public ne serait-il pas en mesure de les entendre ? De les comprendre ? Aucune explication n’est fournie par l’Office.
Trois personnes dont les auditions ont été ainsi rendues quasi secrètes (Mme Christine Cotton, biostatisticienne, Mme Emmanuelle Darles et M. Vincent Pavan, enseignants-chercheurs des universités de Poitiers et Marseille) ont pourtant demandé à pouvoir faire part de leurs travaux pendant l’audition publique du 24 mai dernier. Peine perdue. Bien qu’elles se soient rendues devant le Sénat, le jour même de l’audition, elles ont trouvé portes closes. La sommation interpellative qu’elles ont fait délivrer au président de l’Office, M. Cédric Villani, fera toutefois date et il ne sera plus possible aux membres de l’Office de prétendre « qu’ils ne savaient pas ».
Pourtant, ce que ces personnes avaient à dire est essentiel pour l’information impartiale du public, sans laquelle on ne saurait parler de « consentement libre et éclairé » à la vaccination.
Leurs travaux révèlent en effet des éléments particulièrement alarmants.
Ils montrent d’abord d’importants problèmes méthodologiques dans les essais cliniques ayant conduit à l’Autorisation d’Urgence dès décembre 2020. Ainsi, les manquements et les biais de l’essai clinique de phase 3 du vaccin Pfizer rendent ses conclusions peu fiables du point de vue des bonnes pratiques cliniques, faussant l’évaluation du rapport bénéfice/risque.
Né à Metz, en Moselle, et Jurassien de cœur, il a travaillé pendant dix ans au ministère des Armées avant de devenir premier secrétaire de l’ambassade de France à Londres.
« J’ai beaucoup œuvré pour accompagner l’entrée en vigueur du Brexit pour que la France et le Royaume-Uni restent connectés malgré cette contrainte. »
Accompagner le développement économique Désormais installé à Vendôme, il souhaitait « pouvoir se rapprocher du terrain. J’ai eu des postes en lien avec la sécurité et les thématiques internationales, mais je voulais élargir le volet de politique publique sur lequel je travaille. Dès cette semaine, je vais rencontrer les interlocuteurs de l’arrondissement à commencer par les maires. »
L’occasion de prendre le pouls du territoire et de ses enjeux. « Dans la lignée du travail effectuée par Magali Chapey, je souhaite accompagner le développement économique du territoire et pas seulement de Vendôme. L’objectif va également être de répondre aux tensions sur le marché de l’emploi dans de nombreux secteurs qui ont des difficultés à recruter. »
Changement de programme pour le géant allemand de l'électroménager Vorwerk.
Porté par sa forte croissance, il avait prévu d'ouvrir une nouvelle usine en Allemagne. Finalement, c'est en France qu'il s'implantera!
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