Archives de catégorie : Veille des flux

Selon le Mossad cité par Hurseda.net, les FAU auraient eu plus de 157.000 morts dans leurs rangs et l’armée russe en aurait eu plus de 18.500

https://stratpol.com/bilan-des-pertes-de-guerre-russie-otan-en-ukraine/

Bilan des pertes de guerre Russie / OTAN en Ukraine

S’agissant de bilans de pertes donnés par les États-majors, il faut toujours être très prudent compte tenu de la propagande de guerre menée par les deux camps pour ne pas affoler les populations. Toutefois, je vous communique le bilan ci après qui me semble tout à fait plausible parce que la disproportion entre les pertes ukrainienne et russe est tout à fait cohérente avec la disproportion des feux appliqués par chacun des camps à son adversaire.

Aujourd’hui, il y a consensus pour dire que la Russie à une supériorité des feux de l’ordre d’au moins 8 pour 1, que ce soit les feux d’Artillerie, les feux des missiles de croisière, les feux aériens air- sol et les feux sol-air de protection.

Il y a, en outre, supériorité aérienne Russe et supériorité écrasante russe dans la guerre des drones. Cette supériorité permet d’accroître la précision et l’efficacité des feux de toute nature.

Rien d’étonnant à ce que l’écart des pertes soit de 1 pour 8 en faveur de la Russie parce que c’est le feu qui tue et qui détruit et que la disproportion du feu est de l’ordre de 8 pour 1 en faveur de la Russie.

L’édition turque de Hürseda Haber publie des informations sur les pertes de l’Ukraine lors de l’opération spéciale. Ces informations seraient basées sur des données du MOSSAD israélien. Ces bilans me semblent crédibles et sont probablement proches de la réalité.

Bien sûr, le site ORYX et les bla-blateurs de plateaux télé qui participent à la propagande ukro-atlantiste en évoquant les “effroyables” pertes russes vont en être pour leur frais. Les chiffres qu’ils évoquaient étaient d’ailleurs totalement incohérents avec le différentiel des feux tel qu’il est unanimement reconnu. N’importe quel militaire digne de ce nom pouvait s’en apercevoir…

Bilan des pertes évoqué dans la publication turque

Ukraine :

  • 157 000 soldats des Forces Armées Ukrainiennes et bataillons néonazis tués.
  • 234 instructeurs OTAN (États-Unis et Royaume-Uni) – tués
  • 2 458 combattants de l’OTAN (Allemagne, Pologne et autres) – tués
  • 5 360 mercenaires étrangers – tués
  • 234 000 blessés
  • 17 230 prisonniers
  • 302 avions
  • 212 hélicoptères
  • 2 750 drones
  • 6 320 chars et véhicules blindés
  • 7360 obusiers (systèmes d’artillerie)
  • 497 systèmes de défense anti-aérienne

Russie :

  • 18 480 morts
  • 44 500 blessés
  • 323 prisonniers
  • 23 avions
  • 56 hélicoptères
  • 200 drones
  • 898 chars et véhicules blindés
  • 427 obusiers (systèmes d’artillerie)
  • 12 systèmes de défense aérienne

Fait intéressant, ces données ont été rendues publiques par les médias turcs, mais avec une référence aux services de renseignement israéliens.

Source: Hurseda Haber ; Traduction : Sylvain FERREIRA

Dominique Delawarde
Après des périodes d’encadrement d’unités militaires de Légion étrangère (2ème RE et 3ème REI) et de Chasseurs alpins (6ème, 7ème et 11ème BCA), puis d’encadrement d’élèves officiers notamment à Saint Cyr, le Général (2S) Dominique Delawarde fut chef «Situation-Renseignement-Guerre électronique» à l’état major interarmées de planification opérationnelle.
Il a servi plus de 8 ans hors de l’hexagone: aux États Unis, en Amérique du Sud et au Proche Orient dans le cadre de l’ONU, plus d’un an dans les Balkans dans les cadres de l’ONU et de l’OTAN, et plus de six mois au Moyen- Orient (Émirats, Qatar, Koweït).

 

https://stratpol.com/bilan-des-pertes-de-guerre-russie-otan-en-ukraine/

ET

 

http://le-blog-sam-la-touch.over-blog.com/2023/02/selon-le-mossad-les-fau-auraient-eu-plus-de-157.000-morts-dans-leurs-rangs-et-l-armee-russe-en-aurait-eu-plus-de-18.500-hurseda.net.html

Allégation :

 

Les pertes de l’Ukraine et de la Russie selon le Mossad

Selon le Mossad cité par Hurseda.net, les FAU auraient eu plus de 157.000 morts dans leurs rangs et l'armée russe en aurait eu plus de 18.500

Article originel :

İddia: MOSSAD’a göre Ukrayna ve Rusya kayıpları Hurseda.net, 25.01.23

Alors que la première année de la guerre Russie-Ukraine approche, les pertes de guerre prétendument annoncées par les services de renseignement israéliens révèlent les terribles dimensions de la guerre.

Selon les allégations du Mossad, les données de terrain du 14 janvier 2023 basées sur les renseignements israéliens sont énumérées comme suit :

 

RUSSIE :

418 000 soldats (plus 3 500 000 réservistes) et un nombre croissant de mercenaires Wagner :

23 avions

56 Hélicoptère

200 (S)UAV

889 Chars et véhicules blindés

427 Howitzer (systèmes d’artillerie)

12 Systèmes de défense aérienne

18 480 morts

44 500 personnes blessées

323 Captive

 

UKRAINE :

Avec 734 000 soldats (plus 100 000 réservistes) et des officiers, soldats et mercenaires de l’OTAN sur le terrain,

 

les pertes de l’Ukraine sont les suivantes :

 

302 avions

212 Hélicoptère

2,750 (S)UAV

6.320 Chars et véhicules blindés

7.360 Howitzer (systèmes d’artillerie)

497 Système de défense aérienne

157 000 morts

234 000 blessés

17.230 Captifs

234 morts – Entraîneurs militaires de l’OTAN (États-Unis et Royaume-Uni) 2.458 morts -Soldats de l’OTAN (Allemagne, Pologne, Lituanie, …)

5.360 morts – Mercenaires

 

(Agences) Facebook Twitter

Traduction automatique avec DeepL.com –

 

Selon le Mossad cité par Hurseda.net, les FAU auraient eu plus de 157.000 morts dans leurs rangs et l’armée russe en aurait eu plus de 18.500 – Le-Blog-Sam-La-Touch.over-blog.com

Abandon de poste : les salariés en abusent-ils vraiment ? 

“Beaucoup d’entreprises se trouvent dans des situations où elles constatent que les salariés ne sont pas là, elles ne sont pas prévenues, ce qui a pour conséquence une désorganisation profonde”, avait avancé, lors de l’examen du texte de loi à l’Assemblée nationale, Philippe Vigier (MoDem), l’un des députés à l’origine de la mesure.

 

https://www.capital.fr/votre-carriere/abandon-de-poste-les-salaries-en-abusent-ils-vraiment-1461004

Preuve tangible dans une nouvelle étude: cerveau, dommages cardiaques causés par le vaccin contre l’ARNm

L’autopsie a révélé une inflammation à la fois dans le cerveau et dans le cœur.

Le patient a subi des lésions cérébrales aiguës sans rapport avec son diagnostic de maladie de Parkinson.

Il y avait des plaques de dégénérescence et d’inflammation à l’avant de son cerveau et son cerveau contenait en outre trois types de résultats pathologiques: la mort neuronale ( les cellules nerveuses mortes ), infiltration microgliale ( cellules de défense dans le cerveau ) et lymphocytes associés à une infection virale.

Ils ont trouvé des protéines de pointe dans le lobe frontal du cerveau, ainsi que dans d’autres sections du cerveau.

Mais il n’y avait pas de protéine nucléocapside présente.

Ils ont trouvé une myocardite – c’est-à-dire un gonflement — dans le cœur.

Il ressortait clairement de l’autopsie que la myocardite n’était pas causée par une infection naturelle mais plutôt par des protéines de pointe induites par le vaccin.

Cette recherche a montré très clairement que la pathologie du patient était causée par les vaccins et non par une infection naturelle.

Le rapport de cas comprenait des photographies détaillées des tissus affectés du patient. Les images parlent d’elles-mêmes: les scientifiques ou les médecins qui nient le lien entre les vaccins et les découvertes anormales des tissus n’ont qu’à revoir les images par eux-mêmes.

Source : Preuve tangible dans une nouvelle étude: cerveau, dommages cardiaques causés par le vaccin contre l’ARNm

 

Preuve tangible dans une nouvelle étude: cerveau, dommages cardiaques causés par le vaccin contre l’ARNm

24 févr.2023
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Des scientifiques allemands ont découvert que la vaccination contre l’ARNm, et non l’infection à COVID-19 elle-même, a causé des lésions cérébrales et cardiaques chez un adulte plus âgé souffrant de conditions sous-jacentes.

L’étude a été publié en octobre 2022 dans la revue Vaccines: “ A Case Report: Multifocal Necrotizing Encephalite and Myocarditis after BNT162b2 mRNA Vaccination against COVID-19. ” Il a examiné la situation d’un Allemand de 76 ans atteint de la maladie de Parkinson.

Le patient est décédé trois semaines après avoir reçu sa troisième injection de COVID-19.

Le premier vaccin qu’il a reçu en mai 2021 était le vaccin Oxford / AstraZeneca. Cela a été suivi de deux autres injections en juillet puis en décembre de la même année. Ses deux vaccins ultérieurs ont tous deux été fabriqués par Pfizer.

Après le deuxième vaccin, la famille du patient a remarqué des changements marqués dans son comportement. Il a commencé à ressentir plus d’anxiété, est devenu plus léthargique et ne voulait pas être touché. Il s’est retiré, même des membres de sa famille proche, et les symptômes de sa maladie de Parkinson préexistante se sont considérablement aggravés.

Compte tenu des symptômes cliniques ambigus avant sa mort, sa famille a demandé une autopsie.

Les résultats inhabituels et fascinants de l’autopsie ont conduit à un rapport de cas publié sur ce qui est maintenant revendiqué comme un décès induit par le vaccin.

Ce patient n’avait aucun antécédent d’infection à COVID-19. Cette histoire clinique a été confirmée par pathologie.

“ On peut dire définitivement que ces dommages ont été causés par le vaccin, ” a insisté l’infirmière éducatrice, John Campbell, Ph.D., qui a expliqué l’étude en détail en 14 minutes Vidéo YouTube qu’il a partagé avec son 2,68 millions d’abonnés le 16 février.

Infection naturelle à COVID-19

La pandémie de COVID-19 a été causée par un virus appelé SRAS-CoV-2, qui est l’abréviation de Coronavirus 2, un syndrome respiratoire aigu sévère. Il s’agit d’un virus à ARN appartenant à la famille des Coronaviridae. Le nom de cette famille de virus est dérivé du mot latin “ corona, ” signifiant couronne. En effet, le virus sous microscopie électronique apparaît comme une couronne en raison de petites projections de bulbes formées par des protéines virales à pointe ( S ).

Comme de nombreux autres virus respiratoires, les coronavirus se propagent rapidement à travers des gouttelettes qu’une personne projette hors de la bouche ou du nez lorsqu’elle respire, tousse, éternuements ou parle. Les gouttelettes peuvent ensuite être inhalées par une autre personne.

Une fois à l’intérieur du système respiratoire du receveur, la protéine virale de pointe joue un rôle clé dans la communication virus-cellule hôte. Une communication réussie fait en sorte que le virus est accepté par la cellule du receveur, achevant le processus d’infection naturelle.

Vaccins COVID-19 approuvés par la FDA

Outre la protéine de pointe, le SRAS-CoV-2 possède également d’autres protéines structurelles essentielles, telles qu’une enveloppe ( E ), une membrane ( M ) et des protéines nucléocapsides ( N ).

La protéine de pointe étant la protéine virale la plus abondante et la plus exposée “ ”, c’était le choix évident comme antigène viral pour le développement du vaccin.

En fait, sans exception, tous les vaccins COVID-19 approuvés par la FDA utilisent la protéine de pointe comme antigène viral. Aucun des vaccins autorisés n’utilise d’autres protéines du SRAS-CoV-2 comme antigènes viraux.

En tant qu’ancien développeur de vaccins avec un doctorat. en génétique moléculaire, Joe Wang a remis en question la conception de ces vaccins. Dans le même temps, cependant, cette conception de vaccin permet de distinguer facilement la pathologie causée par l’infection par le virus par rapport à la pathologie causée par le vaccin.

“ Donc, si vous voyez des protéines de pointe par lui-même, cela signifie que c’est un vaccin; si vous voyez des protéines de pointe et des protéines nucléocapsides, cela signifie que c’est une infection virale naturelle. C’est la différence entre les deux, ” Campbell a expliqué.

Afin de procéder à une autopsie pour déterminer la cause du décès chez le patient atteint de la maladie de Parkinson, âgé de 76 ans, les chercheurs ont traité les tissus de son corps avec du formol, les ont coupés en sections, et les a colorés avec de l’hématoxyline et de l’éosine afin de les examiner.

Ils ont comparé leurs échantillons avec des témoins, les deux cellules cultivées des patients COVID-19 positifs au SRAS-CoV-2 ( qui contenaient à la fois la protéine de pointe et le nucléocapside ), et les cellules cultivées qui contenaient une expression de protéine de pointe induite par le vaccin mais pas de protéine nucléocapside.

L’autopsie a révélé une inflammation à la fois dans le cerveau et dans le cœur.

Le patient a subi des lésions cérébrales aiguës sans rapport avec son diagnostic de maladie de Parkinson. Il y avait des plaques de dégénérescence et d’inflammation à l’avant de son cerveau et son cerveau contenait en outre trois types de résultats pathologiques: la mort neuronale ( les cellules nerveuses mortes ), infiltration microgliale ( cellules de défense dans le cerveau ) et lymphocytes associés à une infection virale. Ils ont trouvé des protéines de pointe dans le lobe frontal du cerveau, ainsi que dans d’autres sections du cerveau. Mais il n’y avait pas de protéine nucléocapside présente.

Ils ont trouvé une myocardite – c’est-à-dire un gonflement — dans le cœur. Il ressortait clairement de l’autopsie que la myocardite n’était pas causée par une infection naturelle mais plutôt par des protéines de pointe induites par le vaccin.

Cette recherche a montré très clairement que la pathologie du patient était causée par les vaccins et non par une infection naturelle.

Le rapport de cas comprenait des photographies détaillées des tissus affectés du patient. Les images parlent d’elles-mêmes: les scientifiques ou les médecins qui nient le lien entre les vaccins et les découvertes anormales des tissus n’ont qu’à revoir les images par eux-mêmes.

‘ Les vaccins ont causé les dommages au cerveau ’

Les pathologistes ont découvert que le patient avait plusieurs endroits dans son cerveau où il y avait des dommages, ainsi qu’un gonflement généralisé dans son cœur. Ils ont également confirmé qu’il souffrait de la maladie de Parkinson et qu’il avait un durcissement de longue date dans ses artères. Enfin, ils ont trouvé des signes de pneumonie, qui peuvent avoir été causés par son aspiration à sa propre salive ou à d’autres fluides corporels.

“ Il semble que ce qui s’est passé ici soit que les vaccins ont causé des lésions cérébrales, ” dit Campbell. Il semble que les lésions cérébrales induites par le vaccin aient provoqué des convulsions chez le patient.

Ensuite, les crises ( ce que Campbell a appelé “ ajuster ” ) l’ont fait perdre connaissance, et bien qu’inconscient, il a respiré certains de ses propres vomissements ou salive, qui a contribué à sa cause de décès.

“ Le vaccin circulant autour du corps entrera en contact avec les vaisseaux sanguins. Donc le lipo-nanoparticules contenant l’ARNm ira dans les vaisseaux sanguins. Et ce sont les vaisseaux sanguins ’ eux-mêmes qui exprimeront la protéine de pointe, ” Campbell a expliqué. Lorsque la protéine de pointe est exprimée dans le cerveau et le cœur, elle provoque une réponse inflammatoire et entraîne la mort de différentes parties du cerveau.

Pourquoi plus d’autopsies ne sont-elles pas conduites?

C’est une question que Campbell a posée dans sa vidéo — une pour laquelle il n’avait pas de réponse. Pourquoi les pathologistes allemands effectuent-ils des autopsies, mais pas les médecins américains et britanniques?

Dr. Robert Lowry, un neurologue basé au Texas qui se spécialise en médecine sportive, pense que ne pas effectuer d’autopsies est une grave erreur. Lowry, qui pratique la médecine depuis plus de 30 ans, a insisté en juillet 2022 pour que des autopsies doivent être effectuées sur chaque jeune qui meurt subitement et de façon inattendue.

De plus, sur la base de ses recherches et de ce qu’il a vu dans sa pratique clinique, Lowry n’hésite pas à dire que nous ne devrions plus faire d’injections d’ARNm.

“ Nous devons arrêter ces vaccins car ils ne fonctionnent pas, a déclaré Lowry à The Epoch Times.

“ Ils ne préviennent pas les maladies et le risque immédiat et à long terme de blessures graves est supérieur à celui de la maladie réelle. L’immunité naturelle contre les virus corona est bien meilleure et plus durable que tout ce que ces vaccins fournissent, ” a-t-il dit.

Les opinions exprimées dans cet article sont les opinions de l’auteur et ne reflètent pas nécessairement les vues de The Epoch Times. Epoch Health accueille la discussion professionnelle et le débat amical. Pour soumettre un article d’opinion, veuillez suivre ces directives et soumettre notre forme ici.

Jennifer Margulis, Ph.D., est une journaliste et auteure primée de “ Votre bébé, votre chemin: prendre en charge votre grossesse, votre accouchement et vos décisions parentales pour une famille plus heureuse et plus saine. ” Titulaire de Fulbright et mère de quatre enfants, elle a travaillé sur une campagne de survie de l’enfant en Afrique de l’Ouest, préconisée pour la fin de l’esclavage des enfants au Pakistan à la télévision aux heures de grande écoute en France, et a enseigné la littérature post-coloniale à des étudiants non traditionnels du centre-ville d’Atlanta. En savoir plus sur elle à JenniferMargulis.net
Joe Wang, Ph.D., était un biologiste moléculaire avec plus de 10 ans d’expérience dans l’industrie des vaccins. Il est maintenant président de New Tang Dynasty TV ( Canada ) et chroniqueur pour The Epoch Times.

 

 

La Chine a un plan – Le Grand Continent

LA CHINE A UN PLAN

 

Après un an de neutralité ambigüe, le ministère chinois des affaires étrangères a pour la première fois publié un document détaillant la position de Pékin dans la guerre en Ukraine – le jour même où le Spiegel révélait que la Chine et la Russie pourraient être en train de négocier sur l’envoi de drones.

 

AUTEUR LE GRAND CONTINENT • IMAGE © AP PHOTO/DARKO VOJINOVIC

Source : La Chine a un plan – Le Grand Continent

 

LA CHINE A UN PLAN

Après un an de neutralité ambigüe, le ministère chinois des affaires étrangères a pour la première fois publié un document détaillant la position de Pékin dans la guerre en Ukraine – le jour même où le Spiegel révélait que la Chine et la Russie pourraient être en train de négocier sur l’envoi de drones.

AUTEUR
LE GRAND CONTINENT

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© AP PHOTO/DARKO VOJINOVIC

Le 24 février, date anniversaire de l’invasion de l’Ukraine, le ministère chinois des affaires étrangères a publié la «  position de la Chine sur le règlement politique de la crise ukrainienne  ». Ce document précise les grandes lignes d’un plan plus large qui avait été détaillé le 21 février dans l’initiative globale de sécurité et évoqué le 18 février lors d’un discours prononcé par le directeur du bureau central des Affaires étrangères chinois à la Conférence de Munich sur la sécurité. Wang Yi avait alors déclaré que « bien que la Chine ne soit pas directement concernée par le conflit, elle ne restait pas pour autant inactive ». C’est à cette occasion qu’il avait également annoncé que Pékin allait publier un document traduisant la position chinoise relative à la guerre. C’est celui-ci que nous traduisons.

Le jour même de sa parution, l’hebdomadaire Der Spiegel faisait des révélations selon lesquelles « la Chine serait en train de négocier avec la Russie pour lui fournir des drones kamikazes  ». Cet article s’inscrit quant à lui dans une séquence ouverte dimanche 19 février lorsque, à la suite d’une rencontre avec Wang Yi en marge de la Conférence de Munich, Antony Blinken avait déclaré que Washington disposait d’informations selon lesquelles Pékin envisagerait de fournir des armes létales à Moscou.

Quelques jours après, le 23 février, des responsables américains ont fait savoir que l’administration Biden «  envisageait de rendre publics  » ces renseignements. Si le ministère chinois des Affaires étrangères a nié ces informations, accusant les États-Unis de «  déplacer les responsabilités et de répandre de la désinformation  », les informations du Spiegel vont le sens des craintes exprimées par Blinken — et même «  encore plus loin  ».

En tout état de cause, ce document chinois qui entend proposer une médiation fondée sur le principe de « souveraineté de tous les pays » a été accueilli de manière circonspecte par l’OTAN, dont le Secrétaire général Jens Stoltenberg a affirmé que «  la Chine n’a pas beaucoup de crédibilité parce qu’elle n’a pas été en mesure de condamner l’invasion illégale de l’Ukraine  » et par l’Union européenne – Josep Borrell considérant qu’il ne s’agissait pas d’un plan de paix. Le 24 février, lors d’une conférence de presse, le Président ukrainien Volodymyr Zelensky — qui a déjà détaillé ses conditions de la paix — a quant à lui considéré la démarche de Pékin comme «  nécessaire  », se montrant ouvert à une discussion avec la Chine, ouvrant une nouvelle phase : « j’ai l’intention de rencontrer Xi Jinping. »

1. Respecter la souveraineté de tous les pays. Le droit international universellement reconnu, y compris les buts et principes de la Charte des Nations Unies, doit être strictement observé. La souveraineté, l’indépendance et l’intégrité territoriale de tous les pays doivent être effectivement défendues. Tous les pays, grands ou petits, forts ou faibles, riches ou pauvres, sont des membres égaux de la communauté internationale. Toutes les parties doivent conjointement faire respecter les normes fondamentales régissant les relations internationales et défendre l’équité et la justice internationales. L’application égale et uniforme du droit international doit être encouragée, tandis que les doubles standards doivent être rejetés.

Il est à noter ici que la souveraineté concerne en question est celle des « pays  » — non des peuples et de leur droit à l’auto-détermination. Selon cette ligne, Pékin défend un «  principe de souveraineté  » qui lui permet dans le même temps d’affirmer sa politique «  d’une seule Chine  » vis-à-vis de Taïwan. À la Conférence de Munich la semaine dernière, le ministre des affaires étrangères chinois Wang Yi avait d’ailleurs eu l’occasion de le rappeler en réponse à une question de Wolfgang Ischinger qui lui demandait de rassurer la communauté internationale quant à l’éventualité d’une escalade militaire dans la région : « je vous rassure sur le fait que Taïwan fait bien partie de la Chine.  »

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2. Abandonner la mentalité de la guerre froide. La sécurité d’un pays ne doit pas être recherchée au détriment des autres. La sécurité d’une région ne doit pas être obtenue par le renforcement ou l’expansion de blocs militaires. Les intérêts et les préoccupations légitimes de tous les pays en matière de sécurité doivent être pris au sérieux et traités correctement. Il n’existe pas de solution simple à une question complexe. Toutes les parties devraient, en suivant la vision d’une sécurité commune, globale, coopérative et durable et en gardant à l’esprit la paix et la stabilité à long terme du monde, contribuer à forger une architecture de sécurité européenne équilibrée, efficace et durable. Toutes les parties devraient s’opposer à la recherche de leur propre sécurité au détriment de celle des autres, empêcher la confrontation entre blocs et œuvrer ensemble pour la paix et la stabilité sur le continent eurasien.

3. Cesser les hostilités. Le conflit et la guerre ne profitent à personne. Toutes les parties doivent rester rationnelles et faire preuve de retenue, éviter d’attiser les flammes et d’aggraver les tensions, et empêcher la crise de se détériorer davantage, voire d’échapper à tout contrôle. Toutes les parties doivent aider la Russie et l’Ukraine à travailler dans la même direction et à reprendre le dialogue direct le plus rapidement possible, afin de désamorcer progressivement la situation et de parvenir à un cessez-le-feu complet.

4. Reprendre les pourparlers de paix. Le dialogue et la négociation sont la seule solution viable à la crise ukrainienne. Tous les efforts en faveur d’un règlement pacifique de la crise doivent être encouragés et soutenus. La communauté internationale doit continuer à promouvoir les pourparlers de paix, aider les parties au conflit à s’acheminer vers un règlement politique dès que possible, et créer les conditions et les plateformes nécessaires à la reprise des négociations. La Chine continuera à jouer un rôle constructif à cet égard.

Après une phase initiale de discrétion et de prudence pendant les premiers mois du conflit, Pékin cherche désormais à se positionner de plus en plus comme une puissance de médiation. C’est dans cette mise en scène diplomatique que s’inscrit la publication de ce document, qui vient ponctuer une tournée internationale de Wang Yi.

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5. Résoudre la crise humanitaire. Toutes les mesures susceptibles d’atténuer la crise humanitaire doivent être encouragées et soutenues. Les opérations humanitaires doivent respecter les principes de neutralité et d’impartialité, et les questions humanitaires ne doivent pas être politisées. La sécurité des civils doit être protégée efficacement et des couloirs humanitaires doivent être mis en place pour l’évacuation des civils des zones de conflit. Des efforts sont nécessaires pour accroître l’aide humanitaire dans les zones concernées, améliorer les conditions humanitaires et assurer un accès humanitaire rapide, sûr et sans entrave, afin d’éviter une crise humanitaire à plus grande échelle. Il convient d’aider les Nations unies à jouer un rôle de coordination dans l’acheminement de l’aide humanitaire vers les zones de conflit.

6. Protéger les civils et les prisonniers de guerre. Les parties au conflit doivent se conformer strictement au droit humanitaire international, éviter d’attaquer des civils ou des installations civiles, protéger les femmes, les enfants et les autres victimes du conflit, et respecter les droits fondamentaux des prisonniers de guerre. La Chine soutient l’échange de prisonniers de guerre entre la Russie et l’Ukraine et appelle toutes les parties à créer des conditions plus favorables à cette fin.

7. Assurer la sécurité des centrales nucléaires. La Chine s’oppose aux attaques armées contre les centrales nucléaires ou d’autres installations nucléaires pacifiques, et appelle toutes les parties à respecter le droit international, y compris la Convention sur la sûreté nucléaire (CSN), et à éviter résolument les accidents nucléaires d’origine humaine. La Chine soutient l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA), qui joue un rôle constructif dans la promotion de la sûreté et de la sécurité des installations nucléaires pacifiques.

8. Réduire les risques stratégiques. Les armes nucléaires ne doivent pas être utilisées et les guerres nucléaires ne doivent pas être menées. La menace ou l’utilisation d’armes nucléaires doit être combattue. La prolifération nucléaire doit être empêchée et la crise nucléaire évitée. La Chine s’oppose à la recherche, au développement et à l’utilisation d’armes chimiques et biologiques par tout pays et en toutes circonstances.

9. Faciliter les exportations de céréales. Toutes les parties doivent mettre en œuvre l’Initiative céréalière de la mer Noire, signée par la Russie, la Turquie, l’Ukraine et les Nations unies, de manière complète et efficace et équilibrée, et aider les Nations unies à jouer un rôle important sur ce sujet. L’initiative de coopération sur la sécurité alimentaire mondiale proposée par la Chine offre une solution réalisable à la crise alimentaire mondiale.

10. Arrêter les sanctions unilatérales. Les sanctions unilatérales et les pressions ne peuvent pas résoudre la question ; elles ne font que créer de nouveaux problèmes. La Chine s’oppose aux sanctions unilatérales non autorisées par le Conseil de sécurité des Nations unies. Les pays concernés devraient cesser d’abuser des sanctions unilatérales et de la « juridiction au bras long » contre d’autres pays, afin de faire leur part dans la désescalade de la crise ukrainienne et de créer les conditions permettant aux pays en développement de développer leurs économies et d’améliorer la vie de leurs populations.

11. Maintenir la stabilité des chaînes industrielles et d’approvisionnement. Toutes les parties doivent sérieusement maintenir le système économique mondial existant et s’opposer à l’utilisation de l’économie mondiale comme outil ou arme employée à des fins politiques. Des efforts conjoints sont nécessaires pour atténuer les retombées de la crise et empêcher qu’elle ne compromette la reprise économique mondiale et ne perturbe la coopération internationale dans les domaines de l’énergie, de la finance, du commerce alimentaire et des transports.
12. Promouvoir la reconstruction d’après-guerre. La communauté internationale doit prendre des mesures pour soutenir la reconstruction d’après-guerre dans les zones de conflit. La Chine est prête à fournir une aide et à jouer un rôle constructif dans cette entreprise.

 

Camille Dejardin, professeure au lycée Ronsard à Vendôme, retrace l’histoire de la philosophie contemporaine

Camille Dejardin veut s’adresser à un public plus large.

Car, toujours selon l’auteure, « ce sont les problèmes concrets qui déterminent la pensée philosophique. Les idées s’incarnent toujours dans un contexte précis. Par exemple, ce sont les défis ou les problèmes posés par le capitalisme qui finiront par donner naissance à la pensée socialiste. »

 

Source : Camille Dejardin, professeure au lycée Ronsard à Vendôme, retrace l’histoire de la philosophie contemporaine

«La Nuit où Laurier Gaudreault s’est réveillé» : Xavier Dolan nous met KO – Le Parisien

«La Nuit où Laurier Gaudreault s’est réveillé» : Xavier Dolan nous met KO

Dans «la Nuit où Laurier Gaudreault s’est réveillé», Xavier Dolan joue Elliott, le petit frère toxico qui sort de cure pour accompagner les derniers instants de sa mère. Fred Gervais

Dans «la Nuit où Laurier Gaudreault s’est réveillé», Xavier Dolan joue Elliott, le petit frère toxico qui sort de cure pour accompagner les derniers instants de sa mère. Fred Gervais

Le cinéaste canadien passe magistralement le cap du petit écran en livrant sa première série, à retrouver à partir de ce lundi sur Canal +.

 

Il nous en livre quelques clés d’entrée. Dans «la Nuit où Laurier Gaudreault s’est réveillé», Xavier Dolan joue Elliott, le petit frère toxico qui sort de cure pour accompagner les derniers instants de sa mère. Fred Gervais 2 Par Yves Jaeglé

Le 22 janvier 2023 à 11h06

Histoire de famille, histoire deux familles. Les Larouche et les Gaudreault, voisins unis à la vie à la mort, désunis par un drame, un mensonge ou un secret.

Source : «La Nuit où Laurier Gaudreault s’est réveillé» : Xavier Dolan nous met KO – Le Parisien

Les décès de Covid-19 au Canada ont presque doublé en 2022 avec une population vaccinée à 85% – Le Libre Penseur

Pour aller dans le détail, les autorités canadiennes avaient déclaré 9225 décès en 2020.

Ensuite, en 2021, alors que les injections d’ARN messager ont commencé dès décembre 2020 et qu’on pouvait s’attendre à une diminution des décès étant donné les chiffres extraordinaires d’efficacité transmis par Big Pharma via les médias, le nombre de décès par le Covid-19 a même légèrement augmenté jusqu’à 9934 cas.

Puis, en 2022, alors que plus de 80 % de la population est doublement, voire triplement injecté, Santé Canada nous informe que 15 844 citoyens sont décédés du Covid-19 !

De plus, le pays constate une surmortalité importante qui est en corrélation directe avec l’augmentation des injections anti Covid-19 ! Il va bien falloir à un moment ou un autre demander des comptes à Justin Trudeau et son équipe, les seuls responsables de ce carnage, de ce massacre.

Source : Les décès de Covid-19 au Canada ont presque doublé en 2022 avec une population vaccinée à 85% – Le Libre Penseur

Cadeau de LVMH, l’Etat reçoit un tableau à 43 M€ (voici la raison)

 

 

 

Pour toutes les entreprises participant à l’achat d’un bien culturel qualifié, une défiscalisation intervient.

La réduction d’impôt est égale à 90 % des versements effectués par l’entreprise, mais auquel le calcul fiscal doit prendre en compte une réduction limitée à 50 % du montant de l’impôt dû par l’entreprise pendant l’exercice au cours duquel le don a été effectué.

 

la société du luxe LVMH l’a racheté pour 43 millions d’euros lors d’une vente spéciale pour ensuite en faire un don à l’Etat.

Lundi 30 janvier, le tableau a fait ses débuts dans le musée parisien.

 

 

Source : Cadeau de LVMH, l’Etat reçoit un tableau à 43 M€ (voici la

raison)

 

Cadeau de LVMH, l’Etat reçoit un tableau à 43 M€ (voici la raison)

L’homme le plus riche de la planète est français, patron de LVMH, et vient d’offrir un véritable trésor au musée d’Orsay. Dans quel but ?

Hadrien Augusto

Publié le

gustave caillebotte la partie de bateau vente tresor national

Huile sur toile – 90 × 117 cm – Collection Musée d’Orsay, Paris © Gustave Caillebotte, Partie de bateau ou Canotier au chapeau haut de forme, vers 1877-1878

  • Le tableau La Partie de bateau (1877-1878) du peintre français Gustave Caillebotte vient d’être vendu
  • Avec LVMH, Bernard Arnault l’a racheté pour 43 millions d’euros à la famille
  • L’entreprise du luxe l’offre à l’Etat pour l’installer au musée d’Orsay
  • Depuis 2002, le mécénat d’entreprise pour financer les “trésors nationaux” s’accompagne d’avantages fiscaux

Le musée d’Orsay est, après le Louvre, le musée le plus populaire à Paris et en France. Dans sa collection, des oeuvres de Claude Monet, Pierre-Auguste Renoir, Edouard Manet, Paul Cézanne ou encore Camille Pissarro, qui ont le point commun d’avoir été soutenus par le collectionneur Gustave Caillebotte au XIXe siècle. À sa mort, une grande partie de sa collection fut installée au musée d’Orsay, formant ainsi le noyau de la collection d’oeuvres du mouvement impressionniste.

En parallèle à son quotidien de collectionneur, Gustave Caillebotte peignait également et parmi ses oeuvres devenues iconiques, La Partie de bateau, entre 1877 et 1878. Elle faisait partie des rares oeuvres de l’artiste à rester dans une collection privée. Ce n’est plus le cas aujourd’hui alors que la société du luxe LVMH l’a racheté pour 43 millions d’euros lors d’une vente spéciale pour ensuite en faire un don à l’Etat. Lundi 30 janvier, le tableau a fait ses débuts dans le musée parisien.

Pourquoi LVMH fait-il ce don ?

LVMH est aujourd’hui le chef de file mondial de l’industrie du luxe sur la base de son chiffre d’affaires. Il a fait de Bernard Arnault, son patron, l’homme le plus riche du monde avec une fortune estimée à plus de 162 milliards de dollars au 2 janvier 2023, loin devant Elon Musk (137 milliards de dollars). En offrant l’oeuvre de Gustave Caillebotte à l’Etat français, le groupe d’entreprise va pouvoir bénéficier d’avantages fiscaux.

En 2003, l’Etat publié la version initiale de l’avis d’appel au mécénat d’entreprise pour l’acquisition par l’Etat d’un trésor national dans le cadre de l’article 238 bis 0 A du code général des impôts :

Le ministre de la Culture et de la Communication informe les entreprises imposées à l’impôt sur les sociétés d’après leur bénéfice réel qu’elles peuvent bénéficier de la réduction d’impôt sur les sociétés prévue à l’article 238 bis 0 A du code général des impôts égale à 90 % des versements qu’elles pourraient effectuer en participant à l’acquisition par l’Etat pour un musée de France d’un trésor national.

Trésor national

En effet, depuis 2002, le mécénat d’entreprises pour le financement et le don de “trésors nationaux” s’accompagne d’avantages fiscaux. Une loi qui a permis à l’Etat de protéger les biens culturels présentant un intérêt majeur pour le patrimoine français. Pour toutes les entreprises participant à l’achat d’un bien culturel qualifié, une défiscalisation intervient. La réduction d’impôt est égale à 90 % des versements effectués par l’entreprise, mais auquel le calcul fiscal doit prendre en compte une réduction limitée à 50 % du montant de l’impôt dû par l’entreprise pendant l’exercice au cours duquel le don a été effectué.

Pour un musée français, il serait impossible d’acquérir une oeuvre à un montant aussi élevé. Seuls les musées américains ou du Moyen-Orient sont en mesure de débourser de telles sommes. Le musée d’Orsay possède un budget limité à 3 millions d’euros. Bien sûr, toutes les oeuvres classées trésor national ne coûtent pas aussi cher, mais le programme de défiscalisation en favorisant le mécénat permet à l’Etat de financer des oeuvres et protéger son patrimoine sans devoir débourser un seul euro lors de la vente.

Pour les visiteurs intéressés, il faudra se rendre dès ce mardi 31 janvier au musée au niveau du cinquième étageLa Partie de bateau de Gustave Caillebotte a pris place à la place d’un autre tableau de Renoir Bal du moulin de la Galette, qui a été légèrement déplacé sur un autre pan de la pièce d’exposition. L’oeuvre de Caillebotte, qui est la douzième du musée, sera exposée ici pendant le reste de l’année avant de préparer une tournée spéciale 150e anniversaire, dans laquelle La Partie de Bateau sera prêté dans plusieurs musées français.

Qui veut tuer le palmarès des hôpitaux ?

 

 

La question est simple :

pourquoi ce qui était possible depuis plus de vingt ans – publier un palmarès des hôpitaux à partir de leurs données d’activité – ne l’est-il plus ?

Comment se fait-il, alors qu’Emmanuel Macron lui-même prône l’accès plus fluide aux données numériques, clés de sa « start-up nation », que la censure puisse s’abattre ainsi ?

Plus largement, pourquoi l’accès aux données de santé est-il de plus en plus difficile, y compris pour les chercheurs ?

Source : Qui veut tuer le palmarès des hôpitaux ?

Qui veut tuer le palmarès des hôpitaux ?

ENQUÊTE. Chaque année depuis 2001, « Le Point » publie le palmarès des hôpitaux. L’accès aux données qui permettent sa réalisation vient d’être interdit.

Par Marc Payet

Temps de lecture : 15 min

 

 

 

 

 

Dans les colonnes infernales de « Libé », on incendie un film sur la guerre de Vendée – Causeur

M. Lancereau se contente de considérer que c’est « une thèse historiographique particulièrement réactionnaire ».

Cet historien se plaint également d’avoir perçu dans le film « l’idée que le pouvoir central républicain a eu l’intention d’éradiquer le peuple vendéen », alors que, ajoute-t-il, « il n’y avait pas de volonté de l’État mais plutôt une impuissance à contrôler les exactions commises par les soldats […]

 

Le film fait constamment comme si la Convention nationale avait voulu éradiquer les Vendéens ».

 

Bon, voilà donc un « historien spécialiste de la Révolution française » qui ne sait rien de la loi votée par la Convention nationale le 1er octobre 1793, loi dite loi d’extermination et visant spécifiquement les Vendéens, et du rapport du Comité de salut public rédigé par Barère afin d’élaborer et d’entériner ladite loi, et dont voici la conclusion abrégée mais explicite :

« Des contingents prodigieux […] semblaient annoncer que la justice nationale allait enfin effacer le nom de la Vendée du tableau des départements de la république. […] Détruisez la Vendée (suit la liste des armées, des « conspirateurs », des émigrés, des « brigands » qui doivent tomber avec la Vendée) […] La Vendée, et encore la Vendée, voilà le charbon politique qui dévore le cœur de la république française ; c’est là qu’il faut frapper. […] Détruisez la Vendée. Les brigands doivent être vaincus et exterminés sur leurs propres foyers. »

 

Barère et la Convention nationale seront entendus.

La destruction de la Vendée est inscrite dans le marbre de la révolution. Devant la résistance des Vendéens, le général Turreau conduit les fameuses et terrifiantes colonnes infernales qui reçoivent l’ordre d’exterminer les insurgés, y compris les femmes et les enfants.

Le général Westermann, surnommé le boucher de Vendée, écrit à la Convention après sa victoire à Savenay en novembre 1793:

« Il n’y a plus de Vendée. Elle est morte sous notre sabre aves ses femmes et ses enfants. […] Je n’ai pas un prisonnier à me reprocher. J’ai tout exterminé. Nous ne faisons pas de prisonniers, car il faudrait leur donner le pain de la liberté, et la pitié n’est pas révolutionnaire. »

Les Vendéens, malgré tout, résistent. Le 28 février 1794, aux Lucs-sur-Boulogne, les troupes de Turreau, s’étonnant de ne trouver aucun homme dans ce village (ils sont partis grossir les armées vendéennes conduites par Charrette), imiteront l’impitoyable Westermann :

le curé est éventré, les vieillards tués à coups de baïonnettes, l’église dans laquelle se sont réfugiés les femmes et les enfants est incendiée. Il y aura 564 morts et aucun survivant.

Mais Élisabeth Franck-Dumas préfère nous

« épargner les détails : batailles, empilement de cadavres – censés accréditer la thèse, historiquement fausse, d’un génocide vendéen ».

Là encore il y aurait bien des choses à dire mais la place manque. Nous ne pouvons que conseiller à la journaliste de lire les nombreux livres consacrés à cette controverse historiographique.

Élisabeth Franck-Dumas et Guillaume Lancereau craignent le pire. Les « idées réactionnaires et antirépublicaines », affirment-ils, sont infusées dans l’esprit des Français par ce genre de film « insidieux » et par… CNews (sic). De plus, le Puy du Fou prend « une part disproportionnée dans ce qu’il faut définir comme une bataille culturelle, où il s’agit de faire entrer dans la tête d’un maximum de gens une vision réactionnaire et manichéenne ».

Enfin, en guise de conclusion, Guillaume Lancereau lâche :

« Il y a cette intention manifeste d’ancrer un peu plus dans les esprits que la France était glorieuse quand elle était catholique et monarchique. »

Source : Dans les colonnes infernales de « Libé », on incendie un film sur la guerre de Vendée – Causeur

 

 

Dans les colonnes infernales de “Libé”, on incendie un film sur la guerre de Vendée

« Vaincre ou mourir », un film sur la guerre de Vendée qui prend le parti des adversaires de la révolution et est produit par le Puy du Fou, est sorti aujourd’hui

Dans les colonnes infernales de “Libé”, on incendie un film sur la guerre de Vendée
Hugo Becker dans le rôle de François-Athanase Charette de La Contrie, dans le film « Vaincre ou mourir », réalisé par Vincent Mottez et Paul Mignot et produit par le Puy du Fou. © Puy du Fou

Sur France Inter comme dans les colonnes de Libération, l’heure est à la charge contre un film qui, contrairement aux dernières lamentables productions cinématographiques françaises, ne fait pas dans le wokisme ni dans l’éloge des passeurs de migrants…


Vaincre ou mourir est un film-récit sur la guerre de Vendée inspiré de la vie du général royaliste François Athanase Charette de la Contrie. Et ça, ce n’est pas du tout du goût des journalistes de Libération et de Claude Askolovitch.

Le Puy du Fourbe…

Ce dernier ouvre les hostilités dès potron-minet sur France Inter. Comme tous les jours, il cite son quotidien favori avec une gourmandise non dissimulée. Libération, salive-t-il, « déchire » le film produit par le Puy du Fou parce qu’il fait « partie d’une offensive des ultra-réactionnaires pour instiller une vision de l’histoire anti-républicaine et un imaginaire catholique et royaliste ». Il est à noter que ni Claude Askolovitch ni les critiques de Libé n’ont jamais décelé la moindre offensive ultra-progressiste, wokiste ou archi-immigrationniste dans les récents films français très orientés et très subventionnés qui, Dieu merci, ont tous fait des bides absolus malgré le soutien de la radio publique et des journaux les mieux disposés quand il s’agit de répandre la propagande gauchiste.

Les propos d’Askolovitch ont eu l’intérêt de me forcer à lire l’article stupidement belliqueux de Libé. En plus de la Une et d’un éditorial dans lequel il est expliqué que les ombres d’Éric Zemmour et de Vincent Bolloré planent au-dessus de ce film réactionnaire qui conduira immanquablement à des événements tragiques du même ordre que « l’assaut du capitole par les supporteurs de Donald Trump » (sic), cinq pleines pages sont consacrées à démolir Vaincre ou mourir et le parc du Puy du Fou. Elisabeth Franck-Dumas, « cheffe » du service culture du journal, méprise les paysans vendéens du film désirant « défendre ce qu’ils ont de plus cher, leurs fils, leur roi, leur foi », et ajoute, en bonne féministe : « Pour les filles, on repassera », ignorant visiblement que, lors de la levée en masse de 300 000 hommes décrétée par la Convention en 1793 – levée en masse qui déclencha justement la guerre de Vendée – seuls les jeunes hommes (souvent des fils de paysans) risquaient l’enrôlement de force dans l’armée révolutionnaire – d’où le cri du cœur de leurs pères.

Confusions, moqueries et méconnaissances

Le film rappelle que les Vendéens réclamaient le retour de leurs prêtres. « Ils sont où, d’ailleurs, les bons prêtres ?, se moque Mme Franck-Dumas, emprisonnés pour pédophilie ? » (Ah ! la bêtise hargneuse des ânes bâtés). Et de poursuivre : « L’absence d’explication sur tout ce qui a bien pu se passer en France depuis 1789 laisse les spectateurs dans l’ignorance et fait craindre que les bons prêtres aient été pris en otages par cette méchante République dont il est souvent question. » Mme Franck-Dumas ne sait apparemment pas ce qu’a subi le clergé à partir de 1789, la nationalisation et la confiscation des biens de l’Église, l’interdiction des manifestations religieuses et du port de la soutane en dehors des actes religieux, la déchristianisation sur tout le territoire sous la menace obligeant les prêtres réfractaires à fuir s’ils ne veulent pas être déportés ou massacrés. En Vendée, la « méchante république » ne s’est pas contentée de « prendre en otages » les prêtres réfractaires : plus de 150 d’entre eux, détenus à Nantes, feront ainsi partie des centaines de « contre-révolutionnaires » noyés sur l’ordre de Carrier.

A relire, Hervé Louboutin: Qui veut la peau du Puy du Fou?

La journaliste a interviewé Guillaume Lancereau, un « historien spécialiste de la Révolution française ». Ce dernier regrette que, dans ce film, on fasse « un saut historique monstrueux entre 1789 et 1793 […] comme si la Terreur était déjà contenue dans 1789 ». Primo, « Vaincre ou mourir » est un film sur la guerre de Vendée commencée en 1793, pas sur l’entièreté de la Révolution française (cette réflexion est aussi bête que si l’on avait reproché à l’excellent film d’Andrzej Wajda, « Danton », de ne pas avoir traité les cinq ans qui précèdent la chute du député montagnard en 1794) ; secundo, la thèse selon laquelle la Terreur était déjà contenue dans 1789 a toujours été très discutée : au contraire de Soboul ou Mathiez, Furet relève dans 1789 les prémices de la Terreur. Débat universitaire nécessaire. Mais M. Lancereau se contente de considérer que c’est « une thèse historiographique particulièrement réactionnaire ». Cet historien se plaint également d’avoir perçu dans le film « l’idée que le pouvoir central républicain a eu l’intention d’éradiquer le peuple vendéen », alors que, ajoute-t-il, « il n’y avait pas de volonté de l’État mais plutôt une impuissance à contrôler les exactions commises par les soldats […] Le film fait constamment comme si la Convention nationale avait voulu éradiquer les Vendéens ». Bon, voilà donc un « historien spécialiste de la Révolution française » qui ne sait rien de la loi votée par la Convention nationale le 1er octobre 1793, loi dite loi d’extermination et visant spécifiquement les Vendéens, et du rapport du Comité de salut public rédigé par Barère afin d’élaborer et d’entériner ladite loi, et dont voici la conclusion abrégée mais explicite : « Des contingents prodigieux […] semblaient annoncer que la justice nationale allait enfin effacer le nom de la Vendée du tableau des départements de la république. […] Détruisez la Vendée (suit la liste des armées, des « conspirateurs », des émigrés, des « brigands » qui doivent tomber avec la Vendée) […] La Vendée, et encore la Vendée, voilà le charbon politique qui dévore le cœur de la république française ; c’est là qu’il faut frapper. […] Détruisez la Vendée. Les brigands doivent être vaincus et exterminés sur leurs propres foyers. » Barère et la Convention nationale seront entendus. La destruction de la Vendée est inscrite dans le marbre de la révolution. Devant la résistance des Vendéens, le général Turreau conduit les fameuses et terrifiantes colonnes infernales qui reçoivent l’ordre d’exterminer les insurgés, y compris les femmes et les enfants. Le général Westermann, surnommé le boucher de Vendée, écrit à la Convention après sa victoire à Savenay en novembre 1793: « Il n’y a plus de Vendée. Elle est morte sous notre sabre aves ses femmes et ses enfants. […] Je n’ai pas un prisonnier à me reprocher. J’ai tout exterminé. Nous ne faisons pas de prisonniers, car il faudrait leur donner le pain de la liberté, et la pitié n’est pas révolutionnaire. » Les Vendéens, malgré tout, résistent. Le 28 février 1794, aux Lucs-sur-Boulogne, les troupes de Turreau, s’étonnant de ne trouver aucun homme dans ce village (ils sont partis grossir les armées vendéennes conduites par Charrette), imiteront l’impitoyable Westermann : le curé est éventré, les vieillards tués à coups de baïonnettes, l’église dans laquelle se sont réfugiés les femmes et les enfants est incendiée. Il y aura 564 morts et aucun survivant. Mais Élisabeth Franck-Dumas préfère nous « épargner les détails : batailles, empilement de cadavres – censés accréditer la thèse, historiquement fausse, d’un génocide vendéen ». Là encore il y aurait bien des choses à dire mais la place manque. Nous ne pouvons que conseiller à la journaliste de lire les nombreux livres consacrés à cette controverse historiographique.

Élisabeth Franck-Dumas et Guillaume Lancereau craignent le pire. Les « idées réactionnaires et antirépublicaines », affirment-ils, sont infusées dans l’esprit des Français par ce genre de film « insidieux » et par… CNews (sic). De plus, le Puy du Fou prend « une part disproportionnée dans ce qu’il faut définir comme une bataille culturelle, où il s’agit de faire entrer dans la tête d’un maximum de gens une vision réactionnaire et manichéenne ». Enfin, en guise de conclusion, Guillaume Lancereau lâche : « Il y a cette intention manifeste d’ancrer un peu plus dans les esprits que la France était glorieuse quand elle était catholique et monarchique. »

 

 

Cette skill Alexa fait baisser la facture d’électricité

Le téléchargement est entièrement gratuit, et va permettre de visualiser en un clin d’œil la consommation électrique du foyer en kWh et en euros, mais aussi de découvrir ses émissions en CO2.

Les informations peuvent être indiquées par une enceinte Echo, mais aussi affichées directement sur l’écran d’un dispositif Echo Show.

Un widget dédié est d’ailleurs de la partie, pour visualiser sa consommation en permanence, sur les modèles Amazon Echo Show 8, 10 et 15.

Source : Cette skill Alexa fait baisser la facture d’électricité

Mélange à chaud: perspectives mécanistes sur la durabilité du béton romain antique | Science Advances

Résumé

Les anciens bétons romains ont survécu à des millénaires, mais les connaissances mécanistes sur leur durabilité restent une énigme.

Ici, nous utilisons une approche de cartographie élémentaire et chimique corrélative multi-échelle pour étudier les clastes de chaux reliques, une composante minérale omniprésente et visible associée aux anciens mortiers romains.

 

Ensemble, ces analyses fournissent de nouvelles perspectives sur les méthodologies de préparation du mortier et prouvent que les Romains utilisaient un mélange à chaud, en utilisant de la chaux vive en conjonction avec, ou à la place, de la chaux éteinte, créer un environnement où les clastes de chaux à grande échelle de surface sont conservés dans la matrice de mortier. Inspiré par ces résultats,nous proposons que ces inclusions macroscopiques puissent servir de sources critiques de calcium réactif pour les pores à long terme et la réactivité de remplissage ou post-pozzolanique dans les constructions cimentaires.

 

Le développement et les tests ultérieurs de la pâte de chaux moderne – contenant des mélanges cimentaires démontrent leur potentiel d’auto-guérison, ouvrant ainsi la voie au développement de formulations en béton plus durables, résilientes et durables.

Source : Mélange à chaud: perspectives mécanistes sur la durabilité du béton romain antique | Science Advances

 

 

 

 

Les bienfaits de la vitamine D pourraient dépendre de notre poids

Les bienfaits de la vitamine D sur le fonctionnement de l’organisme et sur l’incidence de diverses maladies pourraient dépendre du poids corporel.

 

Des chercheurs tentent d’expliquer cette association à partir des données d’un vaste essai clinique, car la vitamine D est utilisée comme complément à beaucoup de traitements médicamenteux.

Source : Les bienfaits de la vitamine D pourraient dépendre de notre poids

 

Les bienfaits de la vitamine D pourraient dépendre de notre poids

ACTUALITÉ

• 3 MIN

[EN VIDÉO] Hiver : les compléments en vitamines sont-ils nécessaires ? Pour prévenir les infections ou lutter contre la fatigue, de nombreuses personnes prennent desnull

Les bienfaits de la vitamine D sur le fonctionnement de l’organisme et sur l’incidence de diverses maladies pourraient dépendre du poids corporel. Des chercheurs tentent d’expliquer cette association à partir des données d’un vaste essai clinique, car la vitamine D est utilisée comme complément à beaucoup de traitements médicamenteux.

Le poids corporel modifie-t-il le  et la réponse à la supplémentation en vitamine D ? C’est la question posée par des chercheurs du Brigham and Women’s Hospital (États-Unis) après une première analyse des données de l’essai clinique Vitamin D and Omega-3 Trial (Vital), un , en double aveugle et contrôlé par .

« L’analyse des données originales de l’essai Vital a révélé que la supplémentation en vitamine D était corrélée à des effets positifs sur plusieurs résultats de santé, mais uniquement chez les personnes ayant un  inférieur à 25 », a déclaré Deirdre K. Tobias, épidémiologiste associé à la division de médecine préventive de Brigham et coauteur de la nouvelle étude. « Il semble que quelque chose de différent se passe avec le métabolisme de la vitamine D lorsque le poids corporel est élevé, et cette étude peut contribuer à expliquer les résultats moindres de la supplémentation chez les personnes ayant un IMC élevé ».

En effet, de précédentes études ont montré que, si la supplémentation en vitamine D était associée à une moindre  de , de diabète de type 2 et de maladie auto-immune chez des participants ayant un poids corporel normal (IMC inférieur à 25), il n’en était rien chez les personnes en surpoids ou obèses. Par ailleurs, le lien entre surpoids et  en vitamine D était déjà établi, sans pouvoir en expliquer la cause.

La vitamine D est un micronutriment essentiel dans de nombreux processus biologiques. Elle pourrait jouer un rôle dans l'incidence et la progression du cancer et des maladies cardiovasculaires. Elle est synthétisée par la peau lors de l'exposition au soleil, ou obtenue à partir de l'alimentation ou bien d'une supplémentation. © Exquisine, Adobe Stock

LA VITAMINE D EST UN MICRONUTRIMENT ESSENTIEL DANS DE NOMBREUX PROCESSUS BIOLOGIQUES. ELLE POURRAIT JOUER UN RÔLE DANS L’INCIDENCE ET LA PROGRESSION DU CANCER ET DES MALADIES CARDIOVASCULAIRES. ELLE EST SYNTHÉTISÉE PAR LA PEAU LORS DE L’EXPOSITION AU SOLEIL, OU OBTENUE À PARTIR DE L’ALIMENTATION OU BIEN D’UNE SUPPLÉMENTATION. © EXQUISINE, ADOBE STOCK

Vers un dosage en vitamine D personnalisé en fonction du poids ?

La nouvelle analyse des données de l’essai Vital a inclus 16 515 participants (66,7 ans en moyenne ; 50,7 % de femmes) qui ont fourni des échantillons de sang avant le début de supplémentation en vitamine D, dont 2 742 participants avec un échantillon sanguin de suivi après deux ans. Les chercheurs ont mesuré les taux de vitamine D totale et libre, ainsi que de nombreux autres biomarqueurs de la vitamine D comme ses , le  et l’ parathyroïdienne, qui améliorent l’assimilation de la vitamine.

Résultat : la supplémentation en vitamine D augmente bien la plupart des biomarqueurs associés au métabolisme de cette vitamine liposoluble chez tout le monde. En revanche, ces augmentations étaient significativement plus faibles chez les personnes ayant un IMC élevé.

« Cette étude éclaire la raison pour laquelle nous observons des réductions de 30 à 40 % des décès par cancer, des  et d’autres résultats avec la supplémentation en vitamine D chez les personnes ayant un IMC inférieur, mais un bénéfice minime chez les personnes ayant un IMC supérieur. Cela suggère qu’il pourrait être possible d’obtenir des avantages dans toute la population avec un  plus personnalisé de la vitamine D », propose JoAnn Manson, chef de la division de médecine préventive au Brigham et chercheur principal de Vital.

Hypothèses explicatives

Les auteurs proposent une explication à la différence observée. Selon eux, la migration de la vitamine D et de ses métabolites de la circulation générale vers le  (la graisse corporelle) peut contribuer à des concentrations dans le sang plus faibles. Des facteurs physiopathologiques liés à l’obésité — tels qu’une altération de la sensibilité des récepteurs de la vitamine D — ne sont pas non plus à exclure des hypothèses, et des recherches supplémentaires sont justifiées.

Retraites : ce qu’il faut retenir du dernier rapport du COR – L’Express

Un nouveau plongeon dès 2023

Le solde global des régimes de retraite français devrait toutefois « se dégrader sensiblement » dès 2023, et son retour à l’équilibre reste toujours projeté « vers le milieu des années 2030 » dans le meilleur des scénarios, explique le Conseil d’orientation des retraites.

 

Un constat, partagé par le ministre du Travail.

Dans un entretien au Point, Olivier Dussopt a affirmé que le système restait « structurellement en déficit », et annoncé qu’il aura « un échange avec les partenaires sociaux le 19 septembre sur la base (de ce) rapport ».

L’enjeu ?

Tenir à 0,6% la hausse annuelle des dépenses publiques, comme le gouvernement l’a promis à Bruxelles en juillet dernier dans son « programme de stabilité ».

Des hypothèses plus défavorables

Ce rapport annuel est en outre « marqué par de nouvelles hypothèses (…) plus défavorables sur le long terme ».

Le COR a notamment revu à la baisse son principal indicateur économique : les « gains de productivité » du travail sont désormais compris dans une fourchette de 0,7% à 1,6% par an, contre 1% à 1,8% précédemment.

Autre source de pessimisme : alors que le gouvernement table sur « une baisse à 5% en 2027 », le COR envisage toujours une « cible » de 7% à long terme. Même en le ramenant à 4,5%, « le déficit serait moindre » mais ne disparaîtrait pas.

Ce qui explique en partie le maintien d’un « besoin de financement » à « l’horizon 2070 » dans quatre des huit scénarios envisagés.

Source : Retraites : ce qu’il faut retenir du dernier rapport du COR – L’Express

 

 

 

En résumé

Retraites : ce qu’il faut retenir du dernier rapport du COR

Dans un rapport présenté aux médias ce lundi, le Conseil d’orientation des retraites (COR) dessine une aggravation du déficit dans les années à venir, après un petit passage au vert.

La rumeur d'une réforme des retraites avant la présidentielle, évoquée lundi dans la presse, prend de court les syndicats

Le Conseil d’orientation des retraites fait état du problème de financement du système, sans donner de blanc-seing au projet de réforme du gouvernement, toujours dans les cartons.

afp.com/Joël SAGET

Une embellie de courte durée. Alors que le gouvernement a repoussé plusieurs fois la réforme des retraites, sans en abandonner l’idée, le Conseil d’orientation des retraites (COR) a calculé que le système a dégagé un excédent de 900 millions d’euros en 2021, pour la première fois depuis la crise de 2008. Mieux, l’institution qui publie un rapport chaque année sur le sujet s’attend à un surplus de 3,2 milliards cette année. Reste qu’à plus long terme, la situation risque de se dégrader à nouveau.

Un excédent dû à la croissance

Après un déficit à hauteur d’environ 13 à 14 milliards d’euros en 2020, les comptes sont revenus dans le vert grâce à « la forte reprise de la croissance » l’an dernier, explique le dernier rapport, à paraître ce jeudi. Les effets de la crise sanitaire se sont donc estompés, après avoir fait plonger le bilan du système. La reprise, qui a consacré une forte demande, a boosté les rentrées de cotisations. Si les régimes ne sont pas tous égaux vis-à-vis de ce mécanisme, le solde global est revenu dans le positif.

Un nouveau plongeon dès 2023

Le solde global des régimes de retraite français devrait toutefois « se dégrader sensiblement » dès 2023, et son retour à l’équilibre reste toujours projeté « vers le milieu des années 2030 » dans le meilleur des scénarios, explique le Conseil d’orientation des retraites. Un constat, partagé par le ministre du Travail. Dans un entretien au Point, Olivier Dussopt a affirmé que le système restait « structurellement en déficit », et annoncé qu’il aura « un échange avec les partenaires sociaux le 19 septembre sur la base (de ce) rapport ». L’enjeu ? Tenir à 0,6% la hausse annuelle des dépenses publiques, comme le gouvernement l’a promis à Bruxelles en juillet dernier dans son « programme de stabilité ».

Des hypothèses plus défavorables

Ce rapport annuel est en outre « marqué par de nouvelles hypothèses (…) plus défavorables sur le long terme ». Le COR a notamment revu à la baisse son principal indicateur économique : les « gains de productivité » du travail sont désormais compris dans une fourchette de 0,7% à 1,6% par an, contre 1% à 1,8% précédemment.

Autre source de pessimisme : alors que le gouvernement table sur « une baisse à 5% en 2027 », le COR envisage toujours une « cible » de 7% à long terme. Même en le ramenant à 4,5%, « le déficit serait moindre » mais ne disparaîtrait pas. Ce qui explique en partie le maintien d’un « besoin de financement » à « l’horizon 2070 » dans quatre des huit scénarios envisagés.

D’autres scénarios explorent un avenir plus favorable, le meilleur donnant un système à l’équilibre autour des années 2030. Et si les règles qui régissent les retraites ne changent pas, sur la base d’un accroissement de productivité de 1,6% le « trou » ne devrait être comblé qu' »au milieu des années 2050″.

Pas de blanc-seing au gouvernement

Si le COR prédit ainsi que « le système de retraite serait déficitaire en moyenne sur les 25 prochaines années », tout en soulignant ses travaux « ne valide pas le bien-fondé des discours qui mettent en avant l’idée d’une dynamique non contrôlée des dépenses de retraite ». Un clin d’oeil aux interventions d’Elisabeth Borne, qui, souvent, présente la réforme des retraites envisagée par le gouvernement dès 2023, avec notamment le report de 62 à 65 ans de l’âge de départ, comme un passage obligé pour conserver le système.

Un calendrier qui s’annonce mouvementé

Si le constat du gouvernement est donc réaffirmé par ce rapport, celui-ci ne s’engage pas sur les solutions à mettre en oeuvre. Un autre rapport devrait consolider cet état des lieux, dans les prochaines semaines, celui du Comité de suivi des retraites (CSR). Celui-ci peut émettre des recommandations, ce qu’il a notamment fait en 2017, 2018 et 2019.

Ce nouveau rapport sera donc scruté, d’autant plus que le ministre du Travail a expliqué que « la question de l’âge ou de la durée de cotisation » et celle « du rythme de mise en oeuvre », était ouverte avant « un échange avec les partenaires sociaux le 19 septembre » sur ce sujet explosif.

Déjà échaudés par la nouvelle réforme de l’assurance chômage enclenchée la semaine dernière, les syndicats refusent de leur côté de rouvrir le dossier. « Mettre de l’huile sur le feu avec la réforme des retraites, ça serait dingue », a prévenu le secrétaire général de la CFDT Laurent Berger.

 

 

 

Thermomix, Safran, Ebly… Châteaudun attire les investisseurs étrangers – L’Express

 

Changement de programme pour le géant allemand de lélectroménager Vorwerk.

 

Porté par sa forte croissance, il avait prévu d’ouvrir une nouvelle usine en Allemagne. Finalement, c’est en France qu’il s’implantera!

Parce que « les conditions sont ici favorables à l‘industrie », affirme le groupe.

Une chose est sûre : notre pays n’a jamais été aussi attractif, avec 1 600 projets d’investissements étrangers recensés en 2021, qui ont permis de créer ou préserver 45 000 emplois.

 

 

 

Source : Thermomix, Safran, Ebly… Châteaudun attire les investisseurs étrangers – L’Express

​À Vendôme, la clinique du Saint-Coeur reste sereine malgré les démêlés du PDG d’Avec

Lundi soir 9 janvier 2023, Carine Raffin-Peyloz, directrice de la clinique de Vendôme, se montrait attentiste après l’interpellation et le placement en garde à vue le matin même du PDG du groupe Avec auquel appartient le Saint-Coeur.

 

Après perquisitions des locaux parisiens, Bernard Bensaïd a en effet été interpellé à Paris et transféré dans la journée à Grenoble (Isère) afin d’être entendu pour des soupçons de détournement de fonds publics et prise illégale d’intérêts, notamment dans le cadre de la reprise du Groupe hospitalier mutualiste (GHM) de Grenoble.

Source : ​À Vendôme, la clinique du Saint-Coeur reste sereine malgré les démêlés du PDG d’Avec

 

​À Vendôme, la clinique du Saint-Coeur reste sereine malgré les démêlés du PDG d’Avec

Publié le | Mis à jour le 

La clinique de Vendôme reste sereine
Depuis l’été 2020, le Saint-Coeur est propriété du groupe Avec.
© Photo NR; Edith Van Cutsem

Lundi soir 9 janvier 2023, Carine Raffin-Peyloz, directrice de la clinique de Vendôme, se montrait attentiste après l’interpellation et le placement en garde à vue le matin même du PDG du groupe Avec auquel appartient le Saint-Coeur.

Après perquisitions des locaux parisiens, Bernard Bensaïd a en effet été interpellé à Paris et transféré dans la journée à Grenoble (Isère) afin d’être entendu pour des soupçons de détournement de fonds publics et prise illégale d’intérêts, notamment dans le cadre de la reprise du Groupe hospitalier mutualiste (GHM) de Grenoble.

La clinique du Saint-Coeur n’est pas concernée

Carine Raffin-Peyloz, directrice du Saint-Coeur

« La clinique du Saint-Coeur n’est pas concernée et nous sommes bien sûr attentifs à la suite de la procédure qui s’ouvre », assure la directrice.

C’est en juin 2020 que l’établissement, d’abord propriété du groupe Vitalia, puis d’ Elsan, est tombé dans le groupe Avec avec la reprise des activités de Doctegestio et Doctocare.

Une arrivée qui avait alors conduit à une levée de boucliers avec manifestation unie des personnels de la clinique comme des élus.

Sollicité, le député vendômois Christophe Marion (Renaissance)  précisait ce lundi « qu’il nourrissait une forme d’inquiétude depuis que le groupe a fait l’objet d’une question au gouvernement en octobre dernier du député des Vosges Christophe Naegelen (UDI). Il s’inquiétait de la gestion des thermes de Plombières par la Compagnie des thermes, propriété du groupe Avec ».

Rappelant la présomption d’innocence, le député se dit « préoccupé » pour la clinique déjà fragilisée par un nouvel épisode de fermeture  du 16 au 23 janvier prochains,  inquiet aussi pour le projet de site unique hôpital-clinique.

Et de conclure que tout cela « l’encourage à demander la nomination rapide d’un directeur général de l’Agence régionale de santé, poste vacant depuis début décembre. »

E.V.C et A.C.